Vivepierre, tome 2 : Celle qui libère les captifs

J'ai préféré ce deuxième tome au premier; Louise est toujours aussi douloureusement anachronique - je persiste à penser que l'auteure en fait trop avec elle-, néanmoins l'histoire est plus originale que celle du premier. On se laisse facilement emmener dans l'aventure de Louise et de ses comparses, à la recherche de 'talents' disparus dont la propre mère de l'héroïne et les surprises ne manquent pas!
Une seule chose me chagrine: le prologue, où notre pauvre cardinal de Richelieu, un des plus grands hommes d'Etat que notre pays eût jamais, en prend encore indûment pour son grade! Que de dégâts Alexandre Dumas a pu causer!