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1986, dans le nord-est de l'Inde. A Kalimpong, dans la région de Darjeeling sur les pentes du Kanchenjunga, la situation politique est instable : les Gorkhas, ethnie majoritaire d'origine népalaise, revendiquent la création d'un état indépendant, le Gorkhaland.

C'est dans ce contexte tendu qu'on suit les mésaventures de Sai, orpheline de 16 ans, élevée dans un couvent de religieuses avant d'être envoyée chez son grand-père, ancien juge à la retraite, un homme aigri et égoïste qui vit avec sa chienne – qu'il adore – et son cuisinier, qu'il méprise. Pendant que le cuisinier, une vraie mère-poule, à la fois fier et inquiet pour son fils Biju parti tenter sa chance aux USA, Sai tombe amoureuse de Gyan, jeune étudiant engagé pour être son précepteur de mathématiques. On suit également le triste parcours (ou absence de parcours) d'émigré clandestin de Biju à New York, qui n'a d'autre choix que de travailler et de loger dans des endroits sordides et précaires, une situation beaucoup moins glorieuse que ce qu'il laisse croire à son père.

« La perte en héritage » est un roman sur le choc entre deux cultures, l'indienne et l'occidentale, et leurs rapports de fascination/répulsion réciproques. Les trois personnages principaux tâtent ou ont tâté de l'Occident, surtout pour le pire. le grand-père, parti étudier à Cambridge du temps où l'Inde appartenait à l'Empire britannique, y a connu le racisme et n'est pas parvenu à se réintégrer à son retour au pays, se sentant étranger partout, profondément humilié. Sai, éduquée à l'occidentale chez les bonnes soeurs, découvre la réalité de son pays, qu'elle a bien du mal à comprendre, et ne rêve que de fuite. Quant à Biju, tout aussi inadapté aux USA que le grand-père de Sai l'était en Angleterre, il subit aussi le racisme ambiant, mais ne peut décemment avouer son échec et rentrer au pays sans argent ni statut social, la queue entre les jambes. Sans oublier Gyan qui, s'il n'a jamais quitté l'Inde, n'est pas moins en quête d'identité, tenté de délaisser son parcours universitaire prometteur pour s'engager dans le mouvement révolutionnaire des Ghorkas.

Aucun des personnages ne trouve sa place, chacun rêve de liberté et d'accomplissement sans avoir ou sans se donner les moyens d'atteindre cet ailleurs. On ressent beaucoup de frustrations, générées par le poids des traditions, les attentes déçues parce que fondées sur la fausse croyance que l'Occident est un Eldorado garanti.

Migration, inégalités sociales, racisme, conséquences du colonialisme, de l'indépendance et de la partition de l'Inde, nationalismes, il y a un peu de tout cela dans ce roman dont les chapitres alternent entre les personnages et les époques. Cela se lit avec une certaine fluidité mais aussi un certain ennui : il n'y a pas grand-chose qui rende les personnages sympathiques, tous dépressifs, déprimants, coincés dans leurs solitudes et leurs vies étriquées de façon plus ou moins irrémédiable. Quand aux événements politiques, l'auteure a présupposé qu'ils étaient connus du lecteur. En ce qui me concerne, j'ai dû faire des recherches pour comprendre de quoi il retournait précisément.

Sur le thème de la quête d'identité et de dignité, entre drame et dérision, un roman réaliste qui dépeint un portrait plutôt sombre de l'Inde de la fin du 20ème siècle.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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«  L'Inde est un navire en perdition » .

Comment évoquer ce roman de la littérature indienne qui explore les problèmes de la modernité , complexe et singulier?
Nous sommes en1986, la situation politique est trouble.
Sai, à seize ans , a perdu ses parents MR et Mme Mistry , lui, pilote de l'armée de l'air ,soviétique, elle , étudiante hindoue, écrasés par un bus.

Cette fille , qui , jusque là a passé plusieurs années sous la férule de bonnes soeurs , se retrouve accueillie chez son grand- père, Jemu Popathal, né en 1919, fils de paysans, juge à la retraite, misanthrope , préoccupé seulement de lui- même et de sa chienne Mutt.

Au début du roman, qui se situe à Cho Oyu, dans la région de Kalimpong, envahie par d'épaisses nappes de brouillard , c'est le début de l'insurrection des Népalais contre les Indiens , une minorité.

Sai attend la venue de son précepteur de mathématiques , Oyan , dont elle est tombée éperdument amoureuse: elle vit les enchantements et les désillusions du premier amour.

Mais à la place de Goyan, ce sont des voyous népalais en blouson noir qui arrivent à l'improviste , menaçants : Sai est pétrifiée , tout peut arriver, ils volent les fusils de chasse du juge.. sous l'oeil hagard du cuisinier de celui- ci qu'ils tirent sans ménagements de sous la table de la salle à manger où il s'était dissimulé.

Le juge, à l'excellente réputation après ses études en Angleterre se voit profondément bafoué, humilié.

La police contactée lui rit au nez.

De son côté Sai ,se soucie du retard de Goyan , mais le jeune homme glaçant, sitôt arrivé lui reproche son éducation non - indienne .
Pendant ce temps , le cuisinier du grand- père, ne cesse de penser à son fils Biju, attiré irrésistiblement par le mythe américain qui s'est expatrié à New- YORk..
Il rame de petits boulots en petits boulots , aimerait recevoir la carte verte pour enfin rentrer au pays et ne pas subir la honte des siens.
Son père , ignorant les faits ,l'abreuve de lettres de sollicitations afin de venir en aide à chaque nouvel émigré indien , il ne se doute pas de la précarité et des soucis récurrents que vit le jeune homme.
Sa quête d'identité passe par le dépouillement et la solitude.
Les chapitres bien construits alternent entre la vie de la communauté de la petite ville de Cho Oyu et les graves difficultés d'adaptation de Biju à New- YOrk.
C'est un ouvrage paradoxal, très bien écrit , où chaque personnage , chacun à sa manière rêve d'un ailleurs , inaccessible , pour mieux masquer la rage et la frustration d'avoir été déçus par la société occidentale .
Les protagonistes soit aigris, soit désoeuvrés, revivent leur passé comme le juge, notamment .....
La souffrance, la déception , les conflits culturels,même anciens sont partout.
Ce livre provoque doute et incompréhension : un mélange subtil, de politique , cynisme , humour et triste réalité de la comédie de la vie.

Une lecture forte et troublante où l'on découvre la perte d'identité, les blessures du passé, l'expatriation , les conséquences de l'indépendance,les inégalités entre riches et pauvres, et surtout , surtout , la Corruption généralisée !
On oscille entre drame , dérision, histoire collective et individuelle, attraction mutuelle, choc des cultures, rigidité , traditions, enthousiasme et terribles contradictions .
Aux yeux des indiens l'occident apparaît semblable à un pays de cocagne , fascinant et riche de promesses.

Une réalité très différente attend ceux qui franchissent les océans .
Un roman un peu désespérant , je trouve ,par l'attitude des protagonistes prenant tous ou presque la position de victimes.
Contrairement aux autres Ouvrages lus à propos de ce continent il donne une idée assez sombre de l'Inde .
J'aime beaucoup la littérature indienne .
Mais je n'ai pas encore lu «  Le-Gourou sur la branche» premier roman de l'auteure .
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Après être devenue orpheline, Sai était contrainte d'habiter avec son grand-père maternel qu'elle n'avait jamais rencontré. Il a été juge et habite Kalimpong, dans les régions montagneuses himalayennes, en compagnie de sa chienne adorée Mutt et de son fidèle cuisinier. Afin que Sai continue sa scolarité, le juge engagea une préceptrice, Noni, une vielle fille qui vit avec sa soeur, Lola qui est veuve. Mais les compétences en mathématiques et en physique de Noni deviennent très rapidement limité et c'est un étudiant en comptabilité, Gyan, qui deviendra le professeur particulier à Sai quelques heures par semaine. Entre les deux jeunes gens, un lien particulier naîtra, mais Gyan a du sang népalais et la région est touché par le mouvement des Gorkhas qui réclament l'Indépendance de cet État. Gyan est uni par le sang à ce mouvement, il subit les injustices faites à sa communauté et il devra faire un choix. de son côté, Kalimbong va plonger dans une période très sombre, où chaque habitant aura peur du lendemain.
En Amérique, Biju est le fils du cuisinier du juge. Il ne possède pas la carte verte et donc il est un sans-papier parmi tant d'autres dans ce pays considérées par de nombreux migrants comme être un eldorado et qui s'avèrent en réalité une société injuste où ils sont exploités. Biju travaille dans des restaurants où il est payé une misère qui lui permet à peine de louer une petite pièce dans une cave et qui ne lui permet pas d'économiser des sous. L'Inde lui manque.

"La Perte en héritage" est un roman très fort et dur. Malheureusement, la quatrième de couverture ne prépare pas le futur lecteur à ce qu'il risque de découvrir au fil des pages et ce dernier se retrouve déçu. Il est effectivement assez complexe en surface mais en grattant un peu on retrouve ce qui lui confère sa notoriété et ses prix attribués. Ce roman nous fait découvrir une région connu pour son thé (le Darjeeling) mais il n'en ai pas question. On découvre son autre facette, celles des conflits qui y règnent, car c'est une région avec de nombreuses frontières, un petit bout de l'Inde accroché de manière précaire et qui compte une population avec de nombreuses origines. "La Perte en héritage" nous fait voyager à travers l'histoire, la post-indépendance et les conséquences de l'Indépendance. A travers les lignes on découvre la perte d'identité, la recherche de soit, les blessures du passé, l'expatriation, le multiculturalisme, les inégalités entre riches et pauvres et selon les origines ethniques, la migration, la mondialisation, ... le roman nous renvoie du présent au passé et du passé au présent. Une très belle lecture mais très troublante.
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Toujours fascinée par la politique éditoriale des éditions Les Deux Terres, j'ai été déçue par ce livre qui m'est tombé des mains plusieurs fois, les personnages y manquent de relief, ils apparaissent froids et j'avoue m'être beaucoup ennuyée à chaque nouvelle tentative... Déception...
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Roman indien qui se déroule à Kalimpong, près de Darjeeling, au Bengale occidental, tout en haut à droite de la carte. Ce livre est assez désespérant, les personnages ayant tous des attitudes de victimes.

L'histoire se déroule autour de Sai, jeune fille qui a été recueillie par son grand-père. Celui-ci est un ancien juge qui vit dans une belle propriété et ils cotoient un monde d'anciens riches. Ils ont un vieux cuisinier à leur service dont le fils est en Amérique. Nous avons trois histoires qui se croisent : les souvenirs du juge, qui a perdu et renié sa culture en allant se former en Angleterre ; la vie d'immigrant illégal à New-York de Biju, le fils du cuisinier qui n'arrivera pas à s'y adapter et les premiers émois de Sai qui devient amoureuse de son répétiteur de maths. Cette idylle est perturbée car le jeune homme est d'origine népalaise et se trouve pris dans un mouvement d'indépendance et une révolution où les insurgés se transforment en bandits.

Ce livre peut aussi se lire comme une recherche de l'identité, il donne une image assez sombre de l'Inde et ne donne pas du tout envie de jouer les touristes dans ce coin.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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L'histoire se déroule dans le nord de l'Inde, au pied de l'Himalaya, aux confins du Népal, du Bhoutan et du Bangladesh. Dans les années 1980 cette région est agitée de violences politiques quand la population d'origine népalaise demande l'indépendance. Dans ce paysage splendide vit Sai, une jeune fille de 16 ans. Orpheline jeune elle a été recueillie par son grand-père. Elle tombe amoureuse de Gyan, son professeur de physique, un étudiant de 20 ans d'origine népalaise. Il est tenté par la lutte nationaliste mais en voit aussi les limites.

Le grand-père de Sai est un juge à la retraite de l'Indian Civil Service (l'administration britannique de l'Inde colonisée). Il a fait ses études en Grande-Bretagne et en est revenu plein de mépris pour sa famille aux origines modestes. Sa haine s'est déchaînée contre son épouse, une jeune fille élevée de manière traditionnelle. Devenu vieux, le seul être vivant qu'il aime est sa chienne Mutt. Avec eux vit le cuisinier dont le fils Biju a émigré clandestinement aux Etats-Unis. Pour un salaire de misère Biju trime toute la journée dans les cuisines en sous-sol de restaurants crasseux.

Autour de ces personnages principaux on croise aussi de nombreux personnages secondaires : Lola et Noni, deux soeurs anglophiles; le père Booty, un prêtre suisse qui a monté un élevage laitier et l'oncle Potty, son ami, vieil homosexuel alcoolique.

Tous les personnages sont partagés, de façon plus ou moins bien réussie, entre la culture indienne et leur fascination pour l'occident. Kiran Desai aborde aussi la question du gouffre qui sépare les classes aisées des plus démunis.

Enfin, c'est un livre qui est très bien écrit (et je crois aussi très bien traduit) avec souvent une note d'humour. Il y a de belles descriptions avec des comparaisons bien trouvées :

"Puis, en un éclair, la tempête fut sur eux. Un vent de panique commença à faire claquer les grandes oreilles des bananiers, qui étaient toujours les premiers à sonner l'alarme. Les mâts des bambous, précipités les uns contre les autres, s'entrechoquaient dans un cliquetis d'art martial très ancien.
Dans la cuisine, le calendrier des dieux du cuisinier se mit à s'agiter contre le mur comme s'il était animé, pléthore de bras, de jambes, de têtes démoniaques, d'yeux flamboyants."
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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Dans une Inde paralysée par la corruption généralisée et la superstition, où l'incompétence le dispute à l'incurie la plus crasse, où la police se distingue plus par ses bavures que par le maintien de l'ordre publique, ils sont nombreux les candidats au départ. Aux yeux des indiens, l'occident est un pays de cocagne, étrange par ses moeurs, riche de promesses, fascinant . Pourtant pour les quelques chanceux qui ont traversée les océans, une réalité toute différente les attend. C'est d'abord la précarité permanente attachée à leur condition de clandestin, l'exploitation de leur force de travail par des compatriotes sans scrupule, et comme perspective angoissante, le retour au pays, synonyme d'humiliation.


La perte en héritage illustre avec maestria ce choc des cultures, l'attraction mutuelle non exempte de préjugés . Les épisodes situés au nord de l'Inde, à la frontière indo-népalaise, où des tensions issus des velléité d'autonomie sont monnaie courante, alternent judicieusement avec les passages se déroulant à New-York, où l'on suit le combat journalier d'un immigrant indien pour sa dignité. le tout est étoffé à souhait par le recours à l'analepse, traçant de nouvelles perspectives, éclaircissant certains points, étoffant la narration. A conseiller vivement.
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Le décor est tout de suite posé, les brumes et l'humidité des contreforts de l'Himalaya, qui semblent plus agréables entre les pages d'un livre qu'en réalité, d'ailleurs ! La situation politique, troublée en cette année 1986, est évoquée aussi dès les premières pages, qui voient apparaître les différents personnages : Sai, jeune fille de seize ans recueillie, à la mort de ses parents qu'elle a peu connus, par son grand-père, vieil homme misanthrope qui préfère la compagnie de sa chienne Mutt. Ils sont servis par un cuisinier ou homme à tout faire vivant dans une pauvre cahute au fond de leur propriété. Ce cuisinier se languit des courtes lettres qu'il reçoit de son fils Biju, immigré clandestin aux Etats-Unis. Quant à Sai, elle reçoit des cours particuliers de Gyan, jeune homme dont elle devient très proche… Par une succession de tableaux assez courts, leurs histoires communes ou individuelles se dessinent.
Les chapitres alternent entre la vie de la communauté de la petite ville de Kalimpong et la solitude et les difficultés d'adaptation de Biju à New York. L'ambivalence est ressentie par les personnages, que ce soit en Inde ou aux Etats-Unis, entre l'envie de s'occidentaliser et une sorte de dégoût pour ceux qui renient leurs origines, même si les manières d'approcher la civilisation occidentale sont nombreuses, ce que le lecteur découvre au fur et à mesure que le roman se déroule.
Ce roman qui oscille entre drame et dérision, entre histoire collective et histoire individuelle, se lit très aisément tout en posant des questions intéressantes : une lecture qui peut convenir tant aux amoureux de l'Inde qu'à ceux qui souhaitent une première approche de cette littérature.
Lien : http://lettres-expres.over-b..
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Le début du livre plante le décor, les sommets du Kangchenjunga rosis par le soleil levant, agréable souvenir, depuis la ville de Kalimpong et sa vue sur l'Himalaya. Cela fait oublier Darjeeling, sans doute une ville les plus moches de l'Inde, les Indiens ont réussi à saccager le cadre magnifique avec leurs constructions en vrac, les fils électriques en vrac, les tuyaux d'eau en vrac par terre, on en rigole, au début. Ensuite, ensuite… La tartine de lieux communs sur la vie dans les patelins indiens, puis les non moins banales descriptions des situations pas très rigolotes, scoop, des expats venus chercher du boulot aux USA et ailleurs sur la planète, dans la restauration par exemple, on y retrouve les Pakis et autres Asiatiques… Pour le lecteur français, pas la peine d'aller si loin, les restaus du quartier latin ! Et des dizaines de pages sur le choc des cultures, tiens-donc, il existerait ? Aucune interrogation sur le pourquoi de cette nécessité de l'émigration. Une fois encore les petit-bourgeois multi-cul bien pensants se sont livrés à leur chère séance d'auto-flagellation en accordant un prix à ce bouquin, honorable certes, mais d'une banalité aseptisée. On pourrait leur conseiller des établissements dédiés ! Un conseil toutefois, faire lire cette prose aux hordes qui nous envahissent… pour leur bien, évidemment.
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J'ai eu un peu de mal à accrocher, mais je l'ai quand même lu en quelques jours. le style un peu décousu m'a un peu dérangé ; et j'ai survole plusieurs de ses descriptions. Néanmoins, le livre nous offre une image assez vivante de l'Inde et de la vie qu'on n'y a mené dans certaines régions à cette époque du XXème siècle.
La fin m'a beaucoup déçue.
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