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4,07

sur 2725 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Très honnêtement je ne m'attendais pas à cette histoire. Pendant toute ma lecture je suis restée mitigée, tantôt avide d'en savoir plus tantôt ennuyée par la direction que prenait le récit. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis plus longtemps à le finir que les précédents. En vérité le point de vue abordé n'est pas inintéressant au contraire, mais le déroulé des évènements, la façon d'amener les choses jusqu'à la fin ne m'a pas convaincue. Je ne veux pas en dire trop pour ne pas spoiler si vous souhaitez le lire. On va dire que je m'attendais plus à une dynamique de "voilà comment je suis devenu ce que je suis" mais on est pas vraiment là dedans. Attention soyons clairs, j'aime beaucoup le style d'écriture de l'auteure, ce n'est pas ce que je remet en cause ici. L'histoire ne m'a pas convaincue mais ça reste mon avis, mon ressenti! Malgré tout, je reste curieuse de voir comment ils comptent l'adapter au cinéma. Sait on jamais si le film me plaira mieux ou non!
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J'ai voulu lire ce tome après avoir vu le film au cinéma. J'avais pas forcément accroché à l'adaptation en film et encore moins avec le livre. Je n'ai pas retrouvé l'excitation que j'avais eu en lisant les 3 Hunger Games. Même si les clins d'oeil sont nombreux ça n'a pas réussi à me tenir investi dans ma lecture. J'ai fini ce livre en version audio car ça m'a vite ennuyé. Pas un coup de coeur pour celui là, dommage
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La Ballade du serpent et de l'oiseau-chanteur nous ramène presque aux origines des Hunger Games, quand les mentors ont été institués pour la première fois. Coriolanus Snow, élève ambitieux et prometteur de l'Académie, est l'un d'entre eux. D'abord fier, il déchante lorsqu'il découvre qu'on lui a attribué le tribut féminin du District Douze…

Snow étant l'un de mes personnages préférés, j'avais très envie de lire ce livre centré sur son passé, et en même temps j'éprouvais une certaine appréhension, étant donné que je n'ai jamais réussi à accrocher aux romans Hunger Games, leur préférant de très loin les films.

La faute à une plume qui m'apparaissait insipide et dépourvu d'émotion. Que ce soit les morts, les joies, les peines, Suzanne Collins n'a jamais rien réussi à me faire ressentir. Et des années plus tard, je dirais qu'il y a une légère amélioration.

Légère. La violence est un peu mieux retranscrite, un peu plus palpable. La romance, en revanche… Non, ce n'est toujours pas possible. le problème, c'est qu'elle est au coeur même de ce préquel, là où elle relevait surtout de la stratégie dans les mésaventures de Katniss.

À aucun moment je n'ai été touchée par la relation entre Coryo et Lucy Gray, parce qu'à aucun moment, je ne l'ai trouvée crédible. Il n'y a pas d'alchimie, et les sentiments que l'auteur essaye de coucher sur le papier sonnent faux.

Bon, j'admets que le fait de n'avoir pas pu encadrer Lucy Gray ne m'a pas aidée à m'attacher à leur histoire. Je ne saurais même pas dire exactement pourquoi, juste qu'elle ne m'a inspirée aucune sympathie. Peut-être à cause du style qu'elle se donne, peut-être parce que je la sentais un peu hypocrite sur les bords, peut-être qu'on n'a simplement pas d'atomes crochus, elle et moi.

Coryo, c'est différent. Au début, il collait à l'image que j'avais de lui. La première partie le présente comme un adolescent froid, élitiste et dévoré par l'ambition, un pur produit du Capitole, mais pas particulièrement cruel, et encore moins mauvais. Égoïste, tout au plus. Peu lui chaut que des gens souffrent et crèvent de faim, sans pour autant qu'il se montre totalement insensible lorsqu'il les a sous les yeux.

J'ai adoré sa dimension machiavélique, au sens politique (mais pas que) du terme. Sauf que la suite a tout gâché. Sa bluette avec Lucy Gray, déjà, qui le rend très niais sur les bords, et surtout la troisième partie, qui fait évoluer le personnage trop vite, au mépris de toute cohérence et de toute logique.

Rien dans son comportement ne le prédestinait à devenir un tueur de sang-froid, malveillant et diabolique (en tout cas pas si vite), si ce n'est le besoin de raccrocher avec le Snow plus impitoyable de Hunger Games. Sauf qu'entre Hunger Games et ce préquel, plus de soixante ans se sont écoulés. Soixante années que l'auteur a choisi de condenser en un été.

Attention, spoilers dans ce paragraphe ! La mort de Mayfair est le moment charnière pour moi, celui où tout bascule, mais dans la mauvaise direction. Ce meurtre m'a semblé sortir de nulle part, en mode « Eh, regardez, Snow commence à tuer pour sauver sa pomme, c'est un grand méchant ! ». Quant à l'exécution de Sejanus… Eh bien, désolée, mais je n'arrive pas à l'en blâmer. Ce type ne lui a valu QUE des problèmes, et il était encore sur le point de mettre toute la base en danger, Coryo le premier. Fin des spoilers !

Contrairement à la saga principale qui était sauvée (à mes yeux) par ses personnages secondaires (merci Finnick, Johanna, Haymitch, Cinna…), ici, ce n'est pas le cas. Si je me suis attachée un temps à Tigris et à Sejanus, j'ai rapidement déchanté.

Tigris est gentille. Voilà, c'est tout ce qu'il y aura à dire sur elle. On ne sait pas comment la situation va se dégrader entre elle et Snow, comment elle va le regarder se transformer en dictateur quand, jusque-là, elle semblait avoir une influence plutôt positive sur lui… Bref, on ne sait rien.

Sejanus, lui, apparaît d'abord comme le vrai héros du livre, celui qui n'a pas peur de se dresser face au Capitole, de dénoncer ses exactions et les injustices dont il est témoin. Un comportement louable, qui devient complètement stupide au fil des chapitres. Au lieu de réfléchir à la manière de faire bouger les choses, d'améliorer la vie des gens, notamment grâce à la fortune de sa famille, et de suivre les conseils pleins de bon sens de Coryo, il pleurniche sur son sort et finit par ne regarder que son petit nombril, sans se soucier des ennuis qu'il attire aux autres. Désolée, mais je soutiens Snow à 100% vis-à-vis de lui.

D'autres éléments avaient du potentiel (le passé du doyen, celui de Lucy Gray, de Crassus Snow, les rebelles, les condisciples de Coryo…), mais demeurent sous-exploités. Un beau gâchis, en somme. Et bien sûr, je ne parlerai pas des prénoms à coucher dehors. Ça m'avait déjà marquée dans Hunger Games, mais là, on touche le fond.

Le scénario aurait quant à lui pu tenir la route… s'il n'avait pas été aussi long et lent, en plus de reposer essentiellement sur la symbolique (les serpents, la neige, les chansons soigneusement décryptées au fur et à mesure par le narrateur…) et sur les clins d'oeil (vous avez dit « geai moqueur » ? Tenez, voici quarante douze paragraphes ô combien passionnants à leur sujet !). Même Lucy Gray m'a plus d'une fois fait l'effet de n'être rien d'autre qu'une Katniss douée pour se donner en spectacle.

Je mentirais en prétendant que je n'ai pas apprécié de découvrir un Capitole d'après-guerre, loin de la faste qu'il revêtira dans le futur, mais à part ça, j'ai trouvé les deux premières parties (l'avant et le déroulement des Hunger Games) interminables. J'avais juste hâte que tout le monde meurt pour qu'on puisse passer à autre chose. Ou pas…

Il faut savoir que j'avais mis beaucoup de soin à ne pas me spoiler une seule ligne de l'intrigue en attendant la sortie de cet ouvrage en poche, et j'ai envie de dire : tant d'efforts et de prudence déployés pour ça ! « Ça » étant les dix dernières pages (et encore, je suis généreuse) qui expédient ce que je m'attendais réellement à lire dans un préquel retraçant la jeunesse du président Snow : son ascension, et bien sûr celles des Jeux.

Ce roman est clairement un gros raté pour moi. Je plaçais en lui de très hautes attentes, et elles ont toutes été déçues, essentiellement par les choix de Suzanne Collins qui me paraissent plus que discutables. Elle aurait ne serait-ce qu'étiré son récit sur une plus longue période, au lieu de s'enliser dans une romance sans âme et des références envahissantes à la trilogie d'origine, la transition de « Coryo » à « Snow » serait peut-être mieux passée. Hélas, ce n'est pas le cas.
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Grosse déception…

J'en attendais tellement de connaître le futur président Snow, son ascension au pouvoir et si son caractère était comme il est depuis l'enfance ou si on est dans un cas gentil devenu méchant. En tout cas aucune de mes interrogations n'a été vraiment résolues. J'en attendais peut être trop ?
Dans tous les cas, il y a beaucoup de trop de longueurs, les Hunger Games ne sont pas centraux et pour le coup quelque chose dont je ne m'y attendais pas était très central c'est de la romance. Je pense que c'est ce dernier point qui m'a vraiment dérangé.
De plus, Coriolanus est vraiment un personnage lisse alors qu'il est si charismatique et abominablement détestable dans la trilogie. Pour moi, évidemment, certaines de ses réflexions sont dérangeantes mais ce n'est pas poussé, il se reprend très vite, d'autres actions/descriptions se passent et on en oublie ce qu'il vient de se passer/ce qu'il vient de dire.
Il devient le méchant dont on attend la description depuis 550 pages dans les 20 dernières pages… La fin est assez abrupte, manque de profondeur et pour moi elle aurait dû être plus approfondie… Je ne sais pas s'il y aura une suite mais je suis assez triste d'écrire cette chronique alors que la trilogie Hunger Games était incroyable.
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Une fois de plus je me sens flouée. Je suis tombée dans le panneau. Ce dernier opus, sorti bien après le succès de la trilogie, n'apporte rien à mon sens.
On pense comprendre le pourquoi du comment de la froideur du président Snow. Pour moi, il n'en est rien. J'ai eu beaucoup de mal à le lire, bien plus touchée par la cruauté des jeux que lors des 3 premiers tomes. Sans doute parce que Coriolanus ne m'a inspiré aucune sympathie. Rien ne venait donc adoucir le récit. J'y ai trouvé bien des longueurs aussi. C'est bien la première fois que je me dis que j'aurais mieux fait de me contenter de regarder le film...
A voir donc au cinéma !
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J'avoue avoir eut beaucoup de mal avec ce livre Coriolanus est un être tellement détestable manipulateur qu'il est difficile de s'identifié à lui ou même de l'apprécier et d'apprécier passer du temps avec lui au fil des pages.

Heureusement, chose qui sauve un peu ce tome et mon envie de continuer et prolonger ma lecture pour au moins le finir, sans quoi je suis pas sur que j'aurais réussit à aller au bout, Lucy Gray qui est aussi adorable et attachante que Coriolanus est détestable et méprisable.

Je regrette qu'elle ne bénéficie pas de la fin heureuse qu'elle mérite même si je crois que j'aurais encore plus regretter qu'elle finisse avec un type aussi abjecte que Coriolanus, mais qui sait peut-être qu'elle aurait put le faire changer et le rendre meilleur si ça avait été le cas. C'était peut-être la seule à en être un temps soit peu capable, mais bon on ne réécrira pas l'histoire qui aurait peut-être été bien différente dans ce cas
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Il s'agit là du récit du président Snow quand il était jeune. Tout juste sortie de la guerre le président Snow fait ses études et sa famille s'est appauvrie à cause de la guerre, ils ont perdu toute leur fortune et il essaie de le cacher. Tous les élèves de sa classe sont les mentors des participants de chaque district pour les dixième hunger games. On y comprend les différents lien entre le président snow et le geai moqueur. Ainsi que son rapport avec le district 12. On comprend donc le président qu'il est devenu et ses convictions.
J'ai bien sûr apprécié l'univers de hunger games mais l'action met énormément de temps à arriver à mon goût. Ça me déçoit pour un hunger games mais cela reste logique car son but est de poser les bases de l'histoire.
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Plongé tout droit dans l'esprit d'un adolescent à l'avenir prometteur et funeste, nous suivons ses aventures qui l'ont mené à cette grande gloire macabre. Son histoire se noue à celle d'un oiseau écorché, une surprise pour un monstre à devenir. le scénario est en cohérence avec les contradictions d'un esprit adolescent à la quête de son avenir, mais les idées émergées afin d'offrir une continuité aux Hunger Games sont travaillées de façon trop superflue. La romance est sans pénurie de profondeur contrairement au contexte socio-éco-politique qui définit en tout point la saga. L'évolution sur les prises de décision de Snow aurait dû prendre plus de place dans le roman. Même si nous comprenons la manière dont le futur président apprend et donne un tout autre tournant pour les Hunger Games, ses déboires romantiques prennent une trop grande ampleur, jusqu'à presque occulter ses véritables objectifs. Est-ce volontaire de la part de Collins ? Probablement que oui, probablement que non. A vous de faire votre propre avis sur ce préquel qui, je pense, pourra combler le bonheur d'autrui pas le mien malheureusement.
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Je n'ai pas apprécié ma lecture, j'etais pourtant une très grande fan d'hunger games lorsque j'ai lu les livres. Mais ici tout est long et fastidieux pour au final ne pas nous apprendre grand chose. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, les relations entre eux sortent de nulle part, on ne comprend pas ce qu'ils ressentent, ils sont des clichés d'eux mêmes.
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Etant une grande fan de la trilogie, j'ai décidé de me lancer dans cette lecture avec beaucoup d'attente : retrouver l'ambiance de la trilogie et l'envie de tourner les pages. Sauf que, ça n'a pas du tout été le cas. Ces 600 pages étaient très longues. J'ai pensé abandonné ma lecture plusieurs fois mais je ne voulais pas ne pas savoir. Et bien, ce fut une perte de temps. Les seuls points positifs que je trouve sont que oui, en tant que fan de la trilogie on retrouve effectivement les Hunger Games, mais les Hunger Games d'il y a des décennies donc vraiment c'est pas intéressant. .
Le tour de force de l'autrice était peut-être de me faire ressentir un profond dégoût pour ce personnage, mais quand j'ai fermé le livre, je n'avais qu'une envie: m'en débarrasser.
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Thème : Hunger Games : La Ballade du serpent et de l'Oiseau chanteur de Suzanne CollinsCréer un quiz sur ce livre

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