Marcel ColombeHenri MasséGaston WietHenry CorbinMyriam RosenR. Ghirshman
EAN : 978B0039J72JG
inconnu (01/01/1600)
/5
1 notes
inconnu (01/01/1600)
Résumé :
Oeuvre collective parue en 1964 et publiée sous le patronage de la revue "Orient" avec le concours de l'Association France-Iran. Editeur : Paris, Société d'études et de publications Orient, 1964?
Ont participé à cet ouvrage : Marcel Colombe (note liminaire), Henri Massé, Henry Corbin, R. Ghirshman, Myriam Rosen, Gaston Wiet, Janine Sourdel-Thomine, Teresa Battesti et Sadreddin Ellahy, Roger Lescot, Docteur Barkechli, Henri Goblot.
Ont participé à cet ouvrage : Marcel Colombe (note liminaire), Henri Massé, Henry Corbin, R. Ghirshman, Myriam Rosen, Gaston Wiet, Janine Sourdel-Thomine, Teresa Battesti et Sadreddin Ellahy, Roger Lescot, Docteur Barkechli, Henri Goblot.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Essai écrit à plusieurs mains et traitant de sujets différents tels que la philosophie et la spiritualité en Iran, les missions archéologiques françaises en Iran, l'art, l'architecture, la poésie, la musique...L'ouvrage se conclut par des souvenirs d'Iran (1940-1960) relatés par Henri Goblot.
Il est toujours intéressant de lire des essais bien des années après qu'ils aient été écrits car l'Iran ayant fortement évolué depuis cette période là, certains faits sembleraient ne plus trouver leur place de nos jours. Et finalement, l'image que l'on en a en 2014 est éloignée de celle que l'on perçoit en 1960 alors que finalement peu d'années les séparent. J'ai encore appris beaucoup sur ce pays, notamment l'influence de la deuxième guerre mondiale sur ce pays et la présence/influence/régence de certains pays en Iran ; pour le dernier cas, j'ai envie de dire que certains sont toujours prompts à aller s'incruster là où ils peuvent (je pense aux anglais en particulier).
Il est toujours intéressant de lire des essais bien des années après qu'ils aient été écrits car l'Iran ayant fortement évolué depuis cette période là, certains faits sembleraient ne plus trouver leur place de nos jours. Et finalement, l'image que l'on en a en 2014 est éloignée de celle que l'on perçoit en 1960 alors que finalement peu d'années les séparent. J'ai encore appris beaucoup sur ce pays, notamment l'influence de la deuxième guerre mondiale sur ce pays et la présence/influence/régence de certains pays en Iran ; pour le dernier cas, j'ai envie de dire que certains sont toujours prompts à aller s'incruster là où ils peuvent (je pense aux anglais en particulier).
Citations et extraits (3)
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Ton corps raconte des ballades à ma peau
Tes yeux sont ouverts et je ferme les miens.
Tes mains sont sûres de leurs caresses.
L'obscurité engendre la malice.
L'assassine c'est la grande nuit.
Tu es mon délice
Tu es ma certitude
J'en veux au maudit
Comme un long jour je t'appelle.
Je t'appelle, entends ma voix.
Ce n'est pas moi, mon coeur t'appelle...
La nuit m'engouffre dans son puits
C'est toi que je regarde
Des fenêtres de mon coeur
Je fixe tes étoiles
Chaque étoile est mon soleil.
Moi je crois au soleil,
Moi, je crois à la mer.
Moi, je crois à tes yeux
Sources limpides des mers.
Tes yeux sont ouverts et je ferme les miens.
Tes mains sont sûres de leurs caresses.
L'obscurité engendre la malice.
L'assassine c'est la grande nuit.
Tu es mon délice
Tu es ma certitude
J'en veux au maudit
Comme un long jour je t'appelle.
Je t'appelle, entends ma voix.
Ce n'est pas moi, mon coeur t'appelle...
La nuit m'engouffre dans son puits
C'est toi que je regarde
Des fenêtres de mon coeur
Je fixe tes étoiles
Chaque étoile est mon soleil.
Moi je crois au soleil,
Moi, je crois à la mer.
Moi, je crois à tes yeux
Sources limpides des mers.
Je suis Marie, je suis le Christ,
Je veux accoucher, je veux donner la vie.
Dans mon destin est écrit que j'enfanterai,
QUe je procrééerai sans racines.
Dans mon destin il m'est prédit que je mourrai....
Que je périrai sur la croix.
Je veux accoucher, je veux donner la vie.
Dans mon destin est écrit que j'enfanterai,
QUe je procrééerai sans racines.
Dans mon destin il m'est prédit que je mourrai....
Que je périrai sur la croix.
Je pétris la pâte chaude de ton corps,
Tes seins sont deux gâteaux sucrés,
Mes bras te sont un four chaud, béant...
C'est le gâteau du soleil ou celui de la lune.
O Dieu que notre humble nappe est diaprée ce soir.
Tes seins sont deux gâteaux sucrés,
Mes bras te sont un four chaud, béant...
C'est le gâteau du soleil ou celui de la lune.
O Dieu que notre humble nappe est diaprée ce soir.
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