Citations sur The Mortal Instruments - Les origines, tome 2 : Le pr.. (41)
Jem sourit. Son visage rayonnait. Will ne l'avait jamais vu aussi heureux. Il avait toujours considéré que la joie, au même titre que la colère, était une émotion trop extrême pour Jem, qui était d'un naturel extrêmement placide.
Sophie, ma chère, il n'y a pas de quoi vous inquiéter. Moi-même, j'ai souvent eu envie de frapper Jessamine à la tête. Personne ne peut vous en vouloir.
" La beauté est cruelle." Aurait-on été aussi indulgent avec Will s'il avait été laid ?
-Je ne vous ai pas sauvé la vie pour que vous me remerciez !
-Alors pourquoi ? Parce que c'est votre devoir ? Parce que la loi vous oblige...
-Je l'ai fait parce que je vous aime ! cria-t-il, et devant son air ébahi, il répéta en baissant la voie : Je vous aime, Tessa.
-Vous parliez de sacrifice, mais ce n'est pas mon sacrifice que je viens vous offrir. C'est à vous que j'en demande un. Je vous donne mon cœur bien que j'ignore combien de temps il battra encore, et j'ose espérer que vous me pardonnerez l'égoïsme qui me pousse à vouloir être heureux à vos côtés pour reste de ma vie, qu'elle qu'en soit la durée.
L'amitié , c'est un seul esprit dans deux corps
Mencius
Il avait toujours considéré que la joie, au même titre que la colère, était une émotion trop extrême pour Jem, qui était d'un naturel extrêmement placide. Il comprenait maintenant qu'il s'était trompé : c'était tout simplement que Jem n'avait jamais vraiment été heureux jusqu'à présent.
- Vous souvenez-vous de ce poème de John Donne...
- " Laisse, laisse quêter ma main buissonnière par-dessus, par-dessous, entre, devant, derrière ? " récita Will.
Vous et moi, Tess, nous sommes semblables. nous vivons par et pour les mots. Ce sont les livres qui m'ont permis de continuer à vivre. C'est grâce à eux que je me suis senti moins seul. Je pouvais être honnête avec eux et ils me le rendaient bien.
- Réparations ! S'exclama Jem de but en blanc [...]
Will lui jeta un regard interloqué.
- C'est un jeu de ton invention ? Il suffit de lancer le premier mot qui nous vient à l'esprit ? Dans ce cas, je propose "génuphobie". C'est un mot qui désigne une peur irrationnelle des genoux.