Citations sur La Faiseuse d'étoiles (155)
Simplement le résumé : Tu m'as appris une leçon essentielle aujourd'hui. Je croyais bien faire, mais c'est toi qui as raison. On cherche toujours le bonheur loin de chez soi. On croit qu'il se trouve dans l'exotisme de paysages diffé-rents, de senteurs nouvelles, de bâtiments imposants. Ce n'est pas toujours vrai, n'est-ce pas ? Parfois, le bonheur c’est juste d’être assis sur une butte tous les trois.
Une histoire douce, poétique, magique, tendre mais aussi qui prend aux tripes.
La plume de Mélissa est très touchante. Les émotions sont bien présentes.
Je suis épatée par l'imagination de Clarisse, cette super maman.
Et donc épatée par Mélissa qui a eu toutes ces idées.
Je pense lire ce livre avec ma fille lorsqu'elle sera plus grande et en capacité de comprendre.
Félicitations pour ce roman débordant d'amour !
C’était ça, être parent. Ne plus avoir le droit de faillir. Ne plus avoir droit de disparaître. Jamais. Craindre pour sa vie, pour la première fois peut être.
Vivre pour autre chose que soi, pour quelque chose de grand, d’immense qui nous dépassera toujours. Qui nous illuminera toujours.
On cherche toujours le bonheur loin de chez soi. On croit qu’il se trouve dans l’exotisme de paysages différents, de senteurs nouvelles, de bâtiments imposants. ce n’est pas toujours vrai, n’est ce pas ? Parfois, le bonheur, c’est juste d’être assis sur une butte tous les trois.
Je trouvais que le violet était une couleur étrange, car on en voyait peu dans la nature, hormis les violettes qui étaient des fleurs et qui n’avaient même pas été fichues de se trouver un vrai nom.
Mamie, c’était une dame un peu grosse mais très jolie. Elle portait toujours des habits bariolés : rouge, jaune, vert, bleu. Elle était un peu comme mon moulin à vent mais en forme de Mamie.
« Écrire sur les maux de la vie, les drames du quotidien, c’est essayer de donner du sens ».
Son regard porte la marque de l infini. Il dit ce que j aurais déjà du savoir, ce que je découvre seulement. Il dit que je suis parent désormais, que, si il le faut, sans une once de hésitation, je mourrai pour elle...
C était ça, être parent. Ne plus avoir le droit de faillir. Ne plus avoir le droit de disparaître. Jamais. Craindre pour sa vie, pour la 1ère fois peut-être. Vivre pour autre chose que soi, pour quelque chose de grand, d immense qui nous dépassera toujours.. Qui nous illuminera toujours.
Tu es notre trésor à papa et moi. A la fin de notre vie, quand on nous demandera si on a été riches, on pourra dire que oui, infiniment.