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1847, l'Irlande connait une famine sans précédent. Dans les villages, la pègre est omniprésente et impose sa loi. Quiconque tente d'échapper à son emprise est impitoyablement rattrapé et puni, voir pire.

Après une nuit pendant laquelle leur destin va basculer, Kate et Martin doivent fuir à bord d'un navire, direction le nouveau monde.



Je remercie M+ éditions et Marc Duteil de m'avoir permis de lire ce roman avant sa parution.

Souviens-toi de Sarah” avait été mon gros coup de coeur de l'année 2022 et j'attendais avec impatience le nouveau roman de Page Comann.

Si “Souviens-toi de Sarah” nous décrivait l'écosse des années 60, “Outaouais” se passe bien avant, pendant la grande vague d'immigration du milieu du XIXe siècle alors qu'une grande partie de cet immense pays qu'est le Canada restait encore à découvrir. Grâce à un récit très documenté et passionnant, le lecteur découvre dans quelles conditions les colons arrivaient et comment ils étaient “récupérés” par les autorités locales. La misère, la maladie et la mort étaient alors omniprésentes face au cruel manque de moyen des autorités, les lois sensées protéger les habitants quasi inexistantes et chacun survivait à la grâce de dieu.

C'est dans cet environnement encore sauvage et inhospitalier que nous allons retrouver Kate et Martin.

Encore une fois, Page Comann (Coquet/Manook) campe parfaitement ses personnages et leur donne suffisamment de profondeur pour les rendre immédiatement attachant. Et même si les méchants sont les pires des ordures et les gentils très gentils (parfois trop...) l'auteur possède largement le talent nécessaire pour éviter les clichés.

J'ai lu beaucoup de romans d'aventure “efficaces” mais ceux de Page Comann possèdent un truc en plus : le Style ! Et avec un grand “S” s'il vous plait ! Des dialogues plus vrais que nature, des descriptions originales et immersives au possible, et, gâteau sur la cerise, un sens du rythme à toute épreuve. Ces deux romanciers (même s'ils ne forment plus qu'une seule entité) font des merveilles lorsqu'ils écrivent ensemble et ont certainement dévoré Alexandre Dumas, Jules Verne, James Fenimore Cooper, Mark Twain... Tous ces auteurs que j'adorais quand j'étais gosse et que je lisais jusqu'à ce que ma mère me dise d'éteindre parce que : “Demain y a école !”

Alors, l'attente en valait-elle la peine ? Oui ! Oui ! Oui ! Encore une fois Page Comann nous emporte dans un tourbillon d'aventures qui ne laisse aucun répit au lecteur. Alors, quand en plus le roman est bien écrit et que l'auteur est généreux avec son lecteur, on ne peut qu'en redemander. Vivement le prochain !
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Dès les premières pages, les auteurs campent bien le décorum et la vie des héros de « Outaouais » :

    « Vie de misère, coeur de pierre. »

En effet, comment réagir quand la famine ravage l'Irlande et que les immigrants s'entassent misérablement dans des bateaux vers un destin américain aléatoire ? Avec violence, pitié, sauvagerie ou humanité ? Ce sont tous ces enjeux qui jalonnent ce roman hors norme. Je serais incapable de résumer l'histoire sans en dévoiler les rebondissements. Et surtout, il importe aux lecteurs d'en goûter la sensualité selon leur propre vécu.

Le titre est déjà un mystère dont on découvre la signification au cours de la lecture. Il est tout à fait en rapport avec la véritable histoire de ces hommes et de ces femmes qui ont débarqué sur le nouveau continent. D'ailleurs, plus qu'un thriller classique, « Outaouais » est plutôt un hymne à l'aventure un peu à l'image d'un western en technicolor. La nature est magnifiée comme un calice aux péripéties vécues par les nombreux personnages. Ceux-ci sont parfaitement mis en scène et décrits. Ainsi nous sommes à chaque fois plantés en plein milieu de l'action.
 « Les dernières lueurs du jour donnent au décor des reliefs de caverne de flibustier. Cheveux gris et gras, barbe de plusieurs années, Padraig Fergusson a le faciès d'un fou mystique échappé d'un prieuré. Ses sourcils en broussaille barrent un front étroit d'homme peu enclin à se préoccuper du malheur des autres. »
Certains thèmes universels sont abordés et intelligemment illustrés par les attitudes et les infortunes des protagonistes. Ainsi l'exil et la nostalgie sautent aux yeux et à la gorge des lecteurs. On comprend vite que les immigrés ne quittent pas leur terre avec joie : le dépaysement n'a pas toujours le doux parfum de l'exotisme touristique. Ceci fait pour ma part écho à l'actualité sociale et économique de notre monde contemporain. D'ailleurs, les choses ont-elles vraiment évolué depuis le XIXème siècle ?

 « Kate connaît aussi ces histoires. Cette terre d'Irlande qu'ils quittent restera le sang qui nourrit leurs âmes. Pas besoin de parler. La mélancolie n'exige pas d'explication. »
Les auteurs font vivre à leurs héros des épreuves qui ne peuvent que délecter les amateurs d'action brute. Les scènes de chaos, de désolation et les visions apocalyptiques insufflent un rythme de lecture ininterrompu.
 « Devant les restes du naufrage, elles respirent à peine. Çà et là, des quintes de toux déchirent une poitrine et paraissent sacrilèges dans cette fin de nuit d'apocalypse. »
La vengeance est également omniprésente avec son cortège de violence et d'injustice. À la fin, on peut se demander comment les personnages vont parvenir à revivre après avoir survécu…

J'ai apprécié suivre les aventures des différents personnages que je ne cite pas car ils peuvent disparaître très rapidement dans ce monde dangereux et impitoyable. Alors si vous aimez l'aventure, vous serez embarqués comme les personnages de « Outaouais » dans un navire vers le Nouveau Monde pour ainsi se risquer dans ces terres sauvages.

Lien : https://delphlabibliovore.bl..
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Un roman d'aventures comme on n'ose plus en publier … et le fruit de la collaboration de deux auteurs produisant ensemble un style épatant, à la fois visuel, trépidant, poétique et parfaitement documenté.

La nature n'est pas tendre aux hommes en Irlande, même les plus courageux, en ce printemps 1847 où sévit la plus cruelle des famines et l'âpreté des landlords anglais.

Les plus jeunes rêvent du Nouveau Monde, de cette terre du Canada qui offre des possibilités infinies de réussite, manque d'hommes – et de femmes … et recèle aussi les périls les plus dramatiques.

Nous suivons l'épopée de Martin Sullivan et de Kate McBride à travers l'océan puis sur la terre cruelle d'outre Atlantique. Un territoire d'ours et de meutes où les hommes ne sont pas les bienvenus. Martin est un jeune colosse de vingt ans, Kate une frêle jeune fille de 16 ans, pas très jolie mais à l'âme bien trempée.

Pas question ici de divulguer la moindre parcelle de leur histoire, sauf à dire combien cette émigration - mais, comme d'autres aujourd'hui, ils n'ont pas d'autre solution pour survivre - est source de péripéties dramatiques. Et leur histoire ne laisse au lecteur aucun répit.

Car malgré les possibilités qui sont immenses dans la terre la plus au nord du Nouveau Monde – riche de fourrures et surtout du bois recherché par la marine de l'Angleterre – les immigrants affamés venus d'Irlande sont considérés avec le plus profond mépris. Ils apportent en effet avec eux les maladies de la misère, souvent contractées durant la traversée dans des conditions de promiscuité innommables : le choléra, le typhus, la variole …
Et parmi les arrivants, il n'y a pas que des enfants de choeur : une vengeance terrible anime le chef du clan dominant le village dont sont issus Martin et Kate et la poursuite sera sans pitié.

Tempête meurtrière, blizzard violent, rudesse des chantiers de coupe en plein hiver, sauvagerie des ours et des loups, rivière furieuse débordant les barrages de troncs enchevêtrés …

En lisant ce roman, il est bon d'avoir près de soi une tablette pour apprendre le sens de bien des mots nouveaux, pépites du français tel qu'il se parle au Canada. On y rencontre une foule de personnages : d'insignes salopards, des femmes à la jambe légère, mais aussi des Indiens bienveillants, riches de leurs traditions chamaniques …

Ne pas oublier une chaude pelisse d'ours et une paire de raquettes pour ne pas se laisser ensevelir par la neige omniprésente.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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« Lorsque les hommes deviennent aussi sauvages que le destin qu'ils affrontent »

Si vous ne le savez pas, derrière le nom de Page Comann se cachent deux auteurs qui ont joint leur plume pour écrire sous ce pseudo à quatre mains. Il s'agit de Ian Manook et de Gérard Coquet. Auparavant ils ont publié "Souviens-toi de Sarah" que l'on a beaucoup vu passer ici, qui remporte un très beau succès et que je lirai bientôt. 

Outaouais c'est un roman d'aventure, mais c'est aussi un roman historique où la nature occupe une place de choix. Il raconte cette période de l'histoire où des Ilrandais ont fui leur pays et la famine pour le Canada dans l'espoir d'y trouver une vie meilleure. C'est le cas de Martin et de Kate qui embarquent in extremis sur le XXX. le voyage va s'avérer difficile et à leurs risques et périls.

C'est un roman noir aussi, riche en rebondissements et ce dès les premières pages. Ainsi nous sommes en Irlande, en pleine famine, en 1847. Certaines familles ont plus de poids que d'autres et en abusent. Il en est ainsi de la famille Mullargh. Mais quand on s'attaque à elle, on risque d'en payer le prix.

Quelques scènes choc, des paysages magnifiques et des personnages attachants (ou pas selon le cas) en font un récit passionnant. C'est aussi une histoire d'amours au pluriel qui adoucissent les évènements que traversent nos personnages.

Cette plume à quatre mains est totalement maîtrisée. Immersive et passionnée, on referme ce roman en ayant l'impression d'avoir vécu plusieurs vies de l'Irlande à ce nouveau monde durant une année terriblement mouvementée. Avec pour thème de fond la vengeance. C'est aussi un récit très documenté qui nous fait voyager vers ces grands espaces insoupçonnés, l'Outaouais

Vous l'aurez compris, c'est un roman d'aventures (et je mets délibérément un S) que j'ai beaucoup aimé. Je tiens aussi à souligner cette magnifique couverture qui malheureusement n'est pas suffisamment mise  en valeur en photo ou vidéo. 
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Quelle belle surprise que ce roman que je n'avais pas prévu de lire mais qui m'a gentiment, et par surprise, été envoyé par les éditions M+. Merci encore!
Je dois dire que ce n'est pas mon genre de lecture et je me suis même demandé si j'allais accrocher.
Résultat je tourne les derniers pages le coeur rempli de belles émotions, des sublimes paysages plein la tête et le sentiment d'avoir lu et vécu une histoire profondément humaine au côté d'hommes et de femmes partis à la découverte du Nouveau Monde.
Nous suivons ici les traces de Martin, jeune irlandais confronté, dans son pays, aux malheurs d'une société rongée, en ce milieu du XIXe siècle, par la famine et la pauvreté, dans laquelle la violence des clans fait office de police locale. Pour son propre salut, il va devoir embarquer sur le Carrick of Whitehaven, navire à destination du Québec avec à son bord des passagers rongés autant par leurs espoirs et leurs rêves que par la crainte de ne pas survivre. Commence alors une aventure sans répit où les nombreuses rencontres, hasards de vie vont le confronter autant à la violence, à la vengeance et à la mort qu'au bonheur, à l'amitié et même à l'amour. Jusqu'à vouloir rejoindre cette région reculée du Québec, l'Outaouais, terre indomptée où les hommes doivent se méfier autant des ours, meutes de Loup et peuples indiens que des colères de la nature. Mais le véritable danger ne vient-il pas de ses semblables et de leur soif de vengeance.
Je suis passé par toutes les émotions et me suis laissé porté par la splendeur de ses paysages encore vierges de la main destructrice de l'homme colonial. L'écriture est belle et puissante à la fois, rythmée par des chapitres courts qui s'enchainent parfaitement pour créer cette aventure romanesque où le héros devra aller puiser au fond de son âme, jusqu'aux portes de l'enfer, pour voir quelle destinée elle lui réserve. Les surprises et retournements de situation ne lui laisseront que peu de temps pour la réflexion. Seul le coeur pourra le guider et lui apporter l'aide dont il aura besoin.
De l'aventure, de la passion, de l'action et des émotions dans un décor sauvage sublime, tout est réuni dans ce roman pour faire voyager le lecteur vers des contrées inconnues où les espoirs chassent les vents et les tempêtes pour assouvir une quête unique, la plus belle: vivre.
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Attirée en premier par cette sublime couverture puis par les thèmes du roman : la nature, l'Irlande & le Canada, voyage & aventure, Histoire … ce roman s'est révélé être un coup de coeur !

Tout d'abord, tous les ingrédients espérés étaient bien présents.

Ensuite, je n'ai pas été surprise par le côté un peu rude du roman pour l'avoir lu en amont dans quelques critiques puis parce que, j'imagine, cela dépeint une certaine réalité. Outaouais est un roman très intéressant à lire puisqu'il nous offre à découvrir un point de vue — avec une histoire non édulcorée — peut-être un peu différent de ce que l'on imagine de l'exode au Canada ; il y a un petit côté western, bandits des quatre chemins, qui, une fois de plus, dépeint une réalité de la violence de l'Histoire.
Puis même si cette rudesse est l'un des aspects prépondérants du roman, on ne tombe pas dans le gore ni dans des descriptions violentes … .

Si j'ai donc aimé — contre toute attente (ce n'est généralement pas mon style de littérature) — ce caractère du roman … évidemment ce qui a fait toute la différence pour moi et fait que j'ai adoré m'y plonger, c'est la superbe plume de l'auteur Page Comann : notamment dans sa manière de décrire les différentes ambiances avec un petit côté décalé, original voire féérique par moment — dans une Irlande touchée par la famine et la pauvreté, la traversée en bateau et ses allures de piraterie, l'atmosphère des bas-fonds de villes canadiennes … puis bien sur des descriptions superbes de la nature, une transcription d'un émerveillement de la nature.
Lien : https://notecuivree.fr/2024/..
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Un roman d'aventures fantastiquement documenté et plein de rebondissements !

J'ai adoré ce roman qui vient de paraitre aux Editions M+. Attirée par la magnifique couverture, je me suis lancée dans ce pavé avec enthousiasme car la qualité de l'écriture se remarque dès les premières pages.

La famine sévit en Irlande et pousse de plus en plus de paysans à tenter leur chance dans le Nouveau Monde. Martin et Kate, jeunes gens qui se connaissent à peine, s'embarquent clandestinement sur un des vaisseaux appareillant pour Québec afin de sauver leur vie. Ils commencent un périple qu'ils espèrent les mener dans l'Outaouais, province sauvage des forêts canadiennes.

Ce roman est extrêmement bien documenté. le décor est magnifiquement planté qu'il s'agisse de décrire la vie de misère lors de la famine irlandaise, les luttes de pouvoir des notables locaux ou les paysages forestiers du Canada en hiver.
La vie sur les bateaux ainsi que le travail de bucheronnage sont décrits avec beaucoup de détails. L'ensemble du livre contient une profusion de descriptions toujours très précises et bien à propos.

L'ensemble donne un livre très réussi qui restranscrit bien l'ambiance d'espoir et de violence cruelle de la conquête de ce Nouveau Monde.

Le duo d'écrivains Page Comann signe ici une intrigue magistrale qui entraine le lecteur dans une course effrénée vers la liberté et l'amour.
Vous l'aurez compris, j'ai dévoré et adoré ce roman bien construit et aux mulitples rebondissements.
Lien : https://alombredufrangipanie..
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J'avais déjà lu "Souviens-toi de Sarah" que j'avais adoré, et j'ai été ravie de pouvoir lire à nouveau ces belles plumes !!

De la même façon, c'est toujours aussi surprenant cette façon de tellement bien décrire les lieux, les gens, qu'on a l'impression d'y être, de voir et même de sentir les odeurs de tous ces endroits où les personnages passent. À la limite d'avoir un mal de mer ou la peur d'attraper une dysenterie !

L'histoire est admirable, je suis vraiment fan de Ian Manook et Gérard Coquet !
Et la couverture est splendide !

La seule chose que j'ai le moins aimé, ce sont les noms/mots indiens pas faciles à lire.
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FLAMBOYANT
A la fin du 19 ème siècle, des irlandais accablés par la famine et la rudesse des conditions de vie émigrent vers le Québec, à la recherche d'un rêve à poursuivre.
Peu d'élus pour un si dangereux voyage par delà l'océan mais l'aventure s'offre à ceux qui continuent d'y croire.
Envers et contre tout, l'espoir d'une vie meilleure nourrit le feu intérieur qui leur permet d'avancer coûte que coûte, bravant chaque obstacle dressé sur leur route.

Hissez les voiles et armez vous de courage !
Laissez-vous emporter par le souffle du vent des côtes d'Irlande jusqu'aux forêts sauvages de l'Outaouais !
Un roman d'aventure épique et flamboyant !
Un énorme coup de coeur !

@doresixtine
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J'attendais de pouvoir lire ce roman depuis sa parution au printemps. Sa couverture, le thème des migrants irlandais au 19e siècle, tous les voyants étaient au vert !
Aussi, lorsque j'ai eu la grande chance d'être sélectionnée pour le recevoir lors de la dernière Masse critique, j'étais aux anges ! Merci à l'éditeur M+ éditions pour cet envoi.

Mes attentes étaient elles trop grandes ? J'avoue que cette lecture ne m'a pas comblée comme je l'espérais…
Dès le début, la langue m'a gênée : le style est très imagé, travaillé, ok, mais je l'ai trouvé souvent un peu outrancier, plein de périphrases qui alourdissent le récit inutilement. Cela veut-il traduire le parler québécois du 19e siècle ? Peut-être, je ne suis pas experte. Auquel cas, quel intérêt lorsque l'action se passe en Irlande ?
Ce fut le principal « frein » à mon plaisir de lectrice, car j'avais tendance à survoler les descriptions qui me paraissaient trop longues. Il m'a fallu ensuite mémoriser les innombrables noms de lieux, de personnes, irlandais, québécois… peut-être que je vieillis, et ça ce n'est pas la faute des auteurs !

Pour le reste de l'intrigue, qui se passe entre les deux pays précités, j'ai trouvé qu'il y avait quelques facilités, des péripéties attendues, certains personnages sont très stéréotypés, manichéens, ceux qui sont plus ambigus sont moins fouillés, c'est dommage…
Passé la première moitié du roman, j'ai cependant terminé ma lecture rapidement (m'étais-je habituée au style ?), avec l'envie de savoir comment tout cela se terminerait. La fin ne m'a pas convaincue…
Cette lecture ne m'a pas comblée, mais à voir les nombreuses critiques élogieuses, je suis certainement passée à côté, et ce roman a des atouts pour trouver des lecteurs, le mélange entre romance, faits historiques, intrigue policière par exemple.
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