Too much...
Clive Cussler ( RIP 🙁 ) n'est pas un auteur que, jusqu'à preuve du contraire, je peux lire d'une traite. Mais oh ! punaise, que j'ai eu du mal à finir ce livre-là !
Cela tient à la double intrigue qui se superpose. J'étais venue pour les trésors de la bibliothèque d'Alexandrie et je me suis fait prendre en otage par des terroristes arabes sur la majeure partie du roman. Il n'est question de cette fameuse bibliothèque qu'au début et à la fin, 7/8ième du bouquin. Et entre les deux, que c'est ennuyeux ! Les quelques bonnes répliques, comme Cussler en a le secret, sont un peu perdues au milieu de tout ce fatras entrecoupé de pétarades. J'ai vraiment senti des longueurs interminables. L'imagination de l'auteur, qui voit déjà les choses en grand habituellement, dépasse les bornes avec un énorme bateau déguisé en
iceberg...
Pour le style, c'est un peu comme voir un vieux film d'action sur papier. A noter, une excellente scène de course-poursuite en voiture.
Sans commentaire sur le parfaitement parfait Dirk Pitt. Si on lit du Cussler, on accepte le gars. Sinon tout l'univers des romans s'effondre. Il sauve les gens et soulève les jupes avec la même facilité. Heureusement, d'ailleurs, qu'il met autant du sien pour propager son ADN et assurer sa descendance, parce que le monde ne tournerait pas sans lui et il lui faudra un successeur.
En résumé, ce n'est pas le meilleur dans la bibliographie de Mr. Cussler.
Not enough...