Ce qui m'a le plus attiré dans ce roman, je ne vais pas mentir, c'est la couverture qui est tout simplement sublime (un grand bravo à l'illustrateur) et qui reflète à la perfection l'univers du roman. le résumé quant à lui m'a laissée un peu dubitative, je dois l'avouer et pourtant…
Dès les premières pages, j'ai été happée par l'univers de l'auteur, ses arènes, ses gladiateurs des temps modernes. J'ai tourné les pages sans m'en rendre compte, tellement l'histoire était prenante et arrivée à la fin, je n'avais qu'une hâte, savoir la suite… mais je vais un peu trop vite.
Dans ce roman de
Joseph Delaney, nous suivons des combattants, des jeunes et des moins jeunes qui se battent dans des arènes. Si les combattants sont armés, ils ne sont pas seuls face à l'adversaire… ceux-ci sont accompagnés de « lacres », qui ne sont pas réellement humains, mais pas non plus de simples robots… Et c'est autour de cette univers que
Joseph Delaney nous entraîne en suivant les aventures de Leif, jeune humain, ayant gagné un ticket « bon pour une formation ». Ce dernier rêve de combattre dans l'arène 13 et de suivre les traces de son père…
Bon comme dans tout bon roman, il y d'un côté les bons et de l'autre, le grand, vilain méchant qui nous flanque la frousse et que nous ne voudrions pas retrouver dans le noir et bien sûr, c'est cet être immonde, Hob, que le jeune Lief veut combattre.
Autour du jeune homme gravitent son maître en arme et en programmation, les filles de ce dernier et d'autres apprentis. Bien sûr ce ne sera pas facile pour le jeune Lief. Entre Kwin qui l'entraîne dans des situations impossibles, Palm, qui le déteste et Deinon qui est le « sage » du groupe… sans compter la menace qu'Hob fait peser à la fois sur la ville et sur Leif..
C'est avec plaisir que j'ai lu ce roman et je dois avouer que je ne me suis pas ennuyée une seule fois durant ma lecture. L'auteur a mis dans ce roman tous les ingrédients pour nous rendre accro à sa nouvelle série. Il y a de l'action en pagaille, du suspens, un petit rapprochement amoureux… il y a du drame, des pleurs, des morts, de l'amitié, de la haine et nos propres sentiments en prennent un coup… on ne peut s'empêcher de frémir avec les personnages, de ressentir de l'empathie pour Leif, pour Tina, quelques scènes aussi sont insoutenables et il est difficile la « vision » de ses scènes vous suit pendant de longues heures.
Mais malgré tout, on ne peut qu'en redemander encore et encore…
En conclusion : Un premier tome au top, j'ai adoré, j'ai frémis, bref… à lire absolument.