Une petite lecture agréable dont le choix principal était de respecter la consigne pour un tournoi littéraire
Un roman sans prétention qui parle entre autres d'émancipation, de relations mères filles , de premiers amours dans les années 60.
Livre sympathique à lire mais dont je risque d'oublier certains passages.
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Comment ne pas se prendre d'amitié pour Jeanne ? Cet enfant qui devient femme au fur et à mesure de la lecture, à travers son père, sa mère, son frère et sa soeur.
Ses différentes rencontres l'amèneront à sa destinée.
Le portrait des femmes est évoqué à travers Hélène: la femme, l'amante, la mère, la belle fille. Une vie remplie d'aléas...
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Le thème est intéressant les liens tissés entre 2 générations de filles et de mère et l'emprise et la soumission des femmes à cette époque, souvent abordé
mais
- trop d'incohérences sur la période
- un vocabulaire pauvre et souvent inadapté
- des fautes de grammaire
Tout cela nuit au plaisir de la lecture
Dommage
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Jamais ce livre n'aurait attiré mon attention si ma libraire ne me l'avait pas mis dans les mains , ponctuant son geste d'un souriant " ça devrait vous plaire ." Bon .La couverture , bien que trés colorée ne m'inspire pas trop , je dois l'avouer , et je découvre avec une certaine surprise que ce roman a été écrit par une brillante joueuse de tennis française . Un léger préjugé m'envahit , vous devinez lequel , mais ma libraire est trés , trés compétente et je me décide à suivre ses conseils , toujours avisés .
Voyons .Ah , c'est intéressant ça , en fait , ce récit a été ècrit pour être offert en cadeau de Noêl à la maman de l'autrice .Déjà , on peut saluer cette initiative originale et personnelle qui vaut bien tous les cadeaux du monde , non ? Ce n'est qu'aprés que ce livre sera édité .On peut dire tout ce que l'on voudra mais écrire un roman de 400 pages pour sa maman , il y en déjà de l'émotion dans ce geste rare .
Emotions , Bon Dieu , mais c'est bien sûr , voilà pourquoi Isabelle m'a " ciblé " , si je puis m'exprimer ainsi .
C'est donc sans arrière - pensée que je me lance dans cette histoire familiale où trois femmes vont se partager " la vedette " , même si , je vous rassure , messieurs , les hommes sont loin d'être absents .
Cette saga , c'est un peu une photographie de la société en 1960 et plus particulièrement dans une famille modeste de la Côte d'Azur .Ce sont des parcours de vie où chacun utilise le socle familial pour rechercher un bonheur pas toujours facile à cueillir .
Addictions sévères , violences conjugales , préjugés , séparations douloureuses nourrissent en permanence ce récit dans cette marche lente vers la résilience et la joie de vivre .
Un récit captivant , prenant , humain , qui devrait séduire nombre de lecteurs .Non ce n'est pas mièvre , pas " entendu ", pas conventionnel , non , mieux que ça , sincère .On suit les personnages , on les adore , on les déteste mais on n'est jamais indifférent .Ajoutez au fond que ce n'est pas mal ècrit du tout et on ne pourra que reconnaître que certaines personnes sont bien talentueuses , pour notre plus grand plaisir .
Avec toutes les réserves qui s'imposent , naturellement , j'ai éprouvé le même plaisir que j'avais eu en lisant les récits de la brillante Julie de Lestranges .Du talent et du coeur et ça , j'aime .
Merci Isabelle , ma conseillère préférée et indispensable .
A bientôt amies et amis pour de nouvelles impressions de lectures .En attendant , passez un bon week- end .
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J'ai aimé les premières pages de ce roman qui, dans un premier temps, a su répondre à mes attentes : me transporter dans les années 60-70. J'y ai retrouvé une ambiance caractéristique avec les codes de société de l'époque, dans un style d'écriture fluide et agréable.
Puis l'histoire a pris une tournure que j'ai moins aimée : on perçoit une réelle détestation de l'homme (trop rarement à son avantage, excepté le prêtre et l'ami modèle homo) dans tous les personnages masculins du livre, avec une vision qui m'a parue totalement anachronique. Les femmes, elles, sont les victimes éternelles, jamais responsables de rien, mais battantes, fortes, indépendantes, des saintes quoi !
Bref, livre trop cliché pour moi et le sentiment d'avoir assisté à un règlement de comptes.
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Trois fois en 6 mois que j'essaie, trois fois que j'abandonne après les trois premiers chapitres, chacun présentant tour à tour les trois femmes autour desquelles tourne le roman. Pas moyen d'accrocher, et ce pour deux raisons clairement identifiées :
- la première, l'anachronisme du style (les mots et expressions choisis - très XXIé - ne coïncident pas avec l'époque décrite - 1964/1965.)
- la seconde, question de style à nouveau, une narration où les émotions sont dites et non décrites. Ça sonne faux.
Je ne sais pas si tout le roman est à l'image des cinquante premières pages, mais je n'ai pas pu aller plus loin.
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