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Dirk Pitt tome 15 sur 25

Claudie Langlois-Chassaignon (Traducteur)
EAN : 9782253173014
664 pages
Le Livre de Poche (02/06/2003)
3.6/5   178 notes
Résumé :
Dirk Pitt plonge aujourd’hui plus profond que jamais sur les traces de la légendaire civilisation disparue : l’Atlantide.
Septembre 1858 : l’équipage d’un baleinier pris dans les glaces antarctiques découvre l’épave d’un navire et son équipage pétrifié depuis quatre-vingts ans par le froid.
Dans ses soutes, des caisses renfermant de curieuses antiquités et un crâne noir, sculpté dans l’obsidienne.
Mars 2000 : un mineur découvre avec stupéfaction... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Clive Cussler est un romancier et un chasseur d'épaves américain. Son personnage principal est l'aventurier imaginaire dirk Pitt. Les détails mécaniques qu'il met dans son roman à propos des avions Viennent très certainement de son expérience dans l'armée de l'air dans laquelle il s'est engagé pendant la guerre de Corée. Il a multiplié les différentes expériences dans le milieu du livre : rédacteur, concepteur pour des agences de publicité, écrivain de spots publicitaires... Il a également acquis une réputation de chasseurs d'épaves et affirme avoir retrouvé environ 60 navire coulé un peu partout il est président de la Numa agence nationale maritime et sous-marine.


Rien qu'au titre je supposais une histoire fabuleuse et mystérieuse en rapport avec la célèbre cité disparue noyée au fond des eaux de l'Atlantique. En fait ce livre est bien plus que ça.
C'est le premier livre de clive Cussler que je lis. Je partais donc sans aucun a priori si ce n'est celui du titre. Je m'attendais à une histoire de type fantaisie je me suis retrouvée embarqué dans un polar dimension planétaire.


Entremêler deux périodes de l'histoire peut s'avérer être un vrai fiasco si la technique est mal maîtrisée. Clyve Cussler gère ça avec brio. Je ne m'attendais pas du tout à être projetée dans le sillage d'Hitler et de sa guerre mondiale. Et en prime le côté science-fiction rajouter à l'intrigue une dimension quasiment réaliste bien sûr ce scénario est horrifiant et impossible et pourtant l'auteur parvient à le rendre crédible. Je dois dire que j'ai été un peu déçue de ne pas lire quelque chose de fantastique n'ayant pas spécialement envie de lire un polar de science-fiction mais l'intrigue est tellement prenante que j'ai eu envie de lire la suite. D'autant plus que cela nous replonge dans une période les plus sombres de notre Histoire.
Je n'aurais pas la prétention de dire que j'ai tout compris notamment en ce qui concerne les véhicules (sous-marin, bateau, voiture, Jeep) décrit dans le roman mais on sent très nettement les recherches approfondies et les connaissances de l'auteur sur son sujet.
Il a également fait des recherches en ce qui concerne l'écriture. Cela apporte incontestablement de la valeur à son argumentation concernant le crâne de cristal et les cavernes dans lesquelles sont amenés à se rendre nos héros. Grâce à cette facette du roman je l'ai trouvé ma dimension fantastique. Si pour couronner le tout nous ajoutons des manipulations génétiques et des sortes de clones, alors le cocktail est détonnant!


Dirk Pitt est le directeur des projets spéciaux de la Numa. Dire qu'il est casse-cou et un euphémisme c'est une sorte d'Indiana Jones toujours prêt à l'action. Sportif et charismatique, je me le suis imaginé très sexy et forcément il endosse le rôle du héros à merveille. Grand et musclé il collectionne les conquêtes mais il semble que ce soit une particularité des héros. Ils ne s'encombrent pas d'une famille qui pourrait les distraire de leur mission de sauver le monde ;)
Son acolyte al Giardino est tout l'opposé : italien, petit et trapu il est cependant musclé. Leur amitié et tellement belle qu'elle ressemble plus à de la fraternité qu'autre chose. J'aime beaucoup l'humour entre eux deux même au plus dramatique des situations. Il y en a toujours un pour faire une vanne à l'autre et détendre l'atmosphère. Ce genre d'humour noir un peu pince-sans-rire correspond tout à fait au personnage de Dirk Pitt.
Patricia, la graphologue spécialiste des écritures antiques et les codes en tout genre apporte une touche de féminité et un peu de rivalité entre les deux hommes. Heureusement son rôle ne consiste pas juste à porter des jupes et faire bonne figure elle a un réel rôle scientifique il participe à la résolution de question relative à l'écriture codée des amènes.

Je ne peux rien reprocher à ce livre si ce n'est peut-être quelques longueurs dans les descriptions. Mais cela ne compte pas ou très peu à mes yeux au vu de la puissance de l'intrigue et du suspense. Et puis finalement chaque petit détail a son importance dans ce livre si spécial.
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Beaucoup d'action dans ce roman aux multiples facettes. Un roman d'aventures genre Indiana Jones, roman policier avec trucs et effets spéciaux à la James Bond, science-fiction avec effluves de nazis. le personnage principal est sympathique, bon enquêteur, il collectionne les vieilles automobiles et on peut voir des ressemblances avec l'auteur Clive Cussler. Roman bien distrayant nous emmenant dans des régions peu fréquentées par les lecteurs non aventuriers de l'extrême.
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Nouvel Opus des aventures de Dirk Pitt, Atlantide est un excellent roman sur le théme de la cité mythique et mystérieuse. On est tenté de penser que Cussler va sombrer dans la fiction pure, comme beaucoup d'autres ouvrages sur le même sujet, mais il n'en est rien. le roman est terre à terre, et tient en haleine le lecteur avec une superbe trame. le thème du roman s'oriente notammnent vers Robert Ludlum et les "veilleurs de l'apocalypse" pour ceux qui connaissent. En conclusion, un nouveau cussler qui mérite parfaitement ses 5 étoiles et qui fait réfléchir le lecteur sur de nombreux aspects de l'histoire humaine.
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J'ai longtemps hésité à lire un live Clive Cussler : j'avais peur de tomber sur un roman d'espionnage ennuyeux. Celui-ci est mon premier et je dois dire que j'ai adoré !
Il y a des explications techniques, certes, mais ce n'est pas barbant. J'ai trouvé des longueurs à 2 endroits mais ça n'a pas trop duré et globalement j'ai beaucoup aimé ce livre. Les personnages sont attachants.

En auriez-vous un du même acabit à me conseiller svp ? Merci.
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Mon premier Cussler dont le synopsis m'a attiré (mythe de l'atlantide, civilisation disparue, etc...). C'est un peu bourrin, mais à priori, avec cet auteur, c'est comme ça... de l'action hollywoodienne non stop, des voyages tout autour du globe, des méchants (gros méchants) et des gentils à qui rien ne peut arriver (genre James Bond)... Il y a deux ou trois détails qui m'ont agacé, comme les erreurs de traduction du système métrique (ou on parle d'un grand bateau à voile pris dans les glaces depuis plusieurs centaines d'années qui ne fait que 4 mètres des large alors qu'il devrait en faire 2x plus... ou ce patron de je ne sais plus quelle agence américaine, qui mesure 1m55 mais réussit sans mal à passer son bras autour des épaules du héros DIRK qui mesure quasi 1m95...).
Le fait également que l'auteur nous crée un personnage homonyme, un certain "Dad Cussler", qui permet un peu de sauver le monde, je trouve ça un peu mégalo et abusé...
Toutefois, j'ai envie d'en relire un autre, peut-être dans quelques mois, comme quand on veut voir un film "popcorn" en mettant son cerveau en pause.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Les grandes passions, cérébrales ou sensuelles, sont affaires de gens dûment repus, désaltérés et reposés.

L'argent ne fait pas le bonheur ? Qui le fait donc, je vous le demande ? Qui me donnerait cette démarche assurée, cette confiance, cette joie ?

N'aie crainte ! Le corps meurt, mais quelque chose reste. Il nous faut espérer. Dieu n'est pas un vain mot.

Le difficile est de distinguer les restaurants dont on sort en se mordant les doigts et ceux dont on sort en se les léchant.

Le travail ! La seule chose qu'on ne regrette jamais.

Que ce soit la joie ou la peine, l'une comme l'autre te viendront toujours du côté où tu les attendras le moins.

C'est sur la terre que s'engagent les dépenses, mais le grand livre où on les apure est au ciel.

On doit laisser en paix les gens chargés de la cuisine.
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Le déluge de la Bible et les nombreuses calamités légendaires présentent des liens avec cette tragédie particulière. Les anciennes civilisations des Olmèques, des Mayas et des Aztèques d’Amérique centrale avaient maintes traditions se rapportant à un très ancien cataclysme. Les tribus indiennes des États-Unis racontent encore comment des inondations gigantesques ont noyé leurs terres. Les Chinois, les Polynésiens, les Africains parlent tous d’un cataclysme qui a décimé leurs ancêtres. Mais la légende qui s’est répandue et a fleuri tout au long des siècles, celle qui a engendré le plus de mystères et d’intrigues, fut celle du continent perdu et de la civilisation de l’Atlantide
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Le Paloverde faisait partie d’une flotte de baleiniers de San Francisco, installée sur la côte ouest du pays. C’était un bateau massif, construit surtout pour les expéditions polaires de la chasse à la baleine. Long de quarante mètres, large de quatre, avec un tirant de cinq mètres, il jaugeait trois cent cinquante tonneaux. Ses dimensions lui permettaient d’embarquer une grande quantité d’huile de baleine ainsi qu’un équipage de marins et d’officiers suffisamment nombreux pour des voyages pouvant durer près de trois ans. Sa quille de pin, ses allonges et ses barrots venaient des plus beaux arbres des montagnes de la sierra Nevada. Une fois mis en place, les madriers de quatre-vingt-dix centimètres d’épaisseur avaient été posés à plat et attachés par des clavettes, sortes de clous en bois et généralement en chêne.
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Pitt n’avait aucun mal à imaginer Perlmutter et ses 180 kilos, dans son habituel pyjama de soie, enterré sous une montagne de livres concernant les navires et les océans, dans l’ancien relais de poste dont il avait fait sa maison. Conteur, gourmand, connaisseur et autorité reconnue de l’histoire de la marine, sa bibliothèque contenait les livres les plus rares sur le sujet, des lettres, des papiers et les plans de presque tous les navires jamais construits. Il était une encyclopédie vivante de la mer et des marins.
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Pendant des centaines d’années après la convulsion, les humains eurent peur de quitter les montagnes et de s’installer sur les terres basses et le long des océans. Les nations qui avaient dominé les mers n’étaient plus qu’un lointain souvenir d’un passé révolu. La construction de navires et la technique de la mer avaient disparu et allaient devoir être réinventées par les générations futures dont les ancêtres très accomplis seraient un jour considérés comme des dieux.
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