Citations sur The Mortal Instruments - Renaissance, tome 3 : La rei.. (15)
Tu m’as appris qu’il faut plus de courage pour aimer corps et âme que pour marcher sans armes à la bataille.
Sans peine, la joie n’existe pas.
Tu aimerais donc faire disparaître cette impression de vide, et tu es convaincu que personne n'a ressenti un tel désespoir avant toi. Sauf que si : le chagrin peut t'empêcher de respirer, mais voilà ce que signifie être humain. Nous subissons une perte, nous souffrons, mais nous devons continuer de respirer.
Ta force créatrice réside dans la partie émotionnelle de ton âme. […] Toute création est impossible sans la conscience de sa mortalité et du caractère éphémère des choses.
- Je savais déjà que Cristina t𠆚ppréciait, mais je comprends pourquoi maintenant. Si tu étais une fille, tu aurais fait une fantastique chevalière. Tu es l’une des personnes les plus courageuse que je connaisse.
- C’est une mauvaise idée, à mon avis, rétorqua Jace. Cependant...
Clary bondit sur ses pieds.
- Ce qui veux dire que nous sommes partants ! s’écria-t-elle. On raffole des mauvaises idées.
- Je veux être avec vous deux, enchaîna Cristina. Je veux vous embrasser, vous enlacer, même temps ou séparément. Je veux que vous soyez libres de vous retrouver tous les deux, car je veux votre bonheur. Je veux qu’on vive ensemble, tous les trois.
- J𠆚i peur de te perdre, avoua-t-il. Je n𠆚i et je ne ressentirais jamais de tels sentiments pour personne. Sans toi, je ne suis plus moi. Je ne peux pas tr de mon cœur, et comme je ne peux pas vivre sans cœur, je ne peux donc pas vivre sans toi.
– Même pendant notre cérémonie de parabatai ?
Elle avait anticipé un rire, mais Julian se contenta de suivre du bout des doigts l'encolure de sa chemise, la courbe de ses clavicules, la naissance de sa gorge...
– Surtout pendant la cérémonie.
Un sifflement retentit. Aussitôt, Helen et Aline bondirent sur leurs pieds. Autour d'elles, les arbres s'étaient mis à remuer. Helen dégainait son épée lorsqu'une cinquantaine d'hommes armés jusqu'aux dents fondirent sur le campement, menés par Manuel Villalobos.
Magnus ne se donna même pas la peine de se lever de son rondin.
- Oh! là, là, dit-il avec ennui. Une attaque surprise. C'est terrifiant.