Hunger Games : La Ballade du serpent et de l'Oiseau chanteur

Ayant beaucoup aimé la trilogie Hunger Games à sa sortie, j'étais curieuse de lire ce volume additionnel. J'ai apprécié l'idée de nous conter la jeunesse du président Snow, les personnages "mauvais" étant souvent bien plus complexes, ambivalents et intéressants que les héros. J'ai malheureusement été assez déçue par cette lecture. Certes, j'ai apprécié de retrouver le Capitole, d'en apprendre plus sur l'histoire de Snow, la guerre, le début des Hunger Games. Malheureusement, la sauce ne prend pas, on ne retrouve pas ce "petit quelque chose" qui a fait la réussite de la trilogie initiale. Je n'ai réussi à m'attacher à aucun personnage, certains passages comportaient de terribles longueurs, je n'ai pas perçu de message fort ou de réflexion pour les jeunes lecteurs. de plus, j'ai été très gênée par le prénom de Coriolanus, il apparait plusieurs fois à chaque page, de plus il est impossible à lire (personnellement je lisais "coronavirus" à chaque fois que je le déchiffrais). C'est un détail mais c'est assez perturbant de lire que "Coronavirus passa à table et dévora une assiette de chou".
Ce roman donne quelques pistes pour comprendre la complexité du président Snow et l'évolution des Hunger Games, mais il ne révolutionnera pas la saga initiale.

Après avoir dévoré la saga Hunger Games, je me faisais une joie de retrouver l'un de ses personnages principaux. le plaisir est pourtant loin d'être au rendez-vous.
J'ai été très déçue par ce livre que ce soit sur le fond ou la forme.
L'histoire est bateau, il n'y a que très peu de surprises. Les personnages secondaires sont inexistants, à vrai dire je n'ai pas le moindre souvenir du nom de l'un d'eux ou de son histoire personnelle. Même Snow est insipide, fade, loin de celui qu'on connaît dans la célèbre trilogie. L'histoire est lente, ne connaît pas de réels rebondissements, on s'ennuit. le dénouement final est très mal amené, tiré par les cheveux, on a l'impression que l'auteur n'avait qu'une envie : se débarrasser de cette histoire au plus vite sans trop savoir comment.
Le style d'écriture est simplet et je ne retrouve pas ce que j'avais aimé chez Suzanne Collins. Les descriptions comblent le vide de façon pesante à des moments inopportuns. Par contre, lorsque l'on aimerait un peu plus de détails, elles sont bâclées et laissent une impression de décor inachevé.
Un livre dont je me serai bien passé et que j'ai survolé, juste en souvenir de la saga.

Que dire... il faut déjà savoir que je voue un amour déraisonnable à la trilogie Hunger Games de Suzanne Collins. Je trouve les thèmes abordé pertinents, les personnages furieusement attachants, la dynamique parfaite et surtout un style d'écriture très agréable.
Alors pour ce nouvel opus je savais que je risquais d'être déçue... Déjà parce que je trouvais impossible de rendre le personnage de Snow attachant (Et oh merci l'auteur n'a pas franchement essayé).
Mais je suis déçue pour d'autres raisons. Notamment le style d écriture que j ai trouvé sensiblement différent. J ai vérifié à trois reprises qu'il s'agissait bien du même traducteur et je ne m explique pas cette différence. le style est bâclé, le rythme est mal géré, les dialogues sont décevants de superficialité... Peut-être cela tient du fait que l'auteur à essayé de tout condenser en un seul livre, mais je trouve ce récit manquant d'émotion, de profondeur et de réflexion. Dommage...

J'étais perplexe et excitée comme une puce lorsque j'ai appris qu'un autre tome de la série Hunger Games de Suzanne Collins allait voir le jour. J'avais dévoré en son temps les trois premiers, tournant les pages sans pouvoir lâcher le livre, avide de découvrir ce qui allait arriver à Katniss et ses compagnons d'infortune.

Malheureusement, ce ne fut pas le cas ici. Premièrement, on a du mal à situer l'action, même si, au fur et à mesure des descriptions, l'on se doute qu'elle se passe avant la première série de trois.

Pour moi, la construction de l'intrigue est hasardeuse. Certains aspects sont beaucoup trop courts, d'autres beaucoup trop longs. Et la lecture a été pénible. Impossible d'entrer dans l'intrigue. Si l'auteur arrive à nous mener en bateau un moment avec la pseudo romance entre Lucy Gray et Coriolanus, on distingue très vite que cela n'est pas la réalité. Que la neige n'est pas si blanche.

Première lecture décevante cette année.

Ce qu'en dit l'éditeur :

« Dévoré d'ambition
Poussé par la compétition
Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix
C'est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L'avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d'astuce et d'inventivité pour faire gagner sa candidate.
Mais le sort s'acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l'échec, au triomphe ou à la ruine.
Dans l'arène, ce sera un combat à mort.
Pour assouvir son ambition, Coriolanus parviendra-t-il à réprimer l'affection grandissante qu'il ressent pour sa candidate, condamnée d'avance ? »

ISBN : 9 782 266 305 754
Prix en France : 19,90 euros

Lien : https://lesrevuesdelalicorne..

Ayant adoré la trilogie Hunger Games que j'ai lu il y a des années, j'étais vraiment curieuse de découvrir ce préquel !

L'histoire se passe plus d'un demi-siècle avant les événements de la trilogie. Coriolanus Snow, le vieux président cruel et vicieux de Hunger Games, est ici un jeune adolescent de 18 ans, et cela fait à peine une dizaine d'années que les Hunger Games existent. On découvre ici un jeune homme dont la famille a des problèmes d'argent suite à la guerre contre les districts, et qui essai du mieux qu'il peut de remonter la pente, tout en sauvant les apparences. Cette apparence, qu'il tend à garder lisse, en prend un coup lorsqu'il se retrouve être le mentor de Lucy Gray, une jeune fille du District 12, l'un des districts les plus pauvres. Mais Snow est motivé à faire d'elle une gagnante et à ne pas entacher sa réputation.

J'ai apprécié la personnalité de Lucy mais sans plus. Je ne me suis pas attachée à elle, et elle ne pas touchée plus que cela. D'ailleurs je l'ai trouvée assez effacée. En ce qui concerne Coriolanus Snow, j'avais le souvenir de quelqu'un de très cruel, calculateur, manipulateur et ambitieux. Sauf qu'ici, je n'ai pas ressenti tout cela. Oui, il est froid et veut parvenir à ses fins, mais je n'ai pas ressenti cette personnalité détestable comme dans la trilogie. Il reste un personnage peu appréciable, mais c'est assez flou. Je regrette qu'on soit autant resté en surface sur sa personnalité qui aurait pu être un peu plus travaillée.

Il y a une partie où on assiste à ce qu'il se passe dans l'arène du point de vu des mentors via les écrans, mais c'est évidemment moins palpitant que dans la trilogie. Même s'il se passe une scène dans l'arène où j'ai retenu mon souffle, franchement niveau action c'est moyen. Et puis j'ai trouvé la partie des Hunger Games trop rapide, et je n'ai pas réussi à retrouver cette ambiance impitoyable et malsaine, malgré que le Capitole soit toujours aussi impitoyable. Je ne me suis attaché à aucun personnage ici. Il y a juste un personnage que j'ai trouvé un peu agaçant au début mais qui, par la suite, m'a fait ressentir un peu de pitié, mais c'est tout.

J'ai aimé les références à la saga principale, comme les chansons et les fleurs de katniss. D'ailleurs, les chansons étaient un peu trop présentes à mon goût, j'avoue que pour certaines je les lisais en diagonale.

A part cela, je trouve qu'il y a beaucoup de longueurs, le rythme est lent, et même si j'aime pas faire ça j'ai quand même sauté quelques lignes parfois, car c'était beaucoup trop long à mon goût. Il y a des aspects intéressants dans ce livre et on découvre le tout début des Hunger Games, mais encore une fois toutes ces longueurs, particulièrement dans la troisième partie.

Un tome qui était loin d'être indispensable, je m'attendais à quelque chose d'un peu plus palpitant. C'est pas hyper mauvais ou quoi, mais je suis restée sur ma faim. Dommage.
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J'attendais avec grande impatience cette sortie qui s'annonçait incroyable, aussi je suis très triste de dire que cette lecture fut une grosse déception.

Ce préquel est extrêmement lent et long, les 600 pages ont été très dures à lire, quand je m'ennuyais, et je n'ai évidemment pas du tout accroché à l'histoire. Je n'ai pas retrouvé ce que j'avais adoré dans la saga principale, soit un côté addictif, des rebondissements, et donc j'en ai été très triste et déçue. L'ennui a été terrible, je me forçais à continuer en espérant accrocher à un moment ou à un autre à l'histoire, mais il n'y avait pas de gros rebondissements notables qui auraient pu me faire entrer dans le roman. J'ai trouvé ça très dommage : l'histoire est prévisible, plate et donc, décevante. Certains moments sont à mon sens inutiles, ou n'ont aucun sens par rapport à l'histoire, ils ajoutent donc de la longueur, ce qui ne m'a pas aidée à apprécier. J'ai ressenti du soulagement en reposant définitivement ce livre, car mes espoirs ne cessaient de se briser au fur et à mesure de ma lecture.

De plus, ce préquel n'apporte finalement que très peu d'informations sur la saga principale, mis à part quelques références et explications. Je n'ai donc pas trop compris l'intérêt, excepté faire des ventes, je m'attendais à constater l'évolution de Snow, voir ce qui l'avait rendu comme il est dans la saga principale, et, comme je le disais, il y a quelques éléments, mais pas suffisamment à mon goût. J'aurais adoré apprendre de nouveaux éléments qui m'auraient vraiment surprise, tandis que je n'ai pas ressenti ça ici.

La plume est également très maladroite, j'ai mis du temps à m'en rendre compte, mais je ne l'ai vraiment pas aimée. J'imagine que c'est la traduction qui l'a rendue aussi pénible à lire, car j'avais totalement accroché à la saga principale : ça ne m'a pas aidé à apprécier.

Enfin, j'ai été déçue concernant les personnages. En effet, les personnages secondaires sont totalement mis de côté selon moi, ce qui est dommage. Snow, quant à lui, est un personnage détestable, ce qui donne une touche originale au roman, mais j'ai eu du mal à apprécier cela, car son point de vue m'a dérangée. Ce côté est totalement personnel pourtant, ajouté au reste, je n'ai pas réussi à aimer.

Il y a quand même quelques points positifs, comme l'univers que l'on retrouve avec plaisir, l'atmosphère, mais toutes mes attentes ont été réduites à néant par les points négatifs que j'ai cités, aussi je ne peux pas vous recommander ce livre. Contentez-vous de la saga principale, qui est bien meilleure, selon moi encore une fois.

Pour conclure :
C'est ainsi une grosse déception pour ce préquel qui ne m'a pas paru essentiel à la saga, et auquel je n'ai pas accroché.
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Tiens, un volet numéro 4 après tant d'années ! Il va falloir avoir de l'idée. Quelle est-elle donc ? Ici, on part sur un roman qui se déroule avant les trois autres tomes. Et, parce qu'il fallait bien trouver une originalité pour justifier le récit, on a le point de vue du mentor. Bon. Dis comme ça, on se dit qu'il va falloir drôlement briller pour ne pas faire de réchauffé. Et, manque de chance, ce n'est pas vraiment le cas. Ce serait comme réécrire l'arrivée à Poudlard avec un autre élève, qui mettrait le choixpeau etc. Et même si on change le point de vue, on reste sur du déjà-vu. Alors oui, on a une petite dose de sang, oui, le concept fonctionne mais on s'attache déjà beaucoup moins aux protagonistes et on a quand même vraiment l'impression de déguster un vieux reste décongelé.
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