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Quelle gifle !
Quel coup de pieds au cul ! Ouaw !
Je viens de terminer « Héloïse » et le moins qu'on puisse dire c'est que c'est un livre qui secoue même si de temps en temps, on voudrait la secouer, l'Héloïse.
Je ne comprends pas qu'on ait classé ton livre parmi les romans policiers. C'est une tranche de vie sombre je n'en disconviens pas, mais roman policier, non. Ok, il y a des meurtres mais il n'y a pas d'enquête !
J'ai également retrouvé dans ce roman, un personnage maléfique, inquiétant, j'ai nommé « L'Ombre ». Personnage qu'on retrouve également dans « Anamnèse » de Salvatore Minni, où il est aussi présent. Que ce soit dans ce livre ou dans celui de Salvatore, j'en arriverais presque à dire que c'est le personnage principal, celui par qui tout arrive.
Le rythme est haletant, on veut savoir quel nouveau malheur va encore frapper ; le fait d'entrecoupé les chapitres par des chansons, m'a fait penser, dans un autre registre à Mamma Mia mais en moins gai.
Page 81 : « Les auteurs y mettent une partie de leur âme… » C'est vrai ? Est-ce une partie de l'autrice qu'on retrouve dans ce livre ? Est-ce un roman un peu autobiographique ?
Mystère ! Bravo !
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Nous partons à la découverte de la triste vie d'Héloïse, nous sommes loin du conte de fées. , sa vie ne sera souffrance, de sa naissance à sa vie de jeune femme. La mort de sa mère , à sa naissance, un père qui l'accuse et préfère l'abandonner, la perte de son meilleure ami d'enfance, les familles d'accueil, la dernière signe sa descente aux enfer, son tuteur assouvit ses pulsions sexuelles, elle ne se considère plus comme à être humain, mais comme une chose, elle est totalement détruite physiquement et psychologiquement . Un monde de souffrance pour elle même et les autres. Elle nous raconte sa vie sans pudeur, telle qu'elle a vécu. Une ombre de noirceur s'entoure d'elle, une ombre qui la détruit , nous assistons, à sa la descente de les méandres de l'enfer. Elle a du mal à croire au bonheur, du mal se livrer, elle gage tout , elle se renferme dans un monde de solitude, de dépression, un cocktail alcool et médicaments seront sources de libération de ses démons. J'ai souffert avec Héloïse, j'avais envie de lui faire comprendre, qu'elle avait le droit de connaitre le bonheur, que la vie peut être lumineuse, qu'elle chasse ses démons pour tenter de se reconstruire Arrivera t'-elle à surmonter tout cela, revenir dans la normalité de la vie.
Je dois avouer que l'auteure a mis la barre très haute pour un premier roman. Je me suis prise une énorme claque, un uppercut, littéralement scotchée , me laissant bouche bée. J'étais happée dés le début, nous ne sommes pas dans un thrillers, une histoire à multiples rebondissement, mais bien dans un roman d'une extrême noirceur, terrifiant, glaçant. Elle ne tergiverse pas et nous plonge dans cet univers malsain. Les chapitres court intensifie le coté obscur de l'histoire.
La psychologie d'Héloïse est décortiquée en profondeur, un personnage complexe qui dégage en même temps de l'empathie et l'apathie.
L'auteure ne laisse rien au hasard , tout a son importance, elle use d'un vocabulaire intense, qui fait froid dans le dos
L'écriture est percutante , sensible et subtile, à la fois. Une lecture fluide, addictive.
Une histoire qui va me hanter et cela va être dur de laisser, de me détacher d'Heloise.
Un premier roman , une vraie réussite.
A lire absolument.
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A la découverte d'une nouvelle auteure de polar avec Ophélie Cohen, voilà qui est fait.
Dès les premières pages le ton est donné ; on est sur du noir très profond. Un mantra pour entrer dans l'histoire d « Héloïse » : « toutes les femmes ont une histoire », presque un appel à l'universalité.
Celle d'Héloïse est jalonnée d'abandons et de violences. Elle nous entraîne dans les abysses traumatiques de la personnalité multiple d'Héloïse dont les planètes ne se sont pas alignées en sa faveur. Elle fait preuve d'un incroyable courage, d'une force farouche dans sa lutte perpétuelle contre son ombre maléfique, ses démons et les coups du sort (le plus souvent mauvais) et d'une humanité profonde. On glisse, on glisse, on s'enfonce irrémédiablement dans l'affreux, le moche de la souffrance.
C'est douloureux, émouvant, éprouvant. On a une folle envie de la prendre dans nos bras, de l'accueillir dans notre foyer de la recueillir, de lui offrir une parenthèse enchantée, de la douceur, le repos de son âme.
Le style est fluide, les mots justes pour décrire les émotions ou les luttes intérieures ainsi que les tempêtes émotionnelles. Chaque crise psychotique est ponctuée de superpositions de groupes de mots sans verbe, comme des hoquets. Un symptôme stylistique que l'on finit par redouter !
Je n'ai pas pu lâcher ce livre de la journée. Il est magnifique, écrit avec les tripes. J'aurais voulu dire à Héloïse que je l'aime moi aussi.
Je voudrais dire à Ophélie Cohen qu'elle est une auteure remarquable dans son écriture des tourments et des dysfonctionnements de l'âme humaine. Vous êtes une remarquable Louve madame !
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L'auteur décrit avec talent tous les "paliers de souffrance" dans le parcours de vie d'Héloïse, qui la conduisent à une déchéance totale et incontrôlable.
Les faits sont racontés de façon chronologique, et il y a tellement d'horreur que la lecture en est souvent insoutenable, car trop émotive.
C'est difficile à imaginer, tant c'est "chaotique", déchirant....et l'abandon de naissance de l'héroïne laissera de profondes cicatrices.
L'auteur nous fait découvrir la vie fissurée de cette jeune femme, hantée par son passé où régnait la violence, la perversité, le viol.......mais il y a tellement de volonté de survivre, même si le chemin qu'elle choisit n'est guère salutaire pour elle.
Ce livre "transpire" de souffrance comme un cri de désespoir.....c'est bien écrit et bien transcrit.
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Ahhhn cette couverture ! Elle reste une de mes préférées parmi celles que j'ai pu concevoir pour Phénix Noir. Pourtant, après avoir lu ce roman, je l'aurais peut-être imaginée différemment. Comme quoi, la magie avant et après lecture est toujours un exercice difficile à appliquer. Héloïse sera donc ma première chronique pour cette année 2023. Un hommage que je voulais rendre à toutes ces personnes qui malheureusement se retrouvent seules surtout en cette période de fêtes de fin d'année. Volontairement ou inéluctablement, certaines plongent dans le syndrome d'abandon, phénomène tristement réel, noyant les plus faibles dans un dédale de tourments dont Héloïse, qui n'échappe pas à ce fléau. Comment en est-elle arrivée là et arrivera t'elle a se sortir de ce carcan ? Un livre magnifique qui ne laisse pas indifférent.
Pourquoi j'ai aimé « Héloïse » ?
Ce livre se présente sous forme d'une certaine confession, la très longue lettre d'une jeune femme torturée, hantée par ses propres démons et surtout harcelée par cette ombre qui ne cesse de la persécuter. Elle se livre à nous sans tabous, abandonnant toute pudeur, révélant ses plus sombres secrets. Sa souffrance est palpable dès le début et ne nous quitte pas jusqu'à la fin. Une course effrénée relatant un parcours de vie chaotique, un appel au secours dont nous sommes des témoins désarmés.


Je ne sais pas si le choix du prénom choisi par Ophélie était volontaire. Héloïse: "illustre au combat". Dieu sait ce que cette jeune fille s'accroche et persiste à ne pas sombrer dans cette dévalorisation qui la pousse dans ses propres retranchements. L'écriture est fluide, directe. Pas de grandes descriptions dont certains auteurs abusent trop souvent à tire-larigot pour grossir les pages de leurs livres. Ici on va à l'essentiel et j'aime ça.

Les références musicales présentes aussi dans ce manuscrit sont un petit plus non négligeable. Très bon goût ceci dit en passant. Bref, un livre à lire que je vous conseille vivement !
Lien : https://www.monfilrouge.be/p..
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C'est un 1er roman noir, très noir, dramatique, qu'il faut lire !
Héloise est une jeune femme de 30 ans, qui nous livre son passé, et quel passé !
Abandonnée dès sa naissance par son père, suite au décès de sa maman lors de l'accouchement, elle passera d'orphelinat en familles d'accueil, qui ne seront pas si accueillantes que ça. Elle subira des violences psychologiques, physiques, viol..... mais il y aura aussi de belles rencontres Max, Alexandre, Sasha, mais trop brèves, et ce passé tellement lourd à porter, le besoin d'un amour exclusif, la peur de l'abandon.
C'est un véritable tourbillon d'émotions, bouleversant, on a envie d'aider Héloïse, et dès qu'un peu de bonheur lui arrive, on a envie de la prendre dans nos bras et lui dire tout n'est pas perdu !!
On ne sort pas indemne de cette lecture, mais je vous la conseille vraiment !
Lien : https://www.instagram.com/on..
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𝗧𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲. 𝗟𝗮 𝗺𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘁ô𝘁 𝗺𝗼𝗰𝗵𝗲...

À la veille de ses 30 ans, Héloïse revient sur le déroulé de sa vie et l'enchaînement des évènements...
Elle nous livre ses souvenirs tout en exprimant ses émotions, ses fêlures, ses peurs, son combat, sa douleur et sa colère... !

De foyer en familles d'accueil, elle ne connaîtra jamais l'amour parental.
Abandonnée dès sa naissance, personne ne lui a manifesté sa tendresse...

Enfant, Héloïse n'a pas connu les joies que chaque enfant espère recevoir et partager. Et alors, tout s'impose. le sombre chemin qu'elle a traversé et son sentiment d'abandon l'empêchera de côtoyer les autres...

Max, Alexandre, Souleymane et Sacha vont faire leurs apparitions dans sa vie.
Très peu de temps, bien trop peu !

𝘾'𝙚𝙨𝙩 𝙖𝙞𝙣𝙨𝙞 𝙦𝙪'𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙧𝙖𝙘𝙤𝙣𝙩𝙚 𝙨𝙖 𝙫𝙞𝙚 𝙙𝙚 𝙨𝙤𝙡𝙞𝙩𝙪𝙙𝙚, 𝙨𝙤𝙣 𝙝𝙞𝙨𝙩𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙚...

Ophélie Cohen signe avec un grand talent, son premier roman. Et nous plonge en un tourbillon d'émotions dans les méandres de l'âme.

Un récit bouleversant d'un voyage intérieur sans retour.

𝘾'𝙚𝙨𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙧é𝙪𝙨𝙨𝙞𝙩𝙚 𝙞𝙣𝙙é𝙣𝙞𝙖𝙗𝙡𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙘𝙚 𝙧𝙤𝙢𝙖𝙣 𝙣𝙤𝙞𝙧 𝙦𝙪𝙞 𝙟𝙤𝙪𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙡𝙚 𝙨𝙚𝙣𝙨𝙤𝙧𝙞𝙚𝙡 𝙨𝙤𝙪𝙨 𝙡'é𝙘𝙧𝙞𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙞𝙣𝙘𝙞𝙨𝙞𝙫𝙚 𝙙𝙚 𝙡'𝙖𝙪𝙩𝙧𝙞𝙘𝙚.

💞💞💞
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Une très belle découverte.
La vie d'Héloïse a on ne peut plus mal débutée.
Sa mère est morte en couche et son père a pris la fuite.
Cet abandon va influer sur sa vie, son futur et ses actes.
Elle nous livre ses douleurs, ses peurs et ses fêlures.
Rien ne lui est épargné et on ne peut que s'attacher à Héloïse.
La plume d'Ophélie Cohen est romantique, poétique, subtile avec une once de lumière dans ce destin brisé.
Impossible de lâcher ce roman tant on partage la vie d'Héloïse.
Ophélie Cohen nous offre un roman noir, bouleversant, écrit avec force et beauté.
J'ai adoré.
À lire impérativement.
Si intéressé : https://www.editions-ifs.com/heloise/
Sélectionné pour le Prix Découverte de LA VOUIVRE (décerné lors du salon « L'Automne sera noir» en 2022 au Déchaux) récompensant un premier
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La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l'événement traumatique de manière à ne pas, ou plus, vivre dans le malheur et à se reconstruire d'une façon socialement acceptable.
Rédemption, résilience, sujets littéraires en vogue, constat personnel à la lecture des titres et des synopsis sur les tables de lecture des librairies.
Dans ce premier roman d'Ophélie Cohen, n'en cherchez pas, il n'y en n'a pas une once, quelques instants de rémission, que je n'ose qualifier d'espoir tant il est éphémère et pas de rédemption possible. L'éclosion d'une vie et déjà, la fée culpabilité se penche sur le berceau. Un roman noir, âpre, rugueux, quelques bonheurs suaves aussitôt dilués dans le torrent de la fatalité. Et quand ce n'est pas le destin qui s'en mêle, c'est Héloïse qui perd les pédales, s'emmêle les pinceaux, et sème la peine et le malheur autour d'elle. Héloïse ne m'a pas toujours émue, je ne l'ai pas toujours comprise, ses choix m'ont parfois révoltée car elle s'est parfois construite son propre malheur. La culpabilité, encore elle, c'est elle qui veut ça, ce putain de cancer de l'âme qui fait douter de tout moment de douceur volé au destin, comme si s'autoriser l'accès au bonheur se payait au centuple.
Ophélie nous prend en otage, nous sommes prisonniers de son récit, en apnée, quelques bouffées de plénitude, on respire un grand coup, et c'est à nouveau la tasse, la tête maintenue sous l'eau, pas de naufragé, les séquelles sont mortifères.
Un premier roman prometteur. Les dialogues sont maîtrisés ( c'est souvent un point faible chez un novice, une faiblesse qui demeure même chez certains aguerris ). Ils sonnent juste, sont crédibles.
Certes, j'ai trouvé quelques maladresses dans ce roman, un côté un peu redondant dans le discours, je t'enfonce un peu trop le clou parfois, il est vrai que je préfère le Show, don't tell, et dans ce récit, c'est un peu je te serine pour bien te garder la tête sous l'eau, l'écriture participe à mon sens au mal-être qui s'insuffle au-delà des mots. Néanmoins, comme je le disais à un ami auteur tout récemment, je préfère un texte livrant quelques maladresses mais qui vient me titiller les tripes qu une écriture plate, certes bien écrite mais qui va bien vite me saouler. Malheureusement, des novices jusqu'aux plus aguerris, manque de bol, parfois, certains n'ont ni l'un, ni l'autre.
Il y a donc une vraie personnalité qui émerge de ce récit. de longues phrases, mitraillées par des élocutions raccourcies au maximum, un nom, ou un verbe comme des tirs de kalachnikov. Efficace, sans bavure. Même si la formule revient souvent, comme déjà une marque de fabrique. Une empreinte.
On ressent que l'auteure ne s'est pas contrainte mais a lâché prise en laissant tout le champ libre à son héroïne, même si on ressent que parfois le chemin n'a pas été simple pour donner une autre direction, une nouvelle destinée au personnage principal ainsi qu'aux secondaires.
Une nouvelle auteure qui devrait tirer son épingle du grand jeu des auteurs de romans noirs.
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Je crois qu'il y a beaucoup à dire sur ce livre qui me laisse pourtant une impression mitigée. Je ne parviens pas à dire si je l'ai apprécié ou non, peut-être parce que mon sentiment est allé descrescendo au fur et à mesure que la vie d'Héloïse s'éloignait de la mienne. Peut-être l'ai-je moins bien comprise passé la moitié.

Ce livre aborde beaucoup de sujets graves, sans toutefois tomber dans le glauque : l'orphelinat, les accidents de la vie, la maltraitance, le viol, l'avortement, l'abandon, la dépression voire les troubles mentaux, l'alcoolisme, l'automutilation, l'autodestruction etc. Il ne s'agit pas d'un livre qui traite de tous les malheurs possibles de la vie, mais plutôt de la façon dont les événements de la vie construisent une personnalité.

Il me semble en effet que l'auteur réussit parfaitement à nous montrer comment des blessures d'enfance peuvent façonner toute une personnalité, toute une existence, et met en lumière le fait que certaines ne se referment jamais vraiment malgré les périodes d'accalmie que la vie nous offre. Pour Héloïse, ces périodes coïncideront toujours avec la rencontre d'une personne qui lui témoignera de l'amour. Malheureusement, elle se retrouvera seule avec ses démons chaque fois que l'amour s'en ira ou qu'elle s'imaginera qu'il s'éteint.

Héloïse souffrira donc éternellement de son sentiment d'abandon, du manque de tendresse, du sentiment de ne pas être digne d'amour ni d'intérêt de la part de quiconque, de ne pas avoir de place. Elle ne parviendra jamais vraiment à s'extirper de ce cycle infernal, et forgera son propre malheur.

Nous comprenons bien la spirale dans laquelle sombre Héloïse, pourquoi elle adopte telle ou telle réaction, réactions qui peuvent paraître complètement disproportionnées ou incompréhensibles pour quelqu'un qui ignore son histoire. Je crois que les choses se passent pareillement dans la vie réelle : nous ne comprenons jamais vraiment les autres, tant que nous ignorons leur histoire, et nous ne pouvons pas être compris non plus, sauf par ceux qui se trouvent avoir des points communs avec nous.

J'ai été touchée par les premiers chapitres, par les mots simples mais justes pour raconter l'absence du père, l'espoir irrationnel de le rencontrer un jour, la certitude de l'avoir trouvé dans le regard d'un inconnu. J'ai également été touchée par le choix de certaines chansons qui ont un jour eu du sens pour moi.

Voilà sur le fond, même si je peine à organiser mes pensées.

Sur la forme, je déplore les nombreuses fautes d'accord de participe passé, des concordances de temps parfois hasardeuses et une faute de conjugaison (p286). Les fautes me font perdre le fil de l'histoire, cela m'agace toujours autant d'en trouver dans un livre et me contraint à baisser la note que j'aurais pu être tentée de lui attribuer...

Je remercie néanmoins Babélio et les éditions Ifs de m'avoir permis de découvrir l'auteur.
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