L'île des damnés

Angelina Delcroix est une auteur dont je vois passer de plus en plus d'avis, une quatrième de couverture qui faisait plus qu'envie avec cette île les pires criminels sont mis.

Il existe donc une espèce de hiérarchie sur cette île dont l'idée de base est justement d'effacer tous les crimes et le passé des criminels, il y a également Joy Morel qui va se retrouvé sur celle-ci afin de retrouver une psychocriminelle disparu.

Pour celle-ci les chances de survie sont plus grandes que ceux des criminels car une carte lui est montré avant son arrivée sur l'île lui indiquant des caches d'armes, elle doit cependant mémoriser celle-ci.

Un hélicoptère va également se poser sur cette île à deux reprises lui permettant de sortir de ce cadre.

Ce roman sur le papier avait tout pour me plaire, une histoire un peu différente des autres qui promettait de bonnes heures de lecture.

Malheureusement et à mon grand regret je n'ai pas cru une seule seconde à ce récit du début à la fin, tout me semblant surfait et à la limite du ridicule, comme par exemple les armes cachés faisant penser aux jeux vidéos ou même les pseudos des criminels Sexo, Necro, Canni.

De même la pseudo troupe limite secte suivant certains d'entre eux ne m'a pas du tout paru crédible.

Une lecture qui m'a laissé sur le bas côté, il y avait tous les ingrédients pour faire mouche mais malheureusement cela n'a pas fonctionner pour moi.

L'adjudant Joy Morel se voit confier une mission secrète particulièrement délicate : elle va devoir infiltrer "l'île des damnés". Dix semaines plus tôt, Rodrigue, policier, et Chloé, psychocriminologue, ont eux aussi été missionnés pour enquêter en cet endroit dangereux. Pour régler le problème de la surpopulation carcérale, on a envoyé vivre sur cette île 22 criminels psychopathes, tous volontaires, leur offrant ainsi une sorte de semi-liberté en échange de la suppression de leur existence. Comme le dit un détenu, "C'est l'orgie du crime sur cette île, alors la menace est partout."

En parallèle de la vie périlleuse sur cette île, on suit une enquête sur un meurtre à Fontainebleau.
Émilie annonce à  son frère Antonin, qu'elle n'a pas vu depuis dix ans, que leur père, érotomane, est sorti de prison deux mois plus tôt, ce qui semble le mettre dans tous ses états. Elle l'a prévenu pour qu'il les protège, elle et sa mère.

Je n'ai pas franchement pris plaisir à lire ce roman. J'ai trouvé trop répétitive l'atmosphère de traque sur l'île et les dangereux psychopathes - Canni, Nécro, Sexo, Braco, Trip ... - très caricaturaux. L'enchaînement des scènes de violence m'a rapidement lassée, j'aurais aimé un ancrage réaliste plus marqué. J'apprécie quand l'intrigue s'attarde davantage sur la psychologie d'un ou deux personnages.
Les chapitres relatant l'enquête à Fontainebleau ont cependant retenu un peu mon intérêt. Mais j'ai trouvé l'ensemble long et assez prévisible.
Je remercie Netgalley et les éditions Hugo Thriller pour l'envoi de ce roman.
#NetGalleyFrance
#liledesdamnes

Pour pallier le manque de place en prison, le gouvernement a fait le choix d'envoyer sur une île les pires criminels : psychopathes, cannibales, nécrophiles... et de les y laisser s'autogérer en totale liberté. Mais Chloé, psychocriminologue venue sur l'île sous couverture pour mener une étude, et Rod, l'agent chargé de la protéger, ne donnent plus signe de vie. Pour espérer les sauver, Joy et son collègue Hoche doivent à leur tour intégrer cette communauté infernale en se faisant passer pour des détenus. Dès les premières pages du livre, nous sommes rapidement plongés dans l'action et découvrons les différents protagonistes dont les noms sont plutôt évocateurs : Necro, Sexo , Canni ou encore Trip. Cette île est un véritable enfer qui nous interroge sur la société et la justice. C'est glauque, violent et très noir. J'ai eu des difficultés à entrer dans ma lecture à cause de l'atmosphère mais aussi de quelques invraisemblances et du nombre important de personnages. Mais le roman est rythmé et le suspens est bien présent jusqu'au bout. #LÎledesdamnés #NetGalleyFrance

Une île abandonnée fait l'objet d'une expérience carcérale hasardeuse pour laquelle on isole à perpétuité les criminels les plus pernicieux, tous volontaires, en leur offrant une forme de liberté illusoire en échange de l'effacement de leur identité et de leur existence. Aucun surveillants, pas de règles si ce n'est la loi du plus fort. Deux agents sont enjoints par leur hiérarchie à récupérer dans cette prison clandestine deux de leurs collègues, infiltrés à des fins d'études sur l'expérience et dont on est depuis sans nouvelles. Parallèlement, une sordide affaire de meurtre perpétré par un érotomane récidiviste sème le trouble au sein du pouvoir judiciaire remettant en question la pertinence de la législation, les carences des expertises psychologiques et des thèses compassionnelles. Sur l'ile, les recherches vont, pour l'adjudant Joy Morel et son équipier, rapidement prendre des allures de cauchemar dans cet univers sans contrôles ni limites, ouvert aux débordements anarchiques et à toutes les perversions. Au-delà de l'intrigue, le récit interroge avec sérieux sur l'identité criminelle, la hiérarchisation des actes ainsi que sur la rédemption et tente d'analyser en profondeurs les tourments et les contradictions de l'âme humaine. Angelina Delcroix construit un thriller dérangeant au scénario effroyablement glauque et qui en même temps pose question. Un huis clos angoissant qui n'est pas sans rappeler, sur le fond, The Prison Experiment ou encore l'absurde Théorie Gaïa pour le contexte. Pourtant, la conception du récit manque d'inspiration, d'un véritable suspense comme de densité. L'enquête secondaire n'a pas réellement raison d'être et ne présente que peu d'intérêt pour l'histoire. Une faiblesse de scénario comblée par des scènes de violences gratuites, viols et tortures, entrecoupées d'atermoiements psycho-sociaux, d'introspections aventureuses et d'une romance invraisemblable. Les personnages qui présentent censément beaucoup de potentiel sont ébauchés sans grande subtilité, à la limite de la caricature avec leurs surnoms ridicules, leur conduite ubuesque, sans compter la naïveté et l'inconscience des policiers censés être d'élite. Au final, l'ensemble n'est pas inintéressant, le style d'Angelina Delcroix est plaisant, le propos pertinent mais l'histoire est totalement irréaliste, pleine de non-sens comme d'incohérences. Si l'expérience en elle-même peut s'inscrire dans le domaine du supposable, les dérives politico-judiciaires plausibles, tout ce qui a trait au comportement des protagonistes manque cruellement de crédibilité. A noter que la conclusion plutôt sommaire et ambiguë augure sans doute une possible suite qui en substance ne s'imposait pas.

Une île sur laquelle on isole à vie les pires criminels, on leur retire leur identité, leur existence, leur nom…
La mission de l'adjudant Joy Morel consiste à infiltrer cette île et tenter de ramener une psychocriminologue disparue.
Avec l'aide de Hoche, policier, ils vont devoir survivre en milieu hostile… et en compagnie hostile… effectivement dans ce lieu se côtoient des criminels de tout sortes : nécrophile, cannibale, tueuse à la meule…
Il faudra également s'extraire de ce milieu… en ressortiront ils vivants?

Sur le papier, l'idée avait tout pour être séduisante… des criminels sans foi ni loi abandonnés à leur sort sur une île déserte…
Je ne vais pas m'éterniser car je n'ai pas aimé… j'ai trouvé que le sujet aurait mérité d'être traité de manière moins brouillonne, et que les personnages ne soient pas affublés de surnoms ridicules…
Merci à #netgalleyfrance pour cette découverte

Ma première incursion dans l'univers d'Angelina Delcroix. J'ai lu les premières pages du livre et la mise en place. le pitch de départ est intéressant. Mais je n'ai pas d'empathie pour les persos. Je n'accroche pas, je passe mon tour. J'ai Sinopsix dans la pal, j'espère être plus emballé.

DNF à la page 133. La prémisse était intéressante, mais un gros manque de recherches et de crédibilité. Tous les personnages parlent comme s'ils avaient 10 ans et agissent comme tels. Les criminels sont tous supposés être les plus dangereux, mais parlent et agissent comme des adolescents ; un portail très caricatural, qui manque de nuances. Les policiers, qui sont supposément expérimenté, semblent être des adolescents eux aussi et ne font preuve d'aucun professionnalisme. Aucun plaisir à lire

"L'île des damnés" a été pour moi une lecture que j'ai très moyennement apprécié.
Tout d'abord le 4ème de couverture me paraissait intriguant, intéressant. Malgré cela je n'ai pas vraiment pris de plaisir à lire ce thriller, pourtant le récit se lit facilement, c'est fluide et ça défile vite, mais j'ai eu des soucis tout d'abord pour apprécier les personnages, en effet beaucoup sont assez clichés, limite aussi cliché que dans les blockbusters américains des années 80/90, et pour d'autres je n'ai eu aucune accroche, ça bloque forcément sur l'appréciation.
L'histoire en elle-même est bien, même intéressante mais il y a du "trop", vous savez cette sensation que tout est impossible, trop facile pour les uns, laborieux pour les autres, comme si c'était plié d'avance.
Je ne vais donc pas rester sur cette première lecture de l'auteure, j'ai un autre roman qu'elle a écrit (Synopsix), je prie pour que ça passe mieux qu'ici où je reste sans vraiment d'enthousiasme.