C'est à ce moment qu'il a l'idée de leur préparer un joint. Il espère les calmer, il va seulement les emmener à la lisière de leur sauvagerie intime. (p.46)
Presque toujours des histoires de disparitions. ces idiots de touristes, se perdaient, se noyaient ou s'évaporaient dans la nature tout simplement. Et très souvent on ne les retrouvait jamais. Cela n'empêchait pas de les chercher. (p.21)
Si Anthony avait réfléchi, il aurait vite compris qu'un gros ours comme lui n'aimait tout simplement pas les maigres. mais ce n'était pas son genre, tout gay qu'il était, d'exprimer le moindre sentiment de discrimination. (p.21)