Blue jay way

Trop long, trop complexe, trop alambiqué,trop...! Je suis rentrée dans le livre assez facilement, j'ai trouvé les personnages intéressants et accrocheurs mais plus je me suis approchée de la fin moins je me suis sentie emporté par l'intrigue qui finalement part de tous les côté et, malgré une explication finale, ne réponds pas aux questions soulevées par le récit. Je dirais que c'est dommage d'avoir voulu compliquer ce roman qui méritais un dénouement plus accessible.

Mon sentiment est mitigé quant à ce livre. Au départ, j'ai été très enthousiaste, car je ne savais pas du tout où l'auteur allait. En outre, parallèlement à l'intrigue principale, certains chapitres évoquent deux enfants (Jacob, puis Scott), sans que le tout puisse être relié. Cela a accru ma perplexité, ce qui m'a beaucoup plu!
Fabrice Colin a habilement tissé un réseau d'angoisse autour de Julien. On se doute bien que «l'ennemi» est dans la villa (j'ai d'ailleurs vite deviné de qui il s'agissait), mais on ne sait pas pourquoi et comment il fait pour être si bien informé.
L'ambiance de la maison n'est pas pour arranger les choses. Ces soirées orgiaques où on fait semblant d'être heureux, mais où on montre à quel point on est blasé ne font que renforcer l'impression de malaise.
[...]
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Plongé dans un monde où fiction et réalité cohabitent, notre héros va devoir donner des cours à un ado de LA, ayant des amis aussi tarés que lui ayant pour distraction sexe, drogue et on devine qqs histoires pas très catholiques.
Puis viennent uin meutre, un détective bidon et l'histoire commence enfin (oui le début est trop long!) à se dessiner. En parrallèle on apprend l'existence de 2 garçons au comportement mental qui donne froid dans le dos et on se doute qu'on les retrouvera pour le dénouement.
Début trop long donc mais la fin est bien menée. le héros perd pied, se demande si il vient de vivre quelque chose de réel et le narrateur nous laisse donc sur une fin que l'on peut nous même interpréter.