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Ce roman me place dans une situation inédite. Dans mes chroniques, j'ai toujours pris le parti d'en dévoiler le moins possible concernant les intrigues. Mais L'innocence est un livre basé sur une idée tellement à part que je ne peux absolument rien en dire, sous peine de gâcher une bonne partie du plaisir de lecture.

Ce roman n'est pas un thriller. Ce n'est pas un roman de littérature « blanche ». Ce n'est pas un roman noir. Ce n'est pas un roman psychologique. En fait, cet étonnant bouquin est tout ça à la fois, proposé de telle sorte qu'on se retrouve assez vite déstabilisé et plutôt mal à l'aise.

Que puis-je vous dire ? Que vous êtes dans la tête d'un des personnages. Qu'un tel personnage, vous n'en avez sans doute jamais côtoyé d'aussi près. Que cette contiguïté vous troublera comme rarement un roman ne l'aura fait.

Je peux aussi vous donner la citation introductive du livre, parce que rarement elle aura été aussi bien choisie :

« Quand je suis seul, je cesse de croire que j'existe. » A. Alvarez, le Dieu sauvage

Ce livre vous parle donc directement, à travers cette voix dérangeante et par la grâce d'une plume magnifique et très travaillée. le genre d'écriture qui est assez rare dans le milieu, souvent précieuse (dans le bon sens du terme), délicate et fouillée. Une écriture qui accentue d'autant plus le malaise latent de ce récit en forme de mise en abyme.

Une collection de sentiments souvent destructeurs, une histoire qui flirte avec la folie, entre secrets de famille et crise existentielle. Voilà ce que nous offre ce roman très posé, tout en psychologie, qui fait réfléchir et glace par son propos.

Un récit tout en subtilité donc, assez éloigné de la norme des romans noirs. Un propos fascinant sur le fonctionnement de l'esprit humain qui brouille d'autant plus la frontière entre littérature généraliste et littérature de genre.

Quant à la chute, elle est au paroxysme de ce que propose le livre et sera sans aucun doute digérée de mille manières différentes selon les lecteurs. Pour ma part, j'ai mis un peu de temps à l'absorber, à l'encaisser, mais elle me hante toujours depuis.
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J'avais lu de bons avis à la sortie de ce livre et puis je me suis remémoré que j'avais lu un livre issue de la collection Super 8 précédemment pour lequel j'avais été plus que mitigé.

Ici rapidement j'ai trouvé le récit plus que confus, nous suivons pourtant une maman et son fils mais rapidement nous sentons que plusieurs chose ne vont pas au sein de cette famille, de plus la narration est faite d'un point de vue extérieur ce qui m'a perturbé durant un long moment mais c'est l'effet recherché par l'auteur.

Au final pour un court récit de 300 pages, cette histoire m'a semblé très longue et je n'ai eu ni d'empathie ni d'affect pour les personnages de ce livre, peut-être aussi es-ce du au fait que j'ai lu beaucoup de ce genre de roman et du coup je n'ai pas eu de grosse surprise au niveau de la fin de celui-ci.

De mon côté cela sera malheureusement un roman que j'aurai oublié d'ici quelques jours. Malgré le fait que le fait de jouer de la part de l'auteur entre la vérité et cette aura mystérieuse tout au long du récit est plutôt réussi mais d'autres ont également beaucoup surfé sur cette vague récemment.
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Une première phrase choc qui nous annonce un thriller palpitant, des premières pages prenantes dans lesquelles on sent que quelque-chose ne va pas...A vrai dire, la couverture nous donne déjà un sérieux indice quant à l'intrigue : une main tenant fermement un petit oiseau. Plus précisément un rossignol, nom en français du personnage principal du livre : Luke Nightingale.

Luke est un garçon de six ans qui rencontre Daniel en jouant dans Central Park. Ils se lient d'amitié et deviennent inséparables. Au fil des pages, quelques détails concernant l'intrigant Daniel nous poussent à nous demander qui il est exactement voire s'il existe vraiment. le temps passe et la vie suit son cours entre Daniel qui influence Luke et la mère de ce dernier qui, nous apparaissant comme tantôt distante tantôt attentionnée, nous laisse également penser qu'elle cache quelque-chose.

Dans la seconde partie du roman, nous retrouvons un Luke devenu adulte, étudiant à la fac, ne vivant plus avec sa mère dont la présence est anxiogène, mais dans un campus. Il semble avoir retrouvé le contrôle de sa vie jusqu'à ce que revienne son ennemi imaginaire, Daniel. Une lutte de tous les instants se met en place, Luke ayant compris que Daniel ne voulait pas son bien et que son seul but était de serrer son emprise autour de son cou jusqu'au dernier souffle...

Malheureusement, j'ai été déçue. Bien que l'écriture soit élégante comme l'a souligné Gillian Flynn, je n'ai pas senti de montée en puissance. En tout cas, pas assez fort pour me captiver. Les personnages ne sont pas assez creusés à mon goût et manquent de personnalité mis à part Cassie dont la bonne humeur était bienvenue. J'ai donc baigné dans une ambiance souvent glauque, frustrée par la passivité du héros, à attendre quelque-chose qui n'est pas venu au milieu des idées de l'auteur jetées par-ci par-là de manière confuse vers la fin. Entre la première partie du roman et le dernier chapitre, il ne se passe pas grand-chose. Cette histoire, qui à la base est une nouvelle, est, je n'en doute pas, bien plus prenante que ce roman qui traîne en longueurs. Ceci dit, je ne compte pas m'arrêter à ce rendez-vous manqué et si Brian Deleuuw sort un nouveau livre, j'irais l'acheter. Merci à Babelio et à Super 8 Edition pour m'avoir fait connaître cet auteur qui, je le pense sincèrement, a beaucoup de potentiel.
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Les éditions Super 8 ont su me convaincre de la qualité de leur publication et ce avant la fin de leur première année d'existence : de l'audace, de l'innovation, des livres uniques ! Avec L'Innocence je suis sortie convaincue par la qualité de ce livre mais un peu mitigée par l'aspect glauque qui comble l'ensemble du roman sans que l'intrigue arrive à suivre, à nous tenir complètement en haleine.

Le roman tire sa force de cette écriture, de cette thématique, de cette ambiance. Elle saura plaire à des lecteurs, mettre mal à l'aise d'autres. Je suis entre deux pour la première fois entre deux. D'un côté j'ai aimé l'idée centrale de ce livre, créer un doute auprès du lecteur, l'enfermer dans la vision d'un seul protagoniste sans voir tout ce qui se passe autour, d'un autre côté le rythme lent et le suspens que j'ai vite élucidé ne m'a pas permis d'être pleinement satisfaite.

Vous allez découvrir des protagonistes au travers des yeux d'un seul. Un narrateur, un être vil, étrange, voire malsain. Il est en effet difficile de lire un livre lorsque l'on ne s'attache à aucun personnage : le narrateur étant rempli de noirceur, les autres personnages dépeints d'une telle manière par Daniel qu'on ne voit en eux que des êtres en demi teinte; il semble impossible de sentir une quelconque empathie. Tout semble en surface et le lecteur se laisse petit à petit plonger dans cette atmosphère oppressante, étouffante et proche de la folie.

Ainsi l'objectif de l'auteur est parfaitement rempli de ce point de vue là, vous ne risquez pas de vous sentir apaisée au cours de cette lecture, vous sentirez que quelque chose ne va pas... J'aurais aimé soit que l'auteur parte plus dans la folie, au lieu de laisser juste une ambiance glauque s'installer, soit alors partir plus dans une enquête et ouvrir la voie à un peu d'air et d'espoir.

En définitive, je dirai que cette lecture est vraiment très originale, de qualité, elle saura convaincre un certain type de lecteur et pour savoir si vous en faites parti : il faut tenter !
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La première chose qui a attiré mon attention est c'est cette couverture. Je trouve qu'elle est puissante et pleine de colère. Une colère que j'ai retrouvée dans l'histoire. Une histoire étouffante et pleinement angoissante dès le début du livre. Après les premières lignes, on va se retrouver dans une atmosphère ambiguë où plane une ombre très sombre au-dessus de la tête de Luke, ce petit garçon de 6 ans. Et ce dès qu'il rencontre Daniel, qui a le même âge que lui.

Lorsque Luke ramène Daniel chez lui, on sent bien que ceci n'est pas normal, que quelque chose d'étrange est occupé à se dérouler sous nos yeux. Mais on est loin, très loin de se douter du danger qui peu à peu va prendre la place, toute la place de Luke. Oui j'utilise les mots "toute la place de Luke", car c'est exactement ce qu'il va se passer. On est loin d'imaginer l'emprise qu'aura Daniel sur Luke.

Je ne veux pas vous en dire plus sur Daniel car ce serait enlever tout le mystère et la dangerosité sur cet enfant. Mais lorsque j'ai découvert qui Daniel était réellement j'en ai eu froid dans le dos. Insidieusement, il va s'immiscer dans l'esprit et les pensées de Luke. Malheureusement, la mère de Luke est en proie avec ses propres démons et ne sera pas d'une grande aide pour écarter le mal qui prend possession de son fils.

Ensuite, il y aura une coupure. Une coupure de douze ans et lors d'un événement particulier, Luke va ouvrir "sa porte" à nouveau à Daniel, pour son plus grand malheur. Il aura beau essayer de le maîtriser, rien ne pourra déjouer Daniel de sa mission. J'ai tout de même été saisie de la puissance psychologique de Luke lorsqu'il tentera de "combattre" Daniel. Mais, il n'a pas sa force ni sa volonté.

Une histoire particulière et que vraiment je suis ravie d'avoir découverte. Un thriller qui monte en puissance et qui vous laisse vide tellement celui-ci est angoissant et étrange. Une très belle découverte.
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Alors âgé de six ans, Luke rencontre Daniel, un garçon du même âge. Leur amitié exclusive n'est pas vue d'un bon oeil par Claire, la mère de Luke, qui va devoir se trimballer ce nouvel ami partout, mais qui n'a guère le temps de s'occuper de lui, et de son fils. Elle est dépressive, passe son temps à se morfondre, et laisse Luke en plan... Heureusement, celui-ci a trouvé un nouvel ami.

Heureusement ? Peut-être pas... Daniel semble être un enfant malsain, qui va pousser Luke à commettre des actes qu'il regrettera. Peu à peu, Luke va s'effacer, l'emprise de Daniel devenant de plus en plus importante. Des années plus tard, Daniel réapparaît. Cette fois, Luke est décidé à ne pas se laisser faire. Mais Daniel occupe toujours une place trop grande dans sa vie, et gagne du pouvoir sur lui...

Je ne peux pas vous en dire plus, sans dévoiler la clé de l'intrigue. Au début, j'ai eu du mal à comprendre qui était ce Daniel, et comment faisait-il pour opérer un tel pouvoir sur son ami. Peu à peu, j'ai compris... Même si les choses ne sont pas évidentes, d'autant plus que le narrateur du roman est Daniel.

J'ai mis quelques temps à accrocher à ce roman, que j'ai trouvé un peu étrange. Une fois que j'ai compris le rôle de Daniel et toutes ces bizarreries qui entourent le livre, la lecture s'est faite plus facilement. Il faut dire que l'intrigue est prenante et hors-du-commun. C'est un thriller dont on redoute la fin, s'attendant à quelque chose de terrible.

J'aurais nettement plus accroché au roman si j'avais apprécié les personnages, mais Daniel étant effrayant et méchant, je ne l'ai pas aimé ; Luke étant un peu bêta, soumis, et sans caractère, il ne m'a pas charmée du tout. Quant à sa mère, Claire, j'ai trouvé qu'elle était néfaste pour son fils : elle ne pense qu'à elle et passe son temps à se plaindre. D'autres personnages, comme Cassie, la demie-soeur de Luke, étaient nettement plus sympathiques. Malgré son côté malsain, c'est Daniel qui m'a le plus intriguée et intéressée.

Pour conclure, je dirais que j'ai apprécié ce roman, malgré quelques moments d'incompréhension face à l'histoire ou aux réactions des personnages, qui me ralentissaient dans ma lecture.
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Quand Luke, âgé de six ans, est abordé par Daniel, du même âge, il est en train de jouer dans une allée de Central Park à New York. Sa maman, Claire, est avec lui. Immédiatement Daniel est accepté, il accompagne ses nouveaux amis chez eux. Définitivement. Et le malaise commence : qui est ce garçon qui ne quitte jamais Luke ? Qui s'installe chez lui, jusque dans sa tête, qui supporte mal Claire, l'éditrice un brin dérangée, dont la mère s'est suicidée ? Qui lui fait la leçon et le pousse à la rébellion ?Les « amis » de Luke, Daniel et Oscar, l'habitent, le poussent à faire des choses invraisemblables. Pour cela, il est suivi (comme sa mère) par un psy qui va le libérer de Daniel jusqu'au jour où celui-ci, douze ans plus tard, réapparaît.

Malaise, angoisse, sentiment de toucher à un monde de folie obéissant à des règles d'autant plus dérangeantes que par moments elles ont l'air normales. Qui est la victime ? Luke avec ses faiblesses permanentes qui laisse entrer Daniel dans sa vie et en prendre les commandes ? Qui est le coupable ? Luke encore, qui ne se défend pas bien et finalement s'abandonne à la manipulation ?

Le récit est emmêlé comme un penser confus et douloureux , nourri de pulsions érotiques frisant l'inceste. le titre original (In this way I was saved) rend probablement mieux l'impression ressentie à la lecture que celui choisi par le traducteur. Car c'est bien à un combat pour la vie qu'on assiste.

En tous cas, un livre dérangeant, auquel on pense après avoir refermé la dernière page, avec le sentiment d'avoir laissé échapper quelque chose, avec l'envie d'y revenir. Et la couverture qui montre un tout petit oiseau serré dans un poing, le regard fixe, suscite autant d'angoisse que le livre...
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Que voilà un roman difficile à noter et à commenter. Commenter sans rien révéler de l'intrigue est compliqué...La note aussi me pose un problème, car pendant la première partie, je me suis dis: l'auteur est un génie, lisons vite la suite. Mais la 2nde partie m'a déçue, le dénouement ne révèle rien d'exceptionnel et "tombe" à plat (désolée pour le jeu de mot, ceux qui ont lu le livre comprendrons).
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Encore une fois, les éditions Super 8 ont publié, un thriller hors du commun, qui ne ressemble à aucun autre, et encore une fois nous avons affaire à un thriller psychologique qui nous retourne le cerveau en un rien de temps.

Ce qu'on pense être une belle rencontre, qui aidera Luke, enfant fragile à aller de l'avant compte tenu de sa situation familiale compliquée, va s'avérer en fin de compte destructeur. L'emprise psychologique que Daniel a sur Luke est telle qu'il lui fait faire n'importe quoi, Claire, sa mère décide de l'envoyer voir un psy et grâce à une thérapie, Luke va arriver à s'éloigner de Daniel. Mais voilà 12 ans plus tard, alors que la situation familiale de Luke ne s'est toujours pas améliorée, Daniel est de retour, toujours décidé à avoir Luke pour lui tout seul.

Bon, j'avoue qu'au début j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et à comprendre le pourquoi du comment, une preuve que l'auteur a été efficace dans la construction du récit , mais après avoir compris (en partie parce que j'ai vraiment compris le reste qu'un peu plus tard) ce qu'était réellement Daniel, j'ai été plus à l'aise dans ma lecture.

Tout au long des pages, on se fait balader, la pression est là, on voit les ravages que cause l'emprise de Daniel sur Luke mais on ne sait pas sur quel pied danser et pour cause ami imaginaire ou maladie psychiatrique, difficile de mettre les choses au clair ! En choisissant Daniel en tant que narrateur, Brian Deleeuw nous offre un récit encore plus sombre puisque c'est un personnage diabolique, malsain et plus les pages défilent plus Luke tombe dans un tourbillon de folie dont il n'est pas possible d'en réchapper.

Lorsque j'ai compris dans quelle direction l'auteur souhaitait emmener son lectorat, j'ai été surprise parce qu'au final même si j'avais des doutes, j'ai fini par me laisser porter par l'écriture entraînante de l'auteur, sans plus trop me poser de question. En arrivant à la dernière page je me suis dis "déjà???", ben oui parce que j'aurai bien continuer moi, surtout que je trouve qu'il restait encore quelques zones d'ombre à éclaircir, mais bon c'est l'jeu comme on dit !

Ravie de cette lecture que je conseille à tous ceux et toutes celles qui aiment les thrillers de qualité et surtout qui aiment se faire mener par le bout du nez.

Lien : http://benebooksblog.blogspo..
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OLNI : Objet littéraire non identifié
Rarement roman aura autant mérité cette définition car L'Innocence ne peut être catalogué ou rangé dans une case bien définie.
Ce n'est ni un thriller, ni un roman noir. Ce n'est pas de la littérature blanche, encore moins de la science-fiction. Étrange et inclassable, ce roman fait basculer dès les premières pages dans la folie profonde de ses personnages.
Impossible de parler de l'histoire elle même sans lever le voile sur cette intrigue hors du commun mais le parti pris de l'auteur d'assener la vérité dans les toutes premières pages ainsi que dans les toutes dernières est aussi perturbant que l'histoire elle-même.
D'ailleurs, où est la vérité dans ce roman ? Les certitudes sont mises à mal et là encore l'auteur défie les lois du genre ( mais quel genre?) .
Utiliser le point de vue narratif incertain est un gros risque mais le talent de Brian Deleeuw lui fait remporter ce défi haut la main et le « Je » devient comme une évidence, comme si ce roman ne pouvait être écrit que de cette manière, avec cette seule vision.
L'Innocence est donc un exploit littéraire en soi. Une sorte d'expérience menée à bien par un savant fou ne sachant peut-être pas lui même où le mènerait ses tubes à essais.
Le langage raffiné et les mots choisis soigneusement sont nonchalants, presque impavides et déplairont très certainement aux amateurs de rythme soutenu. Ce roman est une lente montée d'angoisse et de tension. Rien ne peut présager de ce final de haute voltige. Final qui laisse dubitatif, perplexe, ébahi, surpris....les adjectifs me manquent et je laisse le soin aux lecteurs que j'aurais pu convaincre de compléter la liste...

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