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4,55

sur 7987 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Masse critique spéciale.
Challenge ABC 2015-2016.

Ce tome 2 est à la hauteur du premier tant l’imagination et la création de l’auteure m’ont subjuguée !
On reprend l’histoire là où elle s’était interrompue : l’entrée tant attendue d’Ophélie à la Cour ! J’avais essayé d’imaginer ce que pouvait être cette Cour…Quelle inventivité de l’auteure !! Nous allons de surprises en surprises et ce n’est jamais ce à quoi je m’attends ! Chaque fois une nouvelle création complexifie ce monde déjà bien étrange et particulier ! Chaque fois l’inventivité va plus loin encore ! Et nous ne sommes pas au bout de nos peines au fil des 550 pages qui, pourtant, fourmillent d’indices… de la dernière tour jusqu’au plus sombre sous-sol de la Citacielle. Aucun détail n’est donné au hasard, tout prend sens à un moment ou un autre du récit, et particulièrement vers la fin quand les morceaux du puzzle commencent à s’assembler. Ce récit est d’une redoutable construction et une question s’impose à moi : jusqu’où l’auteur va-t-elle nous emmener ? Sa faculté de création semble inépuisable…J’ai le sentiment que nous avons déjà des indices de réponses dans le début de l’histoire et j’ai envie d’en reprendre la lecture à leur recherche !

Dès les premières pages, le récit repart de plus belle et l’intrigue est relancée…. Elle ne fera que se complexifier ensuite… jusqu’à ce qu’Ophélie y voit finalement clair. Nous suivons toujours le fil de ses pensées et actions, et ce personnage est toujours aussi proche de nous. Elle n’a décidément vraiment rien d’une héroïne, de plus en plus mal habillée, décoiffée, blessée… et va de catastrophe en catastrophe. Mais qui est-elle finalement ?
« Parfois, Ophélie se demandait pourquoi elle était la seule enfant de la famille à avoir été affublée d’une si petite poussée de croissance, d’une vue de taupe et de cheveux impossibles, à croire vraiment que dame Nature l’avait prise en grippe. » p 223-224

Thorn est également de plus en plus touchant, tellement seul et solitaire, ne parvenant à donner sa confiance à personne. Nous sentons qu’il a beaucoup à nous apprendre. Mais que cache-t-il au plus profond de son être ? une douleur indicible ? un secret terrifiant ? ou bien n’est-il qu’un simple intriguant égoïste ?

Le mariage que tant de personnes redoutent entre Ophélie et Thorn aura-t-il lieu ? La lecture du Livre de Farouk sera-t-elle possible et fructueuse ? Et puis tous ces disparus…vont-ils réapparaître ? par quelle malice ?

Comme pour le premier, ce tome 2 se savoure ! Le lecteur se délecte à la découverte de ce monde composé d’arches familiales où chacun possède un pouvoir magique.

Un grand merci à Babelio et aux Editions Gallimard jeunesse pour cet envoi !
Et surtout un immense bravo à Christelle DABOS pour son écriture ciselée.
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Allez, je l'avoue volontiers, me voilà happée par la saga de la passe-miroir.
Captivée par ce second tome, il me fallait absolument savoir ce qu'il allait advenir d'Ophélie, de Thorn, de tous… Délaissant mes autres activités et lectures, mettant en pause mes visionnages de films, documentaires et séries, rognant sur mes temps de sortie, je me suis adaptée pour dégager le temps nécessaire.
Non, non, je ne suis pas malade, en cette période particulière il faut être rassurant, cependant, en toute honnêteté, la dépendance s'installe, j'en reconnais bien les symptômes… Et ça me va très bien.

Après un premier tome très réussi, qui prenait avec intelligence et talent le temps d'installer l'intrigue dans un univers complexe en toute cohérence, le second présente d'entrée un enchaînement parfait et développe plus encore ce qui a été initié préalablement, en l'enrichissant de plus d'une belle intrigue policière autour des disparus de Clairdelune.

Rien à divulgacher, je me contenterai simplement d'écrire que cette trilogie constitue un vrai délice, dépaysant, passionnant et addictif. Et j'ai de la chance, il me reste deux tomes à lire...
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Je suis amoureuse...
Ah mais vraiment...
C'est le coup de foudre, Christelle Dabos m'a électrifiée.
Je n'ai jamais lu une saga d'une telle beauté, un monde si finement élaboré.
Les personnages sont si terriblement recherchés qu'on les croirait réels. Ils ont tous un passé, des défauts, des qualités, des craintes, des envies. Ils sont tous tellement... humains.
Le monde de la Passe-miroir est une pure merveille. Bien souvent ( je ne vous dirai pas combien de crainte de vous affoler) je me suis mise à parcourir les rues du Pôle, des couvrants tous les étages de la Citacielle avec émerveillement, dans les moindres détails. Ce qui emplifie encore plus cette beauté, ce que l'auteur ne se perd pas de grandes descriptions ennuyeuses, mais donne juste quelques informations dispersées ici et là et laisse ensuite faire notre imagination.
Je suis amoureuse d'Ophélie, de Thorn, d'Archibald, de Berenild.
Je suis amoureuse de la Passe-miroir.
Mais avant tout, je suis amoureuse du style de Christelle Dabos. Un style qui nous transporte à travers les arches. Un style qui nous transmet tellement d'émotions. Un style qui nous fait voyager.
Alors si vous hésitez encore à lire le plus beau de tous les chef-d'oeuvre (et ce n'est pas peu dire), n'hésitez plus : lancez-vous ! Parce que les voyages magnifiques sont à la porter de tout le monde, et encore plus de ceux qui s'en offre les possiblités.
Alors, pour ce voyage fantastique, pour cette imagination débordante, pour ces personnages trop attachants, je dis merci à Christelle Dabos, à sa plume et à tous les lecteurs qui ont découvert ce livre avant moi et qui m'ont permis de le lire.
Merci.
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Ophélie tente plus que jamais de gagner sa place au Pôle alors que son mariage avec Thorn approche de plus en plus.

Si j'avais pu regretter une certaine inertie dans le tome 1, dans ce tome 2 l'intrigue se complexifie et s'enrichit. L'accélération en milieu de tome fait qu'il devient difficile de lâcher le livre.
Nous connaissons bien les personnages désormais, mais ils continuent de se développer et parfois de nous surprendre. On s'attache à eux de manière forte, ce livre n'est vraiment pas dénué d'émotion. Il y a un vrai travail sur eux et c'est vraiment un des points fort du livre. Il y a beaucoup de subtilité dans leur caractère, dans ce que l'on découvre d'eux petit à petit et dans leur évolution au grès des coups durs.
On sent désormais que l'intrigue va bien au-delà des petites manigances de pouvoir autour du mariage d'Ophélie et de Thorn. C'est quelque chose de plus grand qui englobe tout l'univers des arches créée par l'auteur. Et ça nous donne une furieuse envie de se jeter sur le tome 3!
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J'avais adoré le premier tome, j'ai trouvé le deuxième tout aussi excellent (avec un plus d'action et de rebondissement peut-être). J'ai vraiment hâte de lire la suite. C'est tellement bien écrit qu'on a l'impression de voyager aux côtés d'Ophélie, c'était super !!!
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Difficile de trouver les mots pour décrire le sentiment que j'ai ressenti à l'issue de ces 550 pages.
Émerveillement d'abord tout au long de la lecture pour cet univers fantastique, qui réussit encore une fois à nous emporter loin dans l'imaginaire. Désenchantement, parce qu'un fois fini, je me suis sentie vraiment désemparée face au spectre de l'attente (insurmontable!) du troisième tome. Comme si je me retrouvais un peu orpheline... mais c'est aussi ça, le côté magique et obscur de la lecture.

Rappelons-nous, à la fin du tome 1, nous laissions notre héroïne prête à être présentée à l'esprit de famille du pôle, Farouk. Ophélie fait donc son entrée officielle à la cour, et peut enfin montrer son vrai visage. Malheureusement, la vie à la cour n'est pas différente des complots qui se jouaient déjà à l'ambassade et Ophélie doit désormais composer avec les aristocrates des différents clans qui ne voient en elle qu'une rivale supplémentaire. Entre Thorn,surchargé de travail à l'intendance et toujours aussi énigmatique, et Bérénilde, enceinte jusqu'aux yeux, qui a repris sa place de reine des favorites, Ophélie doit se débrouiller tant bien que mal avec sa nouvelle fonction de vice-conteuse. Et comme si ça ne suffisait pas, des notables de la cour disparaissent mystérieusement dans l'enceinte inviolable de l'ambassade. Et Ophélie se voit malgré elle responsable de l'enquête..

Si l'intrigue de ce tome 2 se concentre d'abord autour de cette enquête, il se tisse en arrière plan une histoire plus complexe. En effet, si le premier tome posait le décor, le deuxième tome vient creuser davantage dans les fondations même de l'univers des arches et de sa genèse. L'intrigue générale en ressort enrichie : les enjeux des "fiancés de l'hiver" dépassent largement les frontières du pôle pour concerner l'humanité entière. Tout semble reposer sur le livre de Farouk et des secrets qu'il dissimule. Que va révéler sa lecture? Qui sont réellement les esprits de familles, véritable divinités sur leurs arches respectives? Pourquoi leur mémoire est-elle si défaillante? et qui est ce Dieu présent dans les "bribes" et dont personne ne parle?

Ce deuxième tome de la passe-miroir nous embarque donc un peu plus loin dans la découverte de cet univers foisonnants de références. Christelle Dabos s'inspire en effet des codes de la mythologie (romaine, nordique, grecque) pour créer ses esprits de famille et leurs pouvoirs respectifs. La cour de Farouk n'est pas sans rappeler celle de Louis XIV : favorites, complots, potins et courtisans, tout y est. Tout cela dans un décor "belle époque" emprunté au XIXe siècle qui donne à cette saga un esthétisme incroyable (et qui n'est pas sans rappeler le genre steampunk, que j'affectionne particulièrement).

Si beaucoup de nouveaux personnages viennent enrichir la galerie, quel bonheur de retrouver au fil des pages nos protagonistes préférés évoluer dans ce monde à la fois merveilleux et sans merci. Ces derniers prennent de la consistance, de l'épaisseur. Notre maladroite Ophélie continue de s'affirmer pages après pages (et d'accumuler les ecchymoses) et Thorn, éternel ombrageux, perd progressivement son allure d'iceberg insensible (avouons que l'iceberg était déjà quelque peu fissuré à la fin du premier tome). Quant à leur relation chaotique, je passerai mon tour sur ce point, mais sachez que vous n'êtes pas au bout de vos surprises (et de vos peines). Archibald, le populaire coureur de jupons ne s'avère pas si superficiel qu'il en a l'air. L'ambiguïté autour du personnage de Berenilde s'efface pour en faire finalement une véritable alliée, et Tante Roseline reste ce roc immuable de féminisme et de soutien moral.

La seule partie qui m'a moins convaincu, c'est la visite impromptue de la famille d'Ophélie au pôle. Même si elle a le mérite de nous rappeler les valeurs familiales dont Ophélie a hérité ( et de nous faire revoir son grand-oncle), je pense en effet qu'elle apporte des longueurs et qu'elle sert trop peu l'intrigue.

Malgré cela, les disparus du Clairdelune reste une réussite. L'auteur signe un deuxième tome abouti qui vient donner à cette saga un caractère et une puissance imaginaire sans égal. Je ne la remercierai jamais assez de m'avoir rappelé un des premiers rôle de la littérature : nous faire rêver. La passe-miroir restera donc pour moi une série jeunesse incontournable.
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Si je trouvais génial le monde construit par Christelle Dabos, son imagination, je prends encore plus la mesure du monde qu'elle a créé ici. C'est bien plus vaste que ce que l'on avait découvert dans le tome 1 (et je trouvais déjà ça Wouhaou...!). J'aime vraiment l'univers qui s'offre à nous. Dans tous ses aspects, même les plus dingues. Par exemple, c'est vraiment n'importe quoi cette vie à la cour de Farouk. Et surtout ces courtisans sans aucun avis, complètement débiles, qui ne savent absolument plus penser !

Les détails sont également beaucoup travaillés et nous en prenons petit à petit la mesure. Comme cet exemple : à ma première lecture du tome 1, je n'avais pas fait attention à cette histoire de Thorn avec sa montre à gousset. Mais enfin, il doit y avoir plus qu'une montre !!! :)

Et puis, concernant la narration, j'ai enfin compris pourquoi ça fonctionne : Christelle Dabos maîtrise les ascenseurs émotionnels. Elle fait ça tout le temps en fait. Et il n'y a rien de plus accrocheur ! le petit côté enquête a aussi rendu cet opus intéressant.

Pourtant, je termine ce tome déçue, agacé, frustrée. Toujours ces choses que je ne comprends pas ; ça commence à me lasser. A la fin de ce tome 2, on a quelques réponses, certes, mais si peu et encore plus de questions je crois. Et puis, la lecture du Livre me fut décevante (comme je comprends Farouk pour le coup !). Cela ne m'empêchera pas, bien sûr, de poursuivre la série parce que le sentiment global est très, très, très positif. Un plaisir de lecture ! Mais j'espère que l'on va un peu plus avancer.

Ps : Et cette phrase, mais cette phrase !!!!! : 😍

~ Pioché dans ma Pal par Callietournelespages
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Quelque temps après les évènements du premier tome, Ophélie a enfin troqué son costume de valet contre celui, officiel, de future épouse du surintendant. Un statut qui lui vaut désormais la protection de Farouk, l'esprit de famille irascible à la mémoire défaillante. Une protection scellée par un contrat mutuel, qui fait d'Ophélie la vice-conteuse de la Citacielle. Mais notre jeune et timide Animiste a bien du mal à se fondre dans son rôle, n'étant ni Mirage, ni grande oratrice. Perpétuellement en danger, ne pouvant faire confiance à personne, Ophélie, la tante Roseline et Berenilde n'ont d'autre choix que de se réfugier au gynécée, où elles seront sous la protection des Valkyries. Pendant ce temps, plusieurs disparitions ont lieu au Clairdelune, venant ternir la réputation sans faille de l'ambassade. Ophélie va devoir user de ses talents de liseuse pour résoudre ce mystère, et cette enquête va les mener, Thorn et elle, aux confins d'un danger plus terrible encore que tout ce qu'ils ont déjà connu.
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Emportée par cette histoire dès les premières lignes, j'ai retrouvé avec bonheur tous les protagonistes. Forts de leurs expériences passées et des liens qu'ils ont noués, ces derniers interagissent avec plus de naturel les uns avec les autres. Ophélie prend de l'assurance et n'hésite plus à s'affirmer, ce qui lui vaut le respect de son entourage. Berenilde, quant à elle, se montre plus vulnérable et humaine. Thorn, toujours aussi mystérieux et taiseux, reste l'un de mes personnages préférés. Sa force de caractère, sa loyauté et son sens de la justice le rendent toujours plus intéressant à mes yeux. Sa relation avec Ophélie s'améliore de jour en jour, et les sentiments s'installent, toutefois avec délicatesse et prudence.
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Dans la Passe-miroir, Christelle Dabos s'attarde avec la même finesse sur tous ses personnages, même les plus secondaires. Un soin qu'on retrouve également dans la restitution de cet univers, aussi original que passionnant, constitué de cultures éclectiques et d'une histoire dense et recherchée. Une histoire qui, dans Les disparus du Clairdelune, va nous emmener aux origines de tout. Un tout plus ancien encore que les esprits de famille. J'ai beaucoup aimé la narration, qui alterne entre l'intrigue en cours et de mystérieuses bribes venues du passé. Un rythme que j'ai trouvé bien plus dynamique que dans le tome d'introduction, avec une enquête des plus palpitantes.
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C'est définitif, entre cette série et moi, il s'est créé un lien. Ce lien si particulier qui t'attriste lorsque tu refermes le livre, parce que tu sais que tous les personnages vont te manquer. Ce lien qui t'emmène toujours plus loin, dans des contrées imaginaires exaltantes, pour un plaisir de lecture incomparable. Fort heureusement pour moi, il me reste encore deux tomes pour profiter encore de ce bel univers et de tous ses protagonistes.
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[Mon avis sur la version audio]
Il est de plus en plus courant que je choisisse la version audio pour une série littéraire. La Passe-miroir ne fait pas exception, et je ne regrette absolument pas mon choix car Clotilde Seille est vraiment épatante. La toute première fois, j'ai été surprise par son timbre de voix, qui m'a paru très mâture par rapport à la jeune Ophélie. Mais très vite, j'ai été sous le charme de son interprétation, tellement juste, tellement évidente. Tout au long de l'histoire, je n'ai cessé de penser "Quel talent !". Les protagonistes sont nombreux, et pourtant Clotilde Seille les incarne tous différemment, avec une fluidité et une perfection qui forcent l'admiration. Un atout incontestable pour cette oeuvre, déjà excellente à plus d'un titre.
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Ma chronique est sur le blog
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Caroline - le murmure des âmes livres
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Un deuxième tome aussi phénoménal que le premier voir mieux. Au lieu de simples intrigues de cour et autres mariages arrangés, le mystère s'épaissit consolidé par de mystérieuse disparitions et d'étranges coïncidences. Les personnages aussi gagnent en profondeur, des liens forts se créent et l'ambiguïté de la situation entre Thorn et Ophélie se fait ressentir. Sera-ce vraiment un mariage sans amour ? En tout cas, les deux tantes ne se quittent plus, prêtent à tout pour protéger Ophélie nouvellement vice-conteuse et Thorn qui s'attire toujours les foudres de la cour. J'ai vraiment beaucoup aimé, les liens complexes et le mystère d plus en plus profond qui tourne autour d'une personne, Dieu. Si la suite est aussi bien, j'aurais dévoré cette série en même pas un mois !
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Quelle imagination a Christelle Dabos! Et quel sens du suspens. J'ai essayé de faire durer Les Disparus du Clairdelune, en me disant que comme je ne pourrais pas courir à la bibliothèque pour le tome 3 avec le confinement, mieux valait prendre mon temps, mais rien à faire, l'intrigue, les personnages, l'univers, j'ai été aspirée et j'ai aimé chaque ligne!
Ophélie, son fiancé qu'elle comprend si peu, Archibald, Farourk, les deux tantes de nos fiancés...Tous les personnages que j'avais aimés sont revenus, toujours aussi attachants et plein de mystère. Cette fois-ci, une bonne part de l'intrigue tourne, comme le titre l'identique, sur des disparitions inexpliquées dans l'endroit en théorie le plus protégée de la Citacielle, et évidemment, Ophélie s'y trouve mêlée bien malgré elle... Elle se débat dans ce lieux qu'elle ne comprend pas, cherchant qui est réellement son allié, et je n'attends plus qu'une chose: retrouver Thorn, tout comme elle!
Vivement la réouverture des bibliothèques!
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