Quand j'ai connu Jacques, il y a seulement trois ans, il rêvait de diriger une clinique chirurgicale et se servait de ses couverts et de son steak, le midi, pour mimer des transplantation d'organes. Au début de l'année suivante, il parlait d'un cabinet de médecin. A l'approche de l'été une simple plaque de dentiste aurait fait l'affaire. Aujourd'hui, je me demande s'il parviendra à passer son diplôme de vétérinaire ou s'il se contentera de reprendre la boucherie chevaline de son père, place des Ternes.