AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Arena 13 tome 1 sur 3
EAN : 9782747058582
390 pages
Bayard Jeunesse (05/11/2015)
3.93/5   250 notes
Résumé :
Les temps sont funestes pour l’humanité qui a presque disparu de la Terre, vaincue par des machines douées de conscience. Les derniers humains vivent confinés dans le pays de Midgard, entourés par une infranchissable barrière de brouillard. Dans une citadelle vit une sinistre créature, Hob, qui exerce une tyrannie sanglante sur la population. Des arènes de combat ont été ouvertes… La plus populaire et terrifiante est l’Arena 13 : c’est là où combat Hob. Un jeune gar... >Voir plus
Que lire après Arena 13, tome 1Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (105) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 250 notes
5
25 avis
4
49 avis
3
21 avis
2
2 avis
1
0 avis
Avant de commencer cette critique, je tiens à dire un très grand merci à Babelio et aux éditions bayard jeunesse pour l'envoi de cette perle !

Leif est un jeune garçon devenu orphelin dans la pleine fougue de son jeune âge. Très impulsif et déterminé, il n'aspire qu'à une chose : se battre. Mais pas n'importe où, pas n'importe comment et pas avec n'importe qui. Son objectif : combattre dans l'Arène 13, cette immense arène surmontée de 13 flèches dans la ville de Gindeen, ville qui, comme le reste du pays, est tombée sous le joug des djinns il y a bien longtemps. Et pour y arriver, il veut le meilleur : Tyron, qui n'est autre que le meilleur des entraîneurs d'apprentis et le marchand le plus prospère de la ville.
Une fois la "formalité" de se faire accepté par Tyron, Leif apprendra à ses dépends que l'impulsivité est mère de grands ennuis pas toujours rattrapables...

Apprentissage de la vie, de l'amour, du combat, de la jalousie et de la patience. Mais aussi combat du Bien et du Mal avec une bonne dose d'aventures et d'adrénalines avec disparitions plus ou moins mystérieuses et quelques louches d'hémoglobine dans un univers qui rappelle celui des gladiateurs de l'empire romain : c'est un cocktail très addictif que nous offre ici Joseph Delaney ! le grand tour de force de l'auteur repose aussi dans la façon dont il montre avec son histoire comment le Mal entretien sa place de dominant grâce à la terreur, la violence et quelques formules paternalistes "politiquement correctes" et comment il utilise la peur pour assujettir ses victimes.
Cette histoire a une résonance particulière surtout après les attentats du 13 novembre..

Malgré quelques longueurs, j'ai été totalement absorbée par ce récit très vif et rythmé par l'écriture fluide de Delaney. Et le moins qu'on puisse dire c'est que c'est une lecture dont je ne suis pas sortie indemne....

J'ai bien sûr hâte de connaître la suite. Et vous, êtes vous prêt à affronter Hob et ses hordes de djinns et son armée de chacals cannibales ?

Commenter  J’apprécie          320
L'un des seuls défauts de cet ouvrage vient du fait que la suite n'est pas encore publiée en France. Quelle frustration ! J'aurais bien enchaîné directement sur le second tome tellement j'étais happée par l'univers. Hélas, il faudra que je me montre patiente et attende début 2017... Quel dommage de quitter cette intrigue addictive et dynamique. En effet, à partir de la moitié de l'ouvrage, les rebondissements et les révélations s'enchaînent. Les têtes se mettent à tomber... L'univers, que l'on croyait simplement violent, s'avère bien plus sombre au fil des pages, notamment à cause de Hob. C'est vraiment un être perfide, cruel et mauvais. C'est tout à fait le type d'antagonistes que j'affectionne, car il est crédible aussi bien dans ses actes que dans ses paroles. Les chacals, ses sinistres soldats, sont aussi malintentionnés et fourbes que leur Maitre. On comprend pourquoi le peuple de Gindeen ne se révolte pas et se laisse gouverner par la peur ou la mort. D'ailleurs, je me demande comment Leif, le héros, va se venger...

Ce qui m'a le plus séduite, c'est cette ambiance de gladiateurs avec une touche de science-fiction : les guerriers combattent avec des lacres, d'étranges robots humanoïdes. Pour espérer survivre, il n'est pas seulement nécessaire d'être fort ou rapide. Il faut également savoir faire de la programmation, s'entraîner avec son ou ses lacres et être attentif à son rival. « Gladiator » avec des droïdes ? Pourquoi pas ! Pour ma part, j'ai rapidement adhéré au concept. D'ailleurs, il me tarde d'en savoir plus sur les lacres, puisque l'un des personnages sous-entend qu'ils sont beaucoup plus intelligents qu'ils n'y paraissent. Auraient-ils une âme ou une personnalité propre comme dans le film « I, robot » ou le roman « Cinder » ? Il me tarde d'avoir des réponses à ce mystère...

En plus d'un « méchant » crédible et d'un concept intéressant, ce roman possède une écriture fluide : on se laisse aisément entraîner par la plume de l'auteur. Les scènes de combat sont très bien retranscrites. On enchaîne les chapitres presque sans s'en rendre compte ! Joseph Delaney a su proposer des personnages assez caricaturaux mais travaillés. J'ai aussi bien adhéré à Leif, ce garçon intrépide et fougueux qu'à son maître Tyron qui est un protagoniste qui cache une personnalité touchante, protectrice et pleine de sagesse. J'ai aussi accroché à Palm, le rival du héros. C'est vraiment l'antagoniste de base : rapporteur, jaloux, antipathique, imbu de lui-même, fils à papa et avec un mauvais fond. Il ne lâche pas Leif et entretient vraiment cette haine. Cela me plaît beaucoup, car ses actes auront parfois de lourdes conséquences et apprendront au narrateur à se méfier ou à apprendre de ses erreurs. Par contre, Kwin, la fille de Tyron, est un personnage assez lunatique. J'ai donc eu parfois du mal avec elle, surtout durant les passages avec Jon. Elle est bien trop hautaine, obstinée et égoïste pour que je m'attache à elle. En revanche, j'ai accroché à son caractère féministe. Elle rêve d'aller dans l'Arène 13, hélas c'est interdit pour les Femmes... J'espère qu'elle finira par y parvenir... Et qu'elle calmera un peu ses ardeurs ou ses manipulations...

Je pense que cette série plaira beaucoup aux lecteurs ados (surtout masculins) ainsi qu'à certains adultes. Comme je vous l'ai dit précédemment, il me tarde de connaître la suite des aventures de Leif. Ce premier tome est une belle mise en bouche qui donne envie d'en savoir plus. Dans la suite, j'espère en savoir plus sur les lacres ou Konnit, un personnage qui a proposé une nouvelle quête/un but à notre jeune héros. J'attends beaucoup du second tome...
Commenter  J’apprécie          194
Tout d'abord, je tenais à remercier Babelio et les éditions Bayard pour cet envoi. Joseph Delaney s'est rendu célèbre suite à la série « L'épouvanteur », littérature jeunesse que je n'ai pas encore eu le temps de découvrir (Soit dit en passant, elle prend d'ors et déjà une place considérable dans ma wishlist.) mais sur laquelle j'ai entendue de bonnes critiques sinon des éloges; Certains étant si enthousiastes, qu'ils en ont fini par attiser ma curiosité. C'est pour cette raison que j'ai littéralement sauté de joie quand l'opportunité de découvrir cet auteur c'est présenté à moi.
Encore une fois, je me suis étonnée de la facilité avec laquelle je me suis plongée dans l'histoire, tête la première ; la littérature jeunesse ayant la particularité, en plus d'être plutôt agréable et simple à lire, d'entraîner le lecteur à sa suite avec une facilité troublante.
En tout premier lieu, j'avoue avoir été instantanément séduite par la première de couverture. Sombre, presque agressive, elle décrit bien l'univers que Joseph Delaney va mettre en place dès le départ. Parce que oui, l'univers fascinant de cette nouvelle saga est relativement sinistre. du sang, des batailles, des duels, de la violence, des vampires, des monstres etc etc. Il y aura très certainement une pointe de romance mais que serait un roman young-adult sans romance ? Bref, un univers foisonnant et captivant malgré un thème bien exploité, mais qui reste plaisant.

Il est vrai qu'au début, il est passablement difficile de se lancer dans cette dystopie. On commence par une à deux pages de règles sur lesquelles il serait peut-être plus judicieux de revenir une fois l'univers du roman bien assimilé. Parce que je l'avoue, je les ai lus sans comprendre bien que pleine de bonnes volontés. Malgré ça, ce livre est ensorcelant ! le monde, le système de combat, les arènes, les lacres . Oui, les lacres ! Ces machines à l'aspect humain dont se servent les hommes pour combattre dans l'arène sont pleins de mystère. Au début, elles ne m'inspiraient pas trop confiance, et même si c'est toujours le cas, j'avoue qu'elles me fascinent. Elles sont effrayantes en fait, et la fin du roman soulève quelques questions qui nous donnent véritablement envie de lire la suite.

En ce qui concerne les personnages, j'ai eu, pour ma part, une certaine affection pour Leif, le personnage principal. Malgré sa pénible impulsivité ; son obstination et sa bravoure finissent par le rendre attachant. A contrario de Kwin, que j'ai trouvé insupportable ! Egoïste, hautaine et ne pensant qu'à ses propres intérêts, le parfait cliché de l'adolescente en crise. Non sans la rejeter totalement, je déplore la fascination qu'elle semble exercer sur Leif. Il était, bien entendu, évident qu'une certaine attirance se créerait entre ces deux-là, mais j'en reste un brin déçue. Si je n'avais pas l'impression qu'elle se servait de lui, mon opinion serait certainement différente. Qui sait ? Mon jugement changera peut-être avec la parution du tome 2 !

En conclusion, je suis véritablement ravie d'avoir découvert ce roman et son auteur. Cette dystopie est une bien belle découverte que je ne peux que vous recommander.

Commenter  J’apprécie          150
Oubliez L'Épouvanteur, Delauney change complètement de registre. Plus le même univers, plus le même ton, plus le même public.
Leif, issu des bas-fonds de la société, joue toutes ses chances sur un ticket bleu qui lui permettrait de devenir l'apprenti du plus grand des gladiateurs : Tyron. le jeune garçon, solide et vif, voit son plus grand rêve se réaliser. Lui qui excelle au combat de bâton a toujours rêvé de venir à la capitale et de se battre dans l'Arène 13. Mais son parcours est, bien évidemment, semé d'embuches. Beaucoup voient d'un très mauvais oeil ce novice trop prometteur originaire du sud.

L'univers est très original. Il part du principe que les hommes peuvent contrôler et créer les choses à l'aide des wurdes (des sortes de runes). C'est un système très complexe qui n'est accessible qu'à quelques élites. Malheureusement, les hommes ont, par le passé, donné naissance à des créatures extrêmement puissantes : les djinns. Tellement puissantes qu'elles se sont libérées de l'influence de leurs maîtres et les ont vaincus. Désormais, le territoire des hommes est réduit et est cerné par la Barrière. Ayant perdu une bonne partie de leurs connaissances des wurdes, ils sont incapables de recréer des djinns ou de récupérer leur contrôle.
Le héros, lui n'en a jamais vu. Mais on dit qu'ils ressemblent énormément aux lacres, des hommes artificiels (d'où leur nom : simu-lacre). Ceux-ci, sortes de robots créés par magie, sont beaucoup moins intelligents et ne sont utilisés que pour combattre dans l'Arène. Car là-dedans, ce ne sont pas deux hommes qui s'affrontent, mais un gladiateur et ses trois lacres (Mag), et son adversaire avec son unique lacre (Min). Les équipes sont volontairement déséquilibrées pour corser le jeu et les règles sont strictes et complexes.

Je me suis facilement attachée aux personnages, et spécialement à Kwin, la fille de Tyron. C'est une demoiselle qui n'a rien de féminin, qui rêve de se battre dans l'Arène, mais qui fait face à divers obstacles, puisque les femmes n'ont pas beaucoup de droit, et certainement pas celui d'entrer dans l'Arène ! C'est quelqu'un de combattant, volontaire et talentueux, mais elle n'en est pas moins imparfaite. Elle prend de mauvaises décisions, est obstinée, s'attire de mauvaises aventures, ne parvient pas à tenir ses promesses… Je l'ai adorée ! Aucun autre personnage ne lui arrive à la cheville, pas même Leif. Pourtant, je l'aime bien, lui. Il est courageux et réfléchi, l'auteur n'est pas tendre envers lui (mention spéciale pour la famille !), mais il est trop « passe-partout ». Je l'ai trouvé un peu creux, tout comme Thomas Ward, le héros de L'Épouvanteur. Finalement, mon ressenti sur les personnages est un reflet de cette première série, où j'avais beaucoup aimé Alice pour son ambiguïté.
Le seul que j'ai vraiment détesté c'est Palm. L'auteur redouble d'effort pour nous le rendre antipathique, et il y arrive très bien : c'est un personnage imbu de sa personne, hautain et méprisant – le Drago Malfoy d'Harry Potter. En moins charismatique.

Ce premier tome soulève beaucoup de questions : quelle est vraiment la nature des djinns ? Pourquoi Hob est-il le seul de son espèce à être dans le territoire des hommes ? Les lacres sont-ils vraiment dépourvus d'humanité ? Pourquoi Hob boit-il le sang de ses victimes et pourquoi emporte-t-il leurs cadavres dans sa forteresse ? Que sont les chacals, exactement ?

Ça m'a vraiment donné envie de lire la suite, et c'est donc un très bon début pour une série ! Je pense que c'est un livre qui ne s'adresse pas uniquement à la jeunesse, mais aussi aux ados et jeunes adultes – ainsi qu'à tous ceux qui aiment la fantasy et qui ont envie d'une lecture sans prise de tête.
Commenter  J’apprécie          130
Trois coups venaient de toquer contre la petite porte verrouillée. Trois coups.
Un, c'était Palm, deux pour Deinon et trois pour le nouvel apprenti de la petite bourgade de Mypocine, Leif.
Kwin, la fille cadette de l'entraineur Tyron était intrépide et piquante. Son impossibilité à participer aux tournois de l'Arène13 en tant que fille la poussait à mettre à l'épreuve les protégés de son père, à les bousculer un peu. Si Tyron savait que chaque soir Kwin faisait visiter les parties basses de l'établissement de combat, la Roue, en pleine nuit, mettant en danger ses combattants, il serait furieux. Il n'y avait rien à redouter des Bookmakers.
La garde du Protecteur, le dirigeant de Gindeen, était à éviter, les affaires de coeur avec les conccurents les rendaient provocateurs. Leif avait promis, il était interdit de se battre en dehors de l'arène. Mais ce qu'il ne fallait pas croiser dans ces labyrinthes de rues ou de couloirs intérieurs, c'était Hob.
Le djinn était devenu une légende assassine, un croquemitaine des arènes qui ne faisait de ses adversaires qu'une bouchée.
Leif savait bien qui il était. Il avait emporté le dernier souffle de vie de sa mère. le jeune Leif était venu à Gindeen pour tuer la bête et être le nouveau champion de l'Arène 13.

roman,fantastique,aventure

: le célèbre auteur de "l'Epouvanteur" se lance sur une nouvelle série et cela se montre extrêmement prometteur et excitant.
On retrouve des profils de personnages un peu identiques- le jeune apprenti, l'entraineur et la belle à l'amitié ambigüe -. Néansmoins ce sont bel et bien des caractères inédits, Tyron se montre intraitable en affaire, juste et bon mais bien moins sombre et bourru que le Vieux Grégory, Kwin est joueuse, calculatrice mais beaucoup plus frondeuse que Alice la sorcière la pernicieuse. A la différence de Tom, Leif ne vivra pas la solitude et le reclus avec ses frères apprentis même si il opposera d'emblée une rivalité avec le riche et arrogant Palm qui le toisera de haut.
Le jeune adolescent provincial et rustique détient un secret qui pèsera dans la balance le cas échéant et pourrait lui permettre de gagner sa place dans l'Arène 13. L'Arène 13 est une création originale, un univers finement pensé et garni de détails précis pour lui rendre corps comme avec l'univers de l'Epouvanteur. Nous navigons dans un mélange d'influences historiques, géographiques et de références aussi, des ingrédients qui font tout aussi mouche pour nous charmer.
Comme avec les savoirs d'épouvanteurs, les techniques anti-sorcières et techniques de protection à la chaine d'argent, bois de sorbier et limaille de fer, Joseph Delaney a de l'idée et se montre délicieusement descriptif dans sa science du combat pour rendre les éléments crédibles. L'idée des combattants simulacres "Lacres" luttant par un ou trois est pour l'imagination palpitante, le déséquilibre des groupes de duels crée inévitablement une tension systématique intrigante. La programmation des Lacres intègre une note de
modernité inspirant la robotique. Ces combattants djinn, prôche d'un Golem sans âme ou presque, apporte une dimension technique et complexe, en plus du savoir faire du combattant. Technique, règles, amitiés et inimitiés, légendes, il est probable qu'il y a là matière à exploiter de nombreuses pistes d'histoires pour développer l'univers.
Celle qui nous intéresse pour l'instant, en plus des premiers pas de Leif, est la légende de "l'ogre" Hob. On espère très rapidement en apprendre d'avantage et assister à un affrontement afin de savoir à quel sauce Leif pourrait être mangé ( ou pas) pour la suite des aventures. La fin se montre digne des attentes, Delaney reste un bon maitre d'aventure et du frisson pour lecteurs ados avides d'un peu de légendes et horreurs fantastiques.
Un très bon premier tome à découvrir!
Commenter  J’apprécie          100


critiques presse (1)
Elbakin.net
31 décembre 2015
Arena 13 n’est pas qu’un ersatz de l’Épouvanteur pour fans en manque, c’est littéralement un monde à part et à part entière, un monde à découvrir avec plaisir.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Vous êtes dans l'Arene 13, et vous allez assister à un combat fatal. Que ceux qui meurent le fassent avec honneur. Que ceux qui vivent conservent leur souvenir. L'affrontement peut commencer !
Commenter  J’apprécie          270
L'odeur sucrée des parfums féminins qui flottait dans l'air se mêlait à celles du bois ancien, du cuir et de la sueur. Mais il y en avait une autre, aussi : une senteur aigre et métallique.
Avec un coup au cœur, je réalisai que c'était celle du sang.
Commenter  J’apprécie          110
Un monstre pareil mériterait d'être découpé en pièces et éparpillé aux quatre vents.
Mais les hommes sont faibles, et ils ont peur. Ici, cest Hob qui commande.
Car nous sommes à Midgare, la terre des vaincus.
C'est ici que vivent les hommes.
Commenter  J’apprécie          110
Le monde était ainsi fait : c'était une loterie.
Commenter  J’apprécie          410
Un jour, tu changeras : tu apprendras ce sentiment que les hommes nomment "amour". À mesure que tu grandiras, le nombre de ceux que tu aimeras ira croissant, comme la profondeur de l'amour que tu leur porteras. Alors, un par un, je te les prendrai. Je te prendrai tous ceux qui te seront chers, jusqu'à ce que tu te retrouves seul.
Commenter  J’apprécie          50

Videos de Joseph Delaney (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Joseph Delaney
L'apprenti épouvanteur 1
autres livres classés : gladiateursVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus



Lecteurs (569) Voir plus



Quiz Voir plus

L'Épouvanteur

Pour devenir épouvanteur, il faut d'abord être :

Le fils d'un épouvanteur
Le fils du Diable
Le septième fils d'un septième fils
Le dernier fils d'une sorcière
Orphelin

11 questions
131 lecteurs ont répondu
Thème : Joseph DelaneyCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..