« — La peur n’évite pas le danger, Marianne. Et tu es trop forte pour arrêter de vivre. Tu es une fille du vent. Tu plies mais tu ne romps pas. »
« — Tu en as eu beaucoup, des mères de famille de ce genre ?
(…)
— C’est la deuxième de la soirée. Ce sera tout pour aujourd’hui !
Je ricane devant tant d’assurance.
— La journée n’est pas finie, tu ne devrais pas t’avancer autant !
Raphaël s’installe en face de moi et m’adresse un sourire narquois.
— Tu es la dernière à passer. Je crois que je peux me permettre d’affirmer que plus aucun parent d’élève ne va me draguer d’une manière outrageusement gênante.
Son visage reste figé tandis qu’il attend ma réaction.
— Oh…euh…en effet. »