Outaouais

Outaouais - Page Comann

C'est un roman d'aventure qui va nous faire voyager. Nous sommes en 1847, à Sligo en Irlande où le mildiou a ruiné les récoltes. La famine et la violence règnent. Martin et Kate, 20 et 16 ans, décident de partir vers le Nouveau monde afin d'échapper à leur condition. Après une traversée difficile, de nombreuses aventures les attendent avant d'arriver à Outaouais.

L'ambiance du roman est assez noire avec beaucoup de morts, de violence, de maladie, de nature hostile.

Ce livre écrit à quatre mains est très bien documenté en nous montrant la rudesse du 19ime siècle. La plume est très riche, détaillée et immersive que ce soit en Irlande avec la famine, les paysages, la violence, la traversée en bateau avec la mort qui rôde, la mer qui se déchaîne et la navigation, l'arrivée dans le Nouveau monde, la nature hostile, les animaux sauvages, les Indiens, l'exploitation forestière…

J'ai trouvé le roman vraiment dense et dépaysant. L'aventure est omniprésente, les dangers également.

Il m'a fait sortir de ma zone de confort, je ne m'attendais pas à un récit aussi détaillé et sombre. En mêlant beaucoup de genres : roman historique, thriller, aventure, amour, il saura vous évader et vous fasciner.

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Tout d'abord merci @mpluseditions
pour ce service-presse qui est...
💖 un coup de coeur 💖

@pagecomann a récidivé : Après "Souviens-toi de Sarah", ce duo d'auteurs m'a une fois de plus ensorcelée 💖

Dès les premières lignes, j'ai senti que j'allais passer un agréable moment de lecture !

Grâce à une documentation très riche, c'est une immersion totale durant cette vague d'immigration qui a touché l'Irlande au XIXe siècle : sous le joug anglais, pendant la grande famine, les Irlandais dépérissent. Ils subissent pauvreté mais aussi la domination des clans.

Martin Sullivan, Sinéad, Kate n'auront d'autre choix pour survivre que d'embarquer vers le nouveau monde, vers une terre idéalisée, nature sauvage et violente mais les hommes le sont bien plus encore.

Ces personnages au caractère confirmé, tellement bien décrits qu'ils m'ont paru vivants, ont beaucoup d'épreuves à surmonter : non seulement la traversée de l'océan, mais aussi les épidémies (typhus, choléra...).

Martin découvrira le travail dangereux dans les exploitations forestières (des métiers disparus) au milieu d'une nature inhospitalière et de tribus indiennes et de leurs coutumes ancestrales.

Ce roman ne se lit pas, il se vit aussi grâce à l'écriture de ces deux auteurs : poétique, visuelle, magnifique !

Grands espaces, sublimes paysages, aventures, je ne peux que vous recommander de vous laisser séduire par cette sublime couverture et de vous laisser emporter dans ce merveilleux voyage &#xNaN

J'avais adoré "Souviens toi de Sarah", le premier roman de notre duo d'auteurs, Ian Manook et Gérard Coquet, réunis sous le pseudonyme de Page Comann.

C'est avec joie que j'ai découvert "Outaouais"!

Ma première impression après la lecture de quelques pages seulement?

Me voilà embarquée dans des montagnes russes qui m'emmènent dans ma lecture à grande vitesse!

Des Wow, des Waw, de l'action, des aventures, de la passion, des méchants "vraiment méchants", allez, c'est parti!! En route pour Outaouais!

Et c'est cette impression virevoltante que j'ai ressenti tout au long de ma lecture.

J'ai vibré avec les personnages.
J'ai adoré les "gentils".
J'ai littéralement détesté les "méchants".
J'ai vibré avec Dame Nature.

De l'aventure, de l'émotion, des découvertes, de la passion.
L'exode, la misère, la faim, la mort ou la liberté au bout du chemin.
Les épidémies, la cruauté, les tempêtes, la peur, le typhus, le choléra.
Et puis, la nature qui nous emporte.
Qui nous emmène loin, hors du monde.
Qui palpite, bouleverse, émerveille, emporte tout sur son passage.

Une fuite en avant.
Une quête de liberté.
Une course poursuite permanente.
Une véritable épopée.
Et une folle envie de construire une vie.
Malgré les dangers.
Une envie de liberté.

Inconditionnels de sensations fortes, d'aventures, de récits finement décrits, de grands espaces, Outaouis est fait pour vous! Vous allez vibrer, aimer, avoir le coeur serré, détester, découvrir, avoir peur,... et au bout du compte, vous aurez vécu un sacré voyage!

Bravo à Ian Manook et Gérard Coquet pour leur imagination sans limite et leur capacité à rendre chaque scène vivante, comme si nous étions au bout milieu de cette aventure!
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Un magnifique roman d'aventure écrit par 2 auteurs Gerard Coquet et Ian Manook sous le pseudo collectif « page Comann » . 2 plumes qui ne font plus qu'une . Un roman qui nous fait voyager de l'Irlande au Canada à Outaouais ( Québec) . 1847, on parle d'une Irlande qui connaît la famine , la violence avec une pègre qui impose sa loi . Après un drame qui les marquera à vie , Kate et Martin vont fuir ce pays de révoltes à bord du « Carrick » , direction le nouveau monde . Ils sont accompagnés de passagers qui fuient eux aussi ce pays la peur au ventre avec la crainte de mourir . On ressent tout au long de notre lecture le travail de recherches des 2 auteurs pour nous retranscrire au mieux le contexte géopolitique de l'époque . Une fuite pour un nouveau monde ou tout ne serra pas aussi idyllique que prévu …Tous ont préféré fuir la misère , la famine , la violence dans l'espoir d'un monde meilleur . L'accueil et la vie espérée seront ils au rv …Nous tournons les pages aux côtés de de ces femmes et ces hommes qui nous livrent leurs ressentis , leurs difficultés auxquelles ils seront confrontés . Tous les personnages , attachants ou non, sont parfaitement étudiés . Les paysages encore sauvages défilent sous vos yeux allégeant un peu le contexte car la nature peut aussi se montrer hostile et les hommes sauvages . Un très beau roman basé sur des faits réels , l'exode de milliers d'irlandais . Une plume commune addictive , poétique qui vous fera passer un très bon moment de lecture.
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Pour commencer je suis tombée amoureuse de cette couverture splendide 🥰

Dans ce roman, on se retrouve au temps de la grande famine, du choléra, … J'ai été embarquée avec les personnages dans ces paysages particulièrement bien décrits. J'ai visualisé le « nouveau monde » (le Canada), comme si j'y étais.

La psychologie des personnages est bien décrite. On s'attache à certains, on en déteste d'autres.

Les chapitres sont relativement courts mais prenants. Je me répète mais on a vraiment l'impression d'y être tellement c'est bien écrit.

J'ai adoré suivre Martin dans ses périples de l'Outaouais, sa force, son courage, …

Les plumes sont en osmose, fluide, facile à lire, poétiques et envoutantes. J'ai passé un excellent moment d'évasion parmi tous ces personnages.

Mais alors cette fin dont je ne m'attendais plus et où j'ai versé quelques larmes.

Je conseille donc ce roman à tous afin d'y retrouver un petit bout d'histoire qui raconte la fuite des Irlandais vers le Nouveau monde pour quitter la famine.
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Attention chef d'oeuvre ❤️❤️❤️

Chaque mot de ce roman unique vous emporte dans un pays où les grands espaces rendent les humains insignifiants. Et pourtant, la beauté des paysages ne parvient pas à cacher la sauvagerie des hommes qui viennent envahir le Nouveau Monde.
Cette épopée est lyrique. La poésie des phrases est une mélopée qui envoûte le lecteur. Les personnages sont truculents et inoubliables. L'intrigue romanesque est de celles qui construisent des légendes.

L'histoire :
Des côtes déchiquetées d'Irlande jusqu'aux immensités enneigées du Québec, le vent de l'Outaouais souffle ses tempêtes et ses blizzards. Les hommes se révèlent plus violents.
Larguez les amarres et chaussez les raquettes. L'Outaouais vous attend. L'amour et la mort aussi.

Sous le pseudo collectif de Page Comann, Ian Manook et Gérard Coquet signent ici un époustouflant roman d'aventures et de passions servi par une écriture d'une irrésistible puissance romanesque. Il sort aujourd'hui en France et c'est une pépite qui va vous émerveiller.

Irlande, printemps 1847. Des champs entiers de pommes de terre ont été décimés par le mildiou, entraînant dans la famine, la détresse et la maladie, des centaines de milliers d'Irlandais, déjà exploités depuis longtemps par les landlords. Cette ère de la Grande Famine verra de nombreux Gaéliques contraints de s'exiler vers le Nouveau-Monde, dans les colonies canadiennes, à bord des tristement célèbres « bateaux cercueils » (coffin ships).
Parmi ces émigrants, Martin et Kate, deux jeunes adultes de vingt et seize ans, vont accomplir un magnifique périple, rythmé par les conflits claniques qui les poursuivent outre-Atlantique, sur un nouveau continent à la nature sauvage et hostile et d'une beauté à couper le souffle.
Après une traversée difficile et mortelle pour beaucoup, c'est une épopée grandiose et fascinante qui emmènera les jeunes gens jusqu'aux confins de l'Outaouais, à la rencontre des populations indiennes, sur fond d'aventures, d'amour et de mort.
Outaouais est un roman âpre et rugueux au sein duquel les auteurs ont su créer plus qu'un suspense : une vraie attente, une immersion véritable dans la rudesse de cette partie du XIXème siècle.
Il ne fallait pas moins de quatre mains pour écrire ce roman superbement documenté et dépaysant. En effet, sous le pseudonyme de Page Comann, sévissent les talentueux Gérard Coquet et Ian Manook dans une collaboration qui fait suite à l'écriture de Souviens-toi de Sarah, paru en 2022 aux éditions M+.
Avec Outaouais, je me suis évadée dans les terres pas toujours accueillantes mais néanmoins fascinantes du Québec et j'en reviens riche de sublimes découvertes.
Pas besoin de passeport pour ce fabuleux voyage : ouvrez Outaouais et vous en verrez, du pays !

❤️💕❤️ Coup de coeur retentissant ❤️💕❤️ pour ce fabuleux polar historique qui m'a fait vivre de multiples émotions et secouée du début à la fin. Tout débute en 1847, pendant la grande famine de l'Irlande causée par la maladie de la pomme de terre. de nombreux irlandais fuient leur patrie pour découvrir le Nouveau-Monde. C'est le cas de Martin et Kate, des personnages attachants qu'on accompagne dans leur périple rempli d'écueils. Oh là là... à partir de là, débute une épopée aussi grandiose qu'éprouvante, car les grands espaces du Québec abritent de nombreux pièges... Les hommes doivent non seulement se méfier des bêtes sauvages, mais encore plus de leurs semblables... tous les coups sont permis.
Mes yeux ont scintillé ''comme des derrières de mouches à feu'' en lisant toutes ces magnifiques descriptions de paysages et toutes ces expressions savoureuses et tellement imagées, en découvrant de nombreuses légendes indiennes et en imaginant comment il était difficile de survivre dans les camps de bûcherons canadiens.
Je suis aussi très impressionnée par tout le travail de recherche des auteurs pour nous livrer une telle pépite !, Et c'est icitte, au Québec ! Je vous recommande chaudement ce polar qui me restera gravé dans le coeur à jamais..
Un gros merci aux auteurs, spécialement à Gérard Coquet que j'ai eu la chance de rencontrer au QDP de Lyon.

« L'Outaouais, c'est la Katchesipi où les Hurons des Grands Lacs ont aménagé leurs campements sur les battures de la rivière. Un monde sauvage à découvrir. Une enfilade de chemins forestiers. Un enchevêtrement de rivières folles au milieu d'épaisses forêts et de plaines humides. »

Outaouais, Page Comann @pagecomann @mpluseditions

Un monde sauvage à découvrir…

Où l'on ne sait qui est le plus sauvage entre l'humain ou la nature… les bêtes ou les êtres sanguinaires… l'eau assoiffée de vies ou l'homme assoiffé de sang!

Tourner la première page de ce roman, c'est embarquer pour un aller sans retour, destination les contrées lointaines du Nouveau Monde…

« le Nouveau Monde! Il n'y a jamais pensé. Pour lui, c'est aussi loin que la lune. Un lieu mystérieux dont il connaît l'existence, mais qu'il n'a jamais voulu atteindre. Est-il préférable de mourir ici, pendu sur cette terre d'Irlande, plutôt que d'errer seul dans un monde inconnu? Quelle divinité sait la fin de son histoire? Aura-t-il au moins la chance d'être heureux avant de redevenir poussière? »

C'est être emporté par les flots, à bord du Carrick of Whitehaven, dans une terrible chasse à l'homme qui n'aura de cesse tant qu'elle n'aura pas atteint sa cible, tranché son lot de gorges humaines ou de vies, lavé l'affront dans le sang…

L'Outaouais, ce mot résonne comme un espoir ou une folie, comme une terre d'accueil ou d'ignominie, comme le bout du monde ou le terme de la vie…

L'Outaouais c'est avant tout la terre des peuples autochtones: « Les Iroquois étaient passés maîtres en la matière. […] Les Weskarinis savent de quoi je parle. Il en reste quelques-unes comme les Nipissinges, les Hurons, les Abénaquis. », la nature à l'état brut, indomptée et belle: « Les sentiers ouverts sur les plaines se dissimulent
sous une couche de poudreuse que le froid durcit de plus en plus. L'automne se pare d'un manteau d'hiver sans laisser le temps aux érables pourpres d'étaler la beauté de leurs ramures. », une nature si envoûtante qu'elle inspire la plume de ce duo d'auteurs qui se cache derrière le pseudo Page Comann, Ian Manook et Gérard Coquet.

Ce roman, c'est aussi une page d'histoire, une dose d'humour, des références littéraires glissées de-ci de-là dans le récit…

« Pourquoi ne pas rêver? Pourquoi ne pas devenir le bras droit de Deaglán Mullargh? La valeur n'attend pas le nombre des années et être considéré comme le fils putatif d'un tel homme présente pas mal d'avantages. »

… de la poésie et de la beauté aussi, malgré la noirceur du récit!

« Je serai le vent que tu respireras dans tes plus magnifiques voyages. Je serai l'automne qui flamboie et le feu de cheminée de tes hivers. Je serai le rayon de soleil au matin de tes printemps et la brise fraîche de tes nuits d'été.
Cet imbécile de Tout-Puissant a décidé de souffer la bougie de ma vie et je n'ai pas les mots pour le convaincre de me laisser tranquille. Je m'en fiche.
Méme si je suis jeune, j'ai assez vécu. »

En un mot, ce roman est d'une richesse incroyable: vibrant, prenant, passionnant!

« Un Irlandais perdu dans l'immensité de l'Outaouais. Riche de rien. Pauvre de tout.
Un pêcheur d'Irlande dans un océan d'arbres. »

Une plume qui nous entraîne aux confins des styles littéraires (thriller, Histoire, humour noir et poésie emmêlés) et du Nouveau Monde!

Un envoûtement fait livre!

Et pour finir sur une note originale, je dirais…

« Fais du bien à un cochon et il
viendra chier sur ton perron. »

1847
La misère règne en Irlande.
La misère et le clan Mullargh.

Parce qu'un soir, pour rien, pour rire, les deux frères Mullargh viole une femme. Et tue les autres membres de la famille. Presque tous.
Parce qu'un soir, Martin Sullivan sauvera une gamine crasseuse, maigre, aussi sauvage que les côtes d'Irlande.
Parce que ce soir-là, sera tué l'un des frères Mullargh...

Et le père veut la peau de l'assassin. A n'importe quel prix.

Martin doit sauver sa vie.
Et celle de Kate, la farouche, qui pourtant va s'attacher à son sauveur, inconditionnellement, pendant leur traversée en bateau.
Direction le Canada.

Amateurs d'aventures, suivez le guide !
Le Outaouais n'est pas pour tout le monde. Vous aurez besoin de courage, certes. de volonté. Mais aussi d'une fureur de vivre aussi grande que ces contrées sauvages !
Traverser des dangers insoupçonnable et trouver encore l'énergie de se batte. de vivre.
Même quand tu crois avoir tout perdu...

Peu habituée à ce genre romanesque, j'ai chaussé mes Rangers (oui enfin mes Converses version camouflage ) et acceptée de me laisser entraîner dans cette histoire à la fin peut-être un peu trop édulcorée pour moi.

Quatre mains, c'est beaucoup.
J'attendais mieux.