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3,6

sur 884 notes
C'est le 3e roman que je lis, d'elle, et je n'ai pas été déçue du tout, bien au contraire! Tout ce que j'avais apprécié dans les deux premiers, je l'ai retrouvé. Avec beaucoup plus d'humour! J'ai ri, j'ai pleuré... En un mot, je me suis ré-ga-lée!

Avec des personnages toujours aussi attachants, d'autres un peu moins mais que l'on suis quand même avec intérêt grâce à la plume de l'auteure, qui nous embarque dans ses histoires de famille et de couples, avec leurs joies, leurs peines, leurs coups de gueule, leur générosité, leurs bizarreries...

Tout cela dans un village français tout ce qu'il y a de banal, qui pourrait très bien être le vôtre, sauf que c'est celui sorti de l'imagination de Mme Constantine.

Encore une fois, je la remercie pour ce moment de lecture!
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Un régal !
Vraiment j'adore Constantine. C'est du vrai, du cru, du jovial, la vie quoi !
Tous les personnages sont excellents.
Un livre comme ça, c'est comme une boite de Granola : on commence et on ne peut pas s'arrêter.
C'est de la lecture rose-bonbon, on aimerait que la vie soit comme ça.
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Raymond et Mine sont deux vieux qui s'aiment, comme au premier jour. Raymond est grognon et fait peur à tout le monde, Mine est plutôt gentille, elle aime les chats, surtout son gros matou Bastos, que Raymond veut "allumer" avec son fusil. Il y a aussi Rémi, le fils de Josette, leur fille, que Mine protège comme elle peut des "foudres" de son grand-père. Raymond est fâché avec Josette, depuis longtemps bien qu'on ne sache plus trop pourquoi, et a bien du mal à prendre son petit-fils (le "gnome") dans ses bras. Bref, une famille bien de chez nous, où beaucoup (les plus honnêtes) se reconnaîtront ou bien détourneront la tête d'un air dégagé. Rassurez-vous, on n'est pas, mais alors pas du tout, chez les Thénardier, et Rémi n'est pas une Cosette en pantalons. Cette petite comédie humaine, pleine d'humour, s'agrémente des réflexions des uns et des autres, et le chat Bastos n'est pas le dernier à nous raconter sa vision des choses. Et il s'en passe, des choses ! Barbara Constantine (ce patronyme ne vous rappelle rien ?, cherchez bien du côté d'un certain Lemmy Caution, au cinéma) a l'art de la conteuse chevillé au corps, et porte un regard aigu sur notre société d'aujourd'hui. "Mine" de rien, sa petite comédie humaine (et animalière), qui est son premier roman, l'a propulsée d'un coup d'un seul chez les grands. On lui souhaite une longue, très longue carrière…
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Premier roman de Barbara Constantine, Allumer le chat, vous transporte dans l'univers de personnes quelques peu ordinaires, dotés d'une humanité à géométrie variable, comme vous et moi, plongées dans des aventures surprenantes, un brin rocambolesques. Les destins se croisent, se défont et se refaçonnent au fil des pages. L'ensemble de ces joyeux drilles ont tous leurs petites ou grandes misères, et chacun a voix au chapître tour à tour ce qui rend ce roman polyphonique vivant et authentique, portraiturant ainsi de véritables tranches de vie et de "véritables" personnalités, attachantes, déjantées, taillées dans le roc, douces ou encore rudes et peu commodes.

La gouaille franche et joyeuse de Barbara Constantine apporte un grand vent frais et plaisant dans la littérature.
Lien : http://lire-ecouter-voir.com..
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Raymond veut allumer le chat. Encore. Car il ne vise pas très bien le Raymond. Alors sa Mine lui parle de leur petit fils, qu'ils pourraient voir pour la première fois pour soigner son eczéma. Parce que le gosse, il n'y est pour rien hein ? Quand son père va mourir et que sa mère va se remettre avec une femme, l'ancienne maîtresse de son mari, les deux vieux et leur chat philosophe décident de garder le petit. Ils vont aussi inviter de plus en plus souvent les autres grand-parents de Rémi, sans savoir que ces deux là se réjouissent de la mort de leur fils, aider Edith a retrouvé son vrai père, découvrir que sa mère n'est pas morte, que Marie-Rose cuisine du rat et que si Jacques est alcoolique à 10 ans, c'est de la faute de ses frères.


Un bouquin délirant qui se dévore. On y découvre un village et ses habitants tous plus farfelus les uns que les autres. Composé de chapitres très courts, avec une narration polyphonique comme je les aime, il permet une lecture très simple, à la poésie et l'humour décalé. On s'attache à ces personnages, on suit leurs histoires et on ne parvient que très rarement à deviner la suite des événements.
A lire absolument.
Lien : https://sites.google.com/sit..
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J'avais déjà beaucoup aimé et puis paulette. Je me suis laissée conquérir par cet autre ouvrage. le style est le même, on retrouve un peu la même ambiance bien que les personnages soient différents. Ils ont le point commun d'être un peu "cabossé" par la vie et d'avoir une histoire personnelle pas très banale. AU fur et à mesure, des pages et des chapitres le voile se lève sur ces drôles de loustics atypiques. On s'y attache et on espère que tout finira bien pour eux.
C'est un livre qui se lit très vite et qui est très agréable!
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Premier roman de l'auteur, ce livre est parfois confus dans le nombre de personnages et plutôt inégal. Néanmoins, la lecture de ce petit roman est agréable. B. Constantine a toutefois écrit de meilleurs romans tels que Et puis, Paulette, A Mélie sans mélo et Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom.
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quand on a découvert Barbara Constantine , on ne s'en lasse pas : les personnages sont toujours truculents comme Raymond qui veut allumer le chat Bastos mais qui dégomme les lapins , Momo qui braconne pour sa chérie obèse , Geneviéve qui vit une histoire d'amour par procuration , Josette qui , veuve , s'amourache d'Edith et toute la famille des pompes funèbres qui porte des gènes d'alcoolique
Bref ! SUCCULENT
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J'ai beaucoup aimé cette lecture, l'auteur aurait pu parler d'un accident, ou d'un rencontre amoureuse entre deux femmes ou encore d'un grand père et son petit fils qui apprennent à se connaître, mais non, elle aborde tous ces sujets, et bien d'autres encore.

A travers des chapitres courts, on suit la vie et surtout les rencontres de plusieurs personnages (on peut s'y perde parfois), dans un petit coin de campagne. L'humour est au rendez vous, j'ai adoré les chapitres où Bastos, le chat nous fait part de ses réflexions.

J'étais assez curieuse en découvrant le titre, j'ai compris son importance à présent ; ce roman est une série de retrouvaille, d'amour filiale ou passionnel, un bon moment de lecture.
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Détachez vos ceintures (de pantalon), préparez vos zygomatiques et c'est parti !!!!!!!!!!!
Vous allez faire connaissance de Mine et Raymond, un couple de vieux qui s'aiment toujours. Raymond a un tic : il veut allumer ou dégommer (vous avez le choix du terme) Bastos, qui n'est autre que le chat de la maison, mais, comme il a toujours un canon d'avance, bien sûr, il tire à côté, tant pis pour les lapins…..
Raymond est fâché avec sa fille Josiane qui a épousé ce crétin de Martial et qui a mis au monde un gamin nommé Rémi. Rémi (fa sol la si do) a de l'eczéma et, cela va rapprocher père et fille. Il faut dire que Raymond a un « don », il sait guérir.
Arrivent un kaléidoscope de personnages. Pierrot, employé aux Pompes Funèbres et amateurs de photos « Pompes-funébreuses ». Marie-Rose, à la vie pas rose qui sent pas la rose, excellente cuisinière qui concocte des recettes « sauvages ». Ce crétin de Martial qui rencontre un cerf et en meurt. Momo, le cantonnier, ivrogne comme il se doit, amoureux de Marie-Rose et excellent braconnier. J'allais oublier le chat Bastos très imbu de lui-même….
Picouly a raison quand il écrit « Les Deschiens ont fait un enfant à Queneau. de la loufoquerie à l'état pur, mais très sensée, quelque fois attendrissante, jamais vulgaire malgré le langage fleuri et imagé employé. Et les titres….. des petits joyaux à eux tous seuls : Youka morte raconte sa vie (une vraie vie de chien !!!) – Martial rompt avec Edith et rencontre le cerf – le gendarme croit que c'est son jour de chance, mais en fait, non
Je le lisais dans la salle d'attente d'un médecin et je rigolais…. Imaginez la tête de la personne qui attendait en même temps que moi !!!!! Une bombe à dégoupiller d'urgence.
Que cela fait du bien. Comme dirait Bastos : « j'en miaule de plaisir ». Comme c'est un livre emprunté à la bibliothèque, je vais devoir l'acheter….. j'en aurais besoin de temps à autre pour une remontée de moral !!!!!!
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