Hunger Games : La Ballade du serpent et de l'Oiseau chanteur

Quelle déception !
J'avais adoré les Hunger Games, du moins les deux premiers tomes.

La promesse de ce préquel m'avait mis l'eau à la bouche : comprendre d'où venait le Président Snow et découvrir l'autre côté du décor des Jeux.

Mais ce roman m'est apparu comme un enchaînement de faits et de rebondissements, sans effet waouwwww. Les personnages manquent d'épaisseur, je ne suis pas parvenue à rentrer dans leur tête et encore moins à m'attacher. Je n'ai pas toujours compris leurs décisions. Même l'histoire d'amour manque de relief : pourquoi ces deux là tombent-ils amoureux, cela semble improbable et on n'y croit pas.

Quant aux Jeux, je ne suis pas non plus rentrée dedans. On ne connaît pas les autres tributs, l'arène est réduite à son plus simple appareil. Rien ne permet de créer de l'angoisse ou un suspense.

Dommage car l'idée de départ était extrêmement séduisante et aurait pu faire un bon livre...

J'attendais avec grande impatience cette sortie qui s'annonçait incroyable, aussi je suis très triste de dire que cette lecture fut une grosse déception.

Ce préquel est extrêmement lent et long, les 600 pages ont été très dures à lire, quand je m'ennuyais, et je n'ai évidemment pas du tout accroché à l'histoire. Je n'ai pas retrouvé ce que j'avais adoré dans la saga principale, soit un côté addictif, des rebondissements, et donc j'en ai été très triste et déçue. L'ennui a été terrible, je me forçais à continuer en espérant accrocher à un moment ou à un autre à l'histoire, mais il n'y avait pas de gros rebondissements notables qui auraient pu me faire entrer dans le roman. J'ai trouvé ça très dommage : l'histoire est prévisible, plate et donc, décevante. Certains moments sont à mon sens inutiles, ou n'ont aucun sens par rapport à l'histoire, ils ajoutent donc de la longueur, ce qui ne m'a pas aidée à apprécier. J'ai ressenti du soulagement en reposant définitivement ce livre, car mes espoirs ne cessaient de se briser au fur et à mesure de ma lecture.

De plus, ce préquel n'apporte finalement que très peu d'informations sur la saga principale, mis à part quelques références et explications. Je n'ai donc pas trop compris l'intérêt, excepté faire des ventes, je m'attendais à constater l'évolution de Snow, voir ce qui l'avait rendu comme il est dans la saga principale, et, comme je le disais, il y a quelques éléments, mais pas suffisamment à mon goût. J'aurais adoré apprendre de nouveaux éléments qui m'auraient vraiment surprise, tandis que je n'ai pas ressenti ça ici.

La plume est également très maladroite, j'ai mis du temps à m'en rendre compte, mais je ne l'ai vraiment pas aimée. J'imagine que c'est la traduction qui l'a rendue aussi pénible à lire, car j'avais totalement accroché à la saga principale : ça ne m'a pas aidé à apprécier.

Enfin, j'ai été déçue concernant les personnages. En effet, les personnages secondaires sont totalement mis de côté selon moi, ce qui est dommage. Snow, quant à lui, est un personnage détestable, ce qui donne une touche originale au roman, mais j'ai eu du mal à apprécier cela, car son point de vue m'a dérangée. Ce côté est totalement personnel pourtant, ajouté au reste, je n'ai pas réussi à aimer.

Il y a quand même quelques points positifs, comme l'univers que l'on retrouve avec plaisir, l'atmosphère, mais toutes mes attentes ont été réduites à néant par les points négatifs que j'ai cités, aussi je ne peux pas vous recommander ce livre. Contentez-vous de la saga principale, qui est bien meilleure, selon moi encore une fois.

Pour conclure :
C'est ainsi une grosse déception pour ce préquel qui ne m'a pas paru essentiel à la saga, et auquel je n'ai pas accroché.
Lien : https://unepassiondesmots.wo..

La Ballade du serpent et de l'oiseau-chanteur nous ramène presque aux origines des Hunger Games, quand les mentors ont été institués pour la première fois. Coriolanus Snow, élève ambitieux et prometteur de l'Académie, est l'un d'entre eux. D'abord fier, il déchante lorsqu'il découvre qu'on lui a attribué le tribut féminin du District Douze…

Snow étant l'un de mes personnages préférés, j'avais très envie de lire ce livre centré sur son passé, et en même temps j'éprouvais une certaine appréhension, étant donné que je n'ai jamais réussi à accrocher aux romans Hunger Games, leur préférant de très loin les films.

La faute à une plume qui m'apparaissait insipide et dépourvu d'émotion. Que ce soit les morts, les joies, les peines, Suzanne Collins n'a jamais rien réussi à me faire ressentir. Et des années plus tard, je dirais qu'il y a une légère amélioration.

Légère. La violence est un peu mieux retranscrite, un peu plus palpable. La romance, en revanche… Non, ce n'est toujours pas possible. le problème, c'est qu'elle est au coeur même de ce préquel, là où elle relevait surtout de la stratégie dans les mésaventures de Katniss.

À aucun moment je n'ai été touchée par la relation entre Coryo et Lucy Gray, parce qu'à aucun moment, je ne l'ai trouvée crédible. Il n'y a pas d'alchimie, et les sentiments que l'auteur essaye de coucher sur le papier sonnent faux.

Bon, j'admets que le fait de n'avoir pas pu encadrer Lucy Gray ne m'a pas aidée à m'attacher à leur histoire. Je ne saurais même pas dire exactement pourquoi, juste qu'elle ne m'a inspirée aucune sympathie. Peut-être à cause du style qu'elle se donne, peut-être parce que je la sentais un peu hypocrite sur les bords, peut-être qu'on n'a simplement pas d'atomes crochus, elle et moi.

Coryo, c'est différent. Au début, il collait à l'image que j'avais de lui. La première partie le présente comme un adolescent froid, élitiste et dévoré par l'ambition, un pur produit du Capitole, mais pas particulièrement cruel, et encore moins mauvais. Égoïste, tout au plus. Peu lui chaut que des gens souffrent et crèvent de faim, sans pour autant qu'il se montre totalement insensible lorsqu'il les a sous les yeux.

J'ai adoré sa dimension machiavélique, au sens politique (mais pas que) du terme. Sauf que la suite a tout gâché. Sa bluette avec Lucy Gray, déjà, qui le rend très niais sur les bords, et surtout la troisième partie, qui fait évoluer le personnage trop vite, au mépris de toute cohérence et de toute logique.

Rien dans son comportement ne le prédestinait à devenir un tueur de sang-froid, malveillant et diabolique (en tout cas pas si vite), si ce n'est le besoin de raccrocher avec le Snow plus impitoyable de Hunger Games. Sauf qu'entre Hunger Games et ce préquel, plus de soixante ans se sont écoulés. Soixante années que l'auteur a choisi de condenser en un été.

Attention, spoilers dans ce paragraphe ! La mort de Mayfair est le moment charnière pour moi, celui où tout bascule, mais dans la mauvaise direction. Ce meurtre m'a semblé sortir de nulle part, en mode « Eh, regardez, Snow commence à tuer pour sauver sa pomme, c'est un grand méchant ! ». Quant à l'exécution de Sejanus… Eh bien, désolée, mais je n'arrive pas à l'en blâmer. Ce type ne lui a valu QUE des problèmes, et il était encore sur le point de mettre toute la base en danger, Coryo le premier. Fin des spoilers !

Contrairement à la saga principale qui était sauvée (à mes yeux) par ses personnages secondaires (merci Finnick, Johanna, Haymitch, Cinna…), ici, ce n'est pas le cas. Si je me suis attachée un temps à Tigris et à Sejanus, j'ai rapidement déchanté.

Tigris est gentille. Voilà, c'est tout ce qu'il y aura à dire sur elle. On ne sait pas comment la situation va se dégrader entre elle et Snow, comment elle va le regarder se transformer en dictateur quand, jusque-là, elle semblait avoir une influence plutôt positive sur lui… Bref, on ne sait rien.

Sejanus, lui, apparaît d'abord comme le vrai héros du livre, celui qui n'a pas peur de se dresser face au Capitole, de dénoncer ses exactions et les injustices dont il est témoin. Un comportement louable, qui devient complètement stupide au fil des chapitres. Au lieu de réfléchir à la manière de faire bouger les choses, d'améliorer la vie des gens, notamment grâce à la fortune de sa famille, et de suivre les conseils pleins de bon sens de Coryo, il pleurniche sur son sort et finit par ne regarder que son petit nombril, sans se soucier des ennuis qu'il attire aux autres. Désolée, mais je soutiens Snow à 100% vis-à-vis de lui.

D'autres éléments avaient du potentiel (le passé du doyen, celui de Lucy Gray, de Crassus Snow, les rebelles, les condisciples de Coryo…), mais demeurent sous-exploités. Un beau gâchis, en somme. Et bien sûr, je ne parlerai pas des prénoms à coucher dehors. Ça m'avait déjà marquée dans Hunger Games, mais là, on touche le fond.

Le scénario aurait quant à lui pu tenir la route… s'il n'avait pas été aussi long et lent, en plus de reposer essentiellement sur la symbolique (les serpents, la neige, les chansons soigneusement décryptées au fur et à mesure par le narrateur…) et sur les clins d'oeil (vous avez dit « geai moqueur » ? Tenez, voici quarante douze paragraphes ô combien passionnants à leur sujet !). Même Lucy Gray m'a plus d'une fois fait l'effet de n'être rien d'autre qu'une Katniss douée pour se donner en spectacle.

Je mentirais en prétendant que je n'ai pas apprécié de découvrir un Capitole d'après-guerre, loin de la faste qu'il revêtira dans le futur, mais à part ça, j'ai trouvé les deux premières parties (l'avant et le déroulement des Hunger Games) interminables. J'avais juste hâte que tout le monde meurt pour qu'on puisse passer à autre chose. Ou pas…

Il faut savoir que j'avais mis beaucoup de soin à ne pas me spoiler une seule ligne de l'intrigue en attendant la sortie de cet ouvrage en poche, et j'ai envie de dire : tant d'efforts et de prudence déployés pour ça ! « Ça » étant les dix dernières pages (et encore, je suis généreuse) qui expédient ce que je m'attendais réellement à lire dans un préquel retraçant la jeunesse du président Snow : son ascension, et bien sûr celles des Jeux.

Ce roman est clairement un gros raté pour moi. Je plaçais en lui de très hautes attentes, et elles ont toutes été déçues, essentiellement par les choix de Suzanne Collins qui me paraissent plus que discutables. Elle aurait ne serait-ce qu'étiré son récit sur une plus longue période, au lieu de s'enliser dans une romance sans âme et des références envahissantes à la trilogie d'origine, la transition de « Coryo » à « Snow » serait peut-être mieux passée. Hélas, ce n'est pas le cas.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Grosse déception…

J'en attendais tellement de connaître le futur président Snow, son ascension au pouvoir et si son caractère était comme il est depuis l'enfance ou si on est dans un cas gentil devenu méchant. En tout cas aucune de mes interrogations n'a été vraiment résolues. J'en attendais peut être trop ?
Dans tous les cas, il y a beaucoup de trop de longueurs, les Hunger Games ne sont pas centraux et pour le coup quelque chose dont je ne m'y attendais pas était très central c'est de la romance. Je pense que c'est ce dernier point qui m'a vraiment dérangé.
De plus, Coriolanus est vraiment un personnage lisse alors qu'il est si charismatique et abominablement détestable dans la trilogie. Pour moi, évidemment, certaines de ses réflexions sont dérangeantes mais ce n'est pas poussé, il se reprend très vite, d'autres actions/descriptions se passent et on en oublie ce qu'il vient de se passer/ce qu'il vient de dire.
Il devient le méchant dont on attend la description depuis 550 pages dans les 20 dernières pages… La fin est assez abrupte, manque de profondeur et pour moi elle aurait dû être plus approfondie… Je ne sais pas s'il y aura une suite mais je suis assez triste d'écrire cette chronique alors que la trilogie Hunger Games était incroyable.

Ayant beaucoup aimé la trilogie Hunger Games à sa sortie, j'étais curieuse de lire ce volume additionnel. J'ai apprécié l'idée de nous conter la jeunesse du président Snow, les personnages "mauvais" étant souvent bien plus complexes, ambivalents et intéressants que les héros. J'ai malheureusement été assez déçue par cette lecture. Certes, j'ai apprécié de retrouver le Capitole, d'en apprendre plus sur l'histoire de Snow, la guerre, le début des Hunger Games. Malheureusement, la sauce ne prend pas, on ne retrouve pas ce "petit quelque chose" qui a fait la réussite de la trilogie initiale. Je n'ai réussi à m'attacher à aucun personnage, certains passages comportaient de terribles longueurs, je n'ai pas perçu de message fort ou de réflexion pour les jeunes lecteurs. de plus, j'ai été très gênée par le prénom de Coriolanus, il apparait plusieurs fois à chaque page, de plus il est impossible à lire (personnellement je lisais "coronavirus" à chaque fois que je le déchiffrais). C'est un détail mais c'est assez perturbant de lire que "Coronavirus passa à table et dévora une assiette de chou".
Ce roman donne quelques pistes pour comprendre la complexité du président Snow et l'évolution des Hunger Games, mais il ne révolutionnera pas la saga initiale.

Le style d'écriture est descendu de plusieurs niveaux. Peut-être est-ce l'effet de la traduction.. On essaie de donner un vécu à un dictateur et c'est très maladroit. C'est impossible de s'attacher à ce personnage opportuniste au possible, pas manipulateur parce qu'il n'a aucun talent, et détestable avec ces congénères. Sans parler de sa tribut qui est le portrait craché de Katniss... C'est du réchauffé et je trouve que c'est difficile de s'imaginer que le Snow du futur ait pu être façonné de cette manière.

Je dois d'abord dire que je ne gardais pas un souvenir impérissable de la trilogie initiale (oui je sais, pardon), et que les lecteurs de mon entourage ont tous été déçus de ce préquel, au point d'essayer de m'en dissuader la lecture...!

Mais diantre, il me fallait me faire mon avis ! Et finalement... Et bien j'aurai peut-être du les écouter, ça m'aurait évité de perdre autant de temps. Et en même temps, je suis un peu frustré, car il y avait de l'idée ! La jeunesse fauchée du détestable président Snow, avant qu'il ne devienne ce tyran froid et manipulateur ? Ça aurait pu être un bon roman psychologique. Mais à force de vouloir inclure trop de références aux premiers livres et à tenter d'attirer la sympathie sur ce pauvre Coryo, l'auteur m'a perdu.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, et les rebondissements sont trop corrélés aux premiers tomes pour être surprenants. La musique est omniprésente, mais les paroles proposées sont plutôt pauvres (vous me direz, c'est raccord avec les personnages !) au point d'en devenir franchement agaçante.

La seule composante qui m'a intéressée était la genèse des jeux, plutôt bien expliquée, avec cette "amélioration" progressive au fil des ans suite à des aléas ou des tests. C'est plutôt crédible et bien mené. La Dr Gaul est d'ailleurs le seul personnage que je trouve vraiment bien écrit dans le roman.

Je ne doute pas que ce nouveau tome trouvera son public, mais pour ma part je reste un peu sur ma faim (oui je me devais de la faire !).

Une fois de plus je me sens flouée. Je suis tombée dans le panneau. Ce dernier opus, sorti bien après le succès de la trilogie, n'apporte rien à mon sens.
On pense comprendre le pourquoi du comment de la froideur du président Snow. Pour moi, il n'en est rien. J'ai eu beaucoup de mal à le lire, bien plus touchée par la cruauté des jeux que lors des 3 premiers tomes. Sans doute parce que Coriolanus ne m'a inspiré aucune sympathie. Rien ne venait donc adoucir le récit. J'y ai trouvé bien des longueurs aussi. C'est bien la première fois que je me dis que j'aurais mieux fait de me contenter de regarder le film...
A voir donc au cinéma !

La balade du serpent et de  l'oiseau chanteur 
Je suis MÉGA DÉÇUE par ce bouquin vraiment je pensais pas 🤡 Je vais pas  passer par quatre chemins, même si ma lecture de la saga Hunger Game date de  plusieurs années, j'avais quelques attentes et ce livre n'y a PAS DU TOUT  répondu.
Déjà, je voulais voir des Hunger Games.  Même si c'est des anciens, des  moins ouf que les récents, je voulais quand même de la tension, voir comment ça  se passait en coulisse avec les mentors, tout ça... bah quedalle. le Hunger game  dure 20 pages et même si c'était intéressant de découvrir les débuts bah je ne  m'attendais pas à ça.
Pareil, moi on me promet un bouquin avec le point de vue d'un méchant avant  qu'il ne devienne le grand méchant... en plus Snow c'est un personnage que  j'aime beaucoup, giga badass et intéressant, alors je voulais avoir sa back  story de sa montée au pouvoir... et en fait non. On a un peu sa vie, mais ça va  PAS DU TOUT jusqu'à ce qu'il devienne président.
Du coup, j'ai pas compris à quoi servait ce bouquin. J'ai bien suivis ces  mésaventures avec Lucie, mais je n'ai absolument pas saisi le personnage, je ne  l'ai pas aimé, je l'ai trouvé trop louche. En plus c'était d'un long, d'un  chiant, certain moment on passait du coq à l'âne dans la narration... bref  grosse déception, je vais plutôt me relire les Hunger Game à la place un jour  !
Je crache je crache, mais il y a quand même des bons points : découvrir  tout le contexte qui a amené aux premiers Hunger Game, l'après de la guerre et  surtout les problèmes au capitole. le léger (lol) problème de la famille de Snow  est très intéressant à découvrir, et son caractère suuuper manipulateur est un  plaisir à suivre tout au long du roman.
Brefouille, je suis peut-être juste passé à côté ? N'hésitez pas à me dire  si vous l'avez aimé !
Lien : https://www.instagram.com/ly..

ayant adoré les trois tomes d hunger games je n ai pu m empecher de lire ce nouveau livre. J avais trop hâte de m y mettre ! J ai abandonné, je l ai mis de côté puis je l ai repris. Impossible de le terminer. Je n ai pas retrouver le plaisir de lecture des trois tomes d hunger games. le récit est lent. On apprend peu de choses. Je suis déçue.