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4,06

sur 2675 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je n'ai malheureusement pas retrouvé la magie des précédents tomes. Certes ici on est dans un prequel qui nous raconte la jeunesse du futur président Snow.
On retrouve bien évidemment plein de petits détails qui nous rappelle la saga initiale.

J'ai lu avec frénésie certains passages et d'autres que j'ai trouvé d'une longueur interminable.. de ce fait le manque d'équilibre du roman m'a gêné.

Mais il faut que je reconnaisse, qu'un autre détail de poids m'a fortement dérangé. Si dans les trois premiers tomes cela ne m'avait pas frappé c'est parce que le prénom du Président Snow n'apparaissait pas souvent… par contre ici on l'a à toutes les pages, voir plusieurs fois. Même si je sais qu'en anglais ce prénom ne doit pas déranger j'ai eu beaucoup de mal. Mais quelle idée a eu l'auteure d'appeler son personnage principal… CORIOLANUS
Je me demande d'ailleurs si je suis la seule a avoir tiqué sur ce nom…

En dehors de ça l'écriture de l'auteure est toujours agréable et on suit le fil aisément. Je pense que ce prequel pourra plaire a une grande partie des fans des Hunger games , mais au vu de la qualité de la saga j'en attendais beaucoup et mon exigence n'a pas été entièrement satisfaite.

Mais dans l'ensemble j'ai quand même apprécié cette lecture.
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Sorti il y a bientôt 3 ans, je n'avais pas été particulièrement attiré par ce prélude de la trilogie Hunger Games. Je trouvais le titre étrange, n'aimais pas la couverture et n'étais pas spécialement attiré par le synopsis.

Publier un prélude presque 10 ans après la sortie du dernier tome de la trilogie me semblait un peu bizarre et j'avais un peu l'impression que celui-ci serait assez creux, juste un moyen pour se faire un peu plus d'argent sur cette saga à succès.

Mais bon, les critiques sont globalement positives et surtout j'ai beaucoup aimé la trilogie dont j'ai dû lire le premier tome 3 fois. J'avais décidé d'attendre sa sortie en poche. Une sortie qui ne semble pas prête d'arriver. C'est finalement la sortie dans quelques mois de l'adaptation en film de ce prélude qui m'a décidé à lire celui-ci en empruntant le livre à la médiathèque.

Je suis content de ne pas l'avoir acheté car je ne fais clairement pas partie de ceux qui ont adoré. Je le classe parmi les lectures moyennes sur lesquelles je n'ai fondamentalement pas grand-chose à dire. Difficile de dire que j'ai passé dans l'ensemble un désagréable moment de lecture mais difficile de dire aussi que j'ai aimé cette dernière. Cela fait partie de mes lectures moyennes, dispensables, que j'ai tendance à rapidement oublier.

Cela s'explique sans doute en partie par le fait que je suis ces derniers temps un peu moins "bon public", plus tatillon avec mes lectures. J'ai moins le temps de lire en ce moment et je préfère passer ce bref temps sur des livres qui me plaisent vraiment. Or je n'ai pas retrouvé dans ce livre ce que j'y cherchais, à savoir un roman dystopique bien écrit et super prenant. Si l'aspect "bien écrit" est au rendez-vous, l'aspect page-turner n'y était pas du tout. J'ai trouvé que le roman souffrait plusieurs fois de longueurs avec des passages où je me suis clairement ennuyé. J'ai d'ailleurs plusieurs fois, notamment dans la dernière partie du roman, songé à lire en diagonale afin de finir le roman plus rapidement pour commencer une nouvelle lecture.

Je n'ai pas retrouvé l'aspect totalement addictif de la trilogie ni ressenti un réel attachement aux personnages principaux de ce roman, Coriolanus et Lucy. Je savais que le premier s'en sortirait et on ne peut pas vraiment dire qu'il suscite de la sympathie, quant à la seconde, le sort qui lui serait réservé par l'autrice au cours du roman m'était totalement indifférent.

Ce roman a néanmoins le mérite de nous décrire les bases du "jeu", massacre sordide que sont les Hunger Games, qui aboutiront à la version plus élaborée mais non moins horrible que nous découvrons dans la trilogie.

En bref, un roman sympa pour les fans mais probablement dispensable pour les autres. Au moins maintenant, je sais à quoi m'en tenir si je regarde le film à sa sortie dans quelques mois : à pas grand-chose.
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J'ai beaucoup aimé la trilogie Hunger games et j'ai longuement hésité à lire ce prequel. Effectivement , je n'ai pas du tout ressenti la magie opérer comme avec le tome 1 de la trilogie. J'ai trouvé certains passages très longs. Ma lecture s'étirait et me semblait par moment sans fin, sans attrait.
Et puis forcément, le héros n'est pas attachant puisqu'il s'agit du futur président Coriolanus Snow. Dévoré par l'ambition, n'hésitant pas à tout sacrifier pour parvenir à ses fins, à renoncer à des personnes qu'il aime, à trahir, à tricher.
Une lecture qui ne m'a pas emballée malheureusement.
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"La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur" est le préquel de la trilogie des Hunger Games. Les événements se déroulent un peu plus de 60 ans avant et relatent la jeunesse et le parcours de Coriolanus Snow. Ce livre se découpe en 3 parties : avant, pendant et après la dixième édition des Hunger Games.

C'est en suivant Coriolanus nouvellement désigné comme mentor de Lucy Gray Baird, tribut féminin du district douze, que nous assistons aux préparatifs des jeux. Comme la population se désintéresse des Hunger Games, il s'agit là de les rendre plus médiatiques, d'en faire le phénomène de l'année, d'où l'idée de recruter des mentors pour chacun des tributs pour la première fois cette année, ou encore de les sponsoriser et d'ouvrir les paris. C'est également dans cette première partie que l'on comprend vraiment les raisons pour lesquelles ces jeux de la faim sont imposés une fois l'an aux districts.

En seconde partie, il s'agit du "jeu" en lui-même. Mais contrairement à la trilogie, c'est en tant que spectateurs que nous y assistons. À défaut d'être au coeur de l'action, nous sommes dans l'observation et nous rendons compte de toute l'organisation qui en découle.

La troisième partie débute sur un retournement de situation. Je n'en parlerai donc pas, il serait dommage que vous ne le découvriez pas par vous-même.

Je savais, avant même de commencer ma lecture, que je ne l'apprécierai pas autant que la trilogie, tout simplement parce qu'il s'agit de Snow et qu'il est loin d'être le personnage le plus attachant. Et effectivement, le jeune Coriolanus Snow a beau être encore innocent et amoureux, ressentir de l'empathie pour autrui, et même être un brin rebelle dans l'âme, son ambition, son avidité de pouvoir et son besoin de reconnaissance prennent le dessus au fil de la lecture. La fin, d'ailleurs, en dit long sur son avenir... Heureusement que d'autres personnages sont là, comme Tigris (qui apparaît d'ailleurs dans le tome 3 et dont on apprend ici qui elle est vraiment), Sejanus ou Ma'.

Je sors de ma lecture plus déçue que je ne le pensais. Si c'est toujours aussi facile à lire, je l'ai trouvé en revanche beaucoup moins entraînant. On n'est beaucoup moins dans l'action. Et je n'ai pas ressenti le danger, la peur et la tension comme je l'aurais voulu. C'est parfois un peu long, lourd et peut-être également un peu moins intéressant. Il était temps que j'arrive à la fin car je commençais à me lasser et à manquer de motivation...
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Hum.... j'avais beaucoup aimé le précédent. Mais celui-ci, j'ai eu beaucoup de difficultés à rentrer dans l'histoire.

J'ai le sentiment d'un opus bâclé et sans âme.
Je lis le contraire dans la majorité des critiques. Je dois donc être à côté de la plaque.

La partie deux, les jeux, j'ai dévoré, soyons honnêtes, nous avons cette tension qui monte crescendo, nous avons notre chouchou et on est limite accroché à sa vie comme un chien à un os.

L'auteur sait écrire, reconnaissons-lui ce point fort.
Sa description des tortures et des souffrances des tributs, est toujours aussi précise et suscite en nous ( en tout cas en moi) un dégoût et une rage de me rebeller. Chance :
Snow encore jeune s'en charge : il est presque humain 64 ans plus tôt ^^
Comme dit dans une critique : son prénom apparaît à toutes les pages ( franchement, quel prénom) j'ai d'ailleurs dû aller vérifier que c'était bien le nom du Président Snow... Coriolanus ça fait un peu Coronavirus. Ou, pire, pour les francophones, on entend anus tout le temps.

Ou bien c'est moi...

Bref, pas le meilleur pour moi. Mais j'imagine que les vrais fans doivent être comblés.









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C'est une déception pour moi.
Un soufflet qui n'est jamais monté....

L'équilibre action/réflexion n'était à mon sens pas présent.

Je n'ai pas été prise dedans comme dans la trilogie.

Cependant j'ai apprécié en apprendre plus sur Snow.

Se soir je regarde le film, on ne sait jamais ☺
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Retour en arrière : ce sont les 10èmes Hunger Games et Snow, à tout juste 18 ans et pas encore diplômé de l'académie du Capitole, se retrouve mentor de la jeune fille du District 12, Lucy Gray Baird. Son but est clairement de se faire bien voir et gagner afin de supprimer toutes les menaces financières qui pèsent sur la famille Snow. Malgré ses ambitions, il va tomber sous le charme de la tribut alors que celle-ci a peu de chances de gagner...

L'attrait principal de ce livre, c'est bien de nous dévoiler comment Snow est devenu le personnage que l'on connaît bien dans la célèbre trilogie. Sauf que même si la fin a de quoi satisfaire, beaucoup de questions restent quand même en suspens.
Tout commence avec un jeune Coriolanus comme on s'y attendait, à savoir ambitieux, néanmoins marqué par la guerre. Avec ces 10èmes Hunger Games loin des 74 et 75èmes de la trilogie, on découvre la création au fur et à mesure du tournoi mortel : les tributs étaient traités comme des bêtes jusqu'au bout, habillés de haillons et à peine nourris, enchaînés et parqués dans un zoo à la merci des rats ; l'évènement n'avait rien de faste et attirait peu les foules, surtout celles des districts les plus éloignés du Capitole ; les mentors étaient des jeunes totalement inexpérimentés qui voulaient juste finir en bonne position sur le podium malgré la mort de leurs tributs. Et puis malgré des élèves-mentors qui débattent du bien-fondé des Jeux, c'est bien de la suprématie du Capitole dont il est déjà question et la punition des districts pour s'être rebellés. En somme, le pouvoir, et pour cela Collins développe pléthore de personnages qui se l'accaparent face à d'autres qui ne peuvent pas supporter l'injustice et l'immoralité de la chose.
On démarre donc avec des jeunes pas d'accord mais qui se prennent au jeu et deviennent ironiquement mentors pour tester leur futur leadership. Il y a des méchants, bien évidemment, qui eux-mêmes se révéleront les mentors du futur Snow.
Le comportement de ce dernier évolue grandement au fil du livre, au point de se demander régulièrement comment il en est arrivé à devenir l'horrible président du futur. Il y a des contractions, le Bien et le Mal se bousculent constamment en lui, jusqu'à la fin, qui ne peut pourtant être on ne peut plus claire. Malgré l'amour et l'amitié, le succès l'emporte sur les sentiments et on assiste à cette fameuse fin qui justifie les moyens.
La fin, ainsi, est le meilleur moment du livre. Car la partie dans la base des Pacificateurs est longue et les Hunger Games ne représentent que le tiers de l'histoire, tout en n'ayant pas la même aura que dans les autres tomes. Pourtant, on en apprend des subtilités ! Quant au personnage de Lucy Gray, on a du mal à s'attacher à lui. Les chansons sont trop nombreuses, les interventions des Coveys assez inutiles, la sortie de Baird des Jeux manque cruellement au récit. Mais on finit par obtenir ce qu'on était venu chercher : les motivations de Snow, sa formation, ses raisons personnelles de pouvoir, son attachement aux Jeux qu'il a grandement peaufinés, son problème avec le District 12.
Au final, ça se lit, d'autant que c'est mieux écrit que d'autres bouses du genre dystopico-teen, mais je suis convaincue que ça se regardera même mieux une fois que l'adaptation sera sortie.
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La trilogie Hunger Games est une de mes séries préférées. Aussi étais-je à la fois curieuse et réticente de voir ce nouveau tome, préquel, sortir.
On y découvre la jeunesse du Président Coriolanus Snow bien loin de l'image que l'on a de lui dans la série originale.
Il est ici adolescent, lycéen brillant dont la famille a été brisée et ruinée par la guerre qui a opposé le Capitole aux districts. Il se retrouve mentor d'une fille du district 12, Lucy Gray, dans une version des Hunger Games que l'on a du mal à reconnaître, et on comprend petit à petit le rôle qu'il jouera dans le futur pour les transformer.
J'ai beaucoup aimé découvrir cette ambiance d'après guerre, les premiers pas hésitants des Hunger Games ainsi que la vie dans le district 12 que l'on découvre plus tard. Mais je suis franchement restée sur ma faim car je m'attendais à ce que Suzanne Collins aille plus loin... Et la romance en elle-même apporte une certaine profondeur, mais sa fin est expédiée rapidement...
Bref, un avis mitigé par rapport à ma lecture de la série originale.
Lien : http://boumabib.fr
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À aucun moment je n'ai réussi à m'imprégner de l'histoire.
J'avais beaucoup apprécié la trilogie Hunger Games et impossible pour moi de me détacher de mon opinion de Snow par rapport à sa version jeune.
Écrire un prequel est un exercice difficile, surtout quand l'histoire initiale et les personnages sont aussi forts dès le début.
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Hunger Games est une série que j'adore, autant les bouquins que les films. J'ai toujours éprouvé un plaisir évident à les lire et à les écouter. C'est donc très confiante que j'ai entamé la lecture de ce préquel. Mais malheureusement, je n'ai pas retrouvé cette magie particulière ressentie pour les trois tomes précédents. J'ai aimé en connaître davantage sur le Président Snow, et ces fameux 10e jeux. Mais le déséquilibre entre les moments d'actions et les trop nombreuses longueurs ont eu raison de moi. Je ressors de cette lecture très déçue.
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