Citations sur La Faiseuse d'étoiles (155)
Elle est comme Maman. Elle a des éclats de soleil dans les yeux.
Tu m'as appris une leçon essentielle aujourd'hui. Je croyais bien faire, mais c'est toi qui as raison. On cherche toujours le bonheur loin de chez sois. On croit qu'il se trouve dans l'exotisme de paysages différents m, de senteurs nouvelles, de bâtiments imposants. Ce n'est pas toujours vrai, n'est ce pas ? Parfois, le bonheur, c'est juste d'être assis sur une butte tous les trois.
Tu m’as appris une leçon essentielle aujourd’hui. Je croyais bien faire, mais c’est toi qui as raison. On cherche toujours le bonheur loin de chez soi. On croit qu’il se trouve dans l’exotisme de paysages différents, de senteurs nouvelles, de bâtiments imposants. Ce n’est pas toujours vrai, n’est-ce pas? Parfois, le bonheur, c’est juste d’être assis sur une butte tous les trois.
Plus elle approchait de l’obscurité, plus elle devenait lumineuse.
Tu n'es pas une gardienne. Tu dessines. Tu fabriques le ciel. Tu es une faiseuse d'étoiles
C'était ça, être parent. Ne plus avoir le droit de faillir. Ne plus avoir le droit de disparaitre. Jamais. Craindre pour sa vie, pour la première fois peut-être. Vivre pour autre chose que soi, pour quelque chose de grand, d'immense qui nous dépassera toujours. Qui nous illuminera toujours.
"En tombant, les larmes forment une flaque. Et comme nous sommes tous liés, comme nous faisons tous partie d'une seule et même grande famille, chaque fois qu'un enfant pleure, les oiseaux pleurent aussi. Les lames des oiseaux du monde entier coulent et coulent et coulent faisant grossir la flaque qui devient un étang, un lac, ou une rivière. Alors, l'enfant, découvrant l'eau bleue, c'est d'avoir du chagrin"
Croise les doigts quand tu souffleas les bougies tout à l'heure. Croise les orteils aussi... On ne sait jamais !
« Tu m’as appris une leçon essentielle aujourd’hui. Je croyais bien faire, mais c’est toi qui as raison. On cherche toujours le bonheur loin de chez soi. On croit qu’il se trouve dans l’exotisme de paysages différents, de senteurs nouvelles, de bâtiments imposants. Ce n’est pas toujours vrai, n’est-ce pas ? Parfois, le bonheur, c’est juste d’être assis sur une butte tous les trois. »
Cela devint notre petit jeu, ce printemps-là, au bord du lac : deviner comment se forment les nuages, les cailloux, les fleurs, les arbres, les chemins, les montagnes… Maman avait réponse à tout. Des histoires de géants, de pluies magiques, d’ouragans voyageurs. Moi, je n’en démordais pas : les papas avaient construit la plupart des choses ; les mamans les fleurs. Et les enfants.