Avis : 3/5
Personnages : 4/5
Décors : 3/5
Trame : 3/5
Emotion : 3/5
Globale : 2/5
Cela faisait quelques temps que j'avais laissé cet auteur de côté. Ces deux premiers bouquins,
Le livre des morts et
Le livre des âmes m'avait tant plus que le suivants ont peiné à m'enchanter, d'où cette prise de distance. Qu'en a-t-il été avec
Le livre des Vierges ?
J'ai rencontré des personnages sympathiques, Sue, Cal, Mary ou le Pape Célestin et
Da Costa. Parfois ils sont à la limite du cliché, surtout pour Anning et Pole ou même
Riordan qui ont tout des vilains méchants. Il y a beaucoup d'individus et Cooper a bien su les mettre ou non en lumière.
Les décors sont franchement basiques, que ce soit en Italie, en Irlande ou aux USA. Bien que minimalistes, ils nous permettent tout de même de nous y transporter.
Le gros noeud qui m'a perdu, c'est la trame. On sent venir les faits en amont de manières déconcertantes, ce qui gâche la lecture en annihilant toute surprise. Ce qui faisait auparavant sa force a donc perdu l'auteur, la magie n'opère plus et surtout pas dans cet exercice de style. En plus, les lenteurs sont fréquentes et on tourne même en rond à maintes reprises.
Peu d'émotions à sortir de cette lecture ; trop peu par rapport à la qualité de
Glenn Cooper !
Le livre des Vierges ne m'a pas trop enchanté, un roman à ranger davantage qu'à prêter.
Lien :
https://www.bmds.ch/2019/12/.. Commenter  J’apprécie         10