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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Tout d'abord, gros merci aux éditions J.C. Lattès (Le Masque) et #NetGalley.fr pour m'avoir permis de retrouver avec grand plaisir ces personnages découverts dans le premier tome de Daria Desombre: " Tous les péchés sont capitaux".
J'ai retrouvé avec joie Andreï Yakovlev capiptaine à la police moscovite -La Petrovka- et Macha Karavaï - stagiaire spécialiste des meurtriers en série - à cette même police.
Macha se sort difficilement des conséquences de sa première enquête avec Andreï et vit presque cloitrée chez elle. Andreï ne fait ni une ni deux et décide, malgré tout, de lui parler de sa nouvelles affaire de jeunes femmes que l'on retrouve étranglées et disposées comme dans un tableau d'Ingres, mais surtout, couvertes d'un dessin d'Ingres. Un vrai? Un faux? L'intérêt est suscité et Macha accepte de retravailler et c'est sans parler de l'ennui qu'ils avaient éprouvé à ne plus travailler ensemble.
"Les disparues du tableau" , récit policier conventionnel mais qui se déroule dans une Moscou moderne, vivante, contemporaine, dans les musées et les grandes académies et c'est très instructif. Une histoire de disparues, de dessins volés avec des personnages au caractère bien trempé ce qui nous donne un moment de lecture plaisant. Des chapitres courts, dynamiques où les policiers, les victimes et le meurtrier prennent la parole. Une narration éveillée, intelligente, documentée et je suis certaine que je continuerai à avoir beaucoup de plaisir à retrouver ces personnages. Encore merci à #NetGalley.fr et aux éditions J.C.Lattès (Le Masque).
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Russie, un tueur en série enlève des jeunes filles pendant plusieurs semaines avant de les ramener chez elles, mortes. Sur leur cadavre, une esquisse.
Macha, stagiaire, est étudiante en droit. Elle travaille avec Andrei son supérieur avec lequel elle entretien une relation spéciale... Elle découvre le lien avec le peintre Ingres et enquête sur le vol des dessins. C'est ainsi qu'elle pourra découvrir le meurtrier.
En parallèle, on suit les séances de pose avec le tueur et ses victimes.
Un roman qui mêle découverte artistique et enquête. L'évolution et la construction de l'enquête sont bien menés. L'alternance de chapitre courts permet de dynamiser la lecture. L'auteure nous fait passer d'un personnage à l'autre, ce qui nous permet d'avoir une vision chorale de l'enquête.
Merci aux éditions le Masque et à Netgalley pour ce titre.
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Chouette, j'allais à nouveau partir enquêter en Russie !

Non pas que j'ai de l'affection pour ses dirigeants, mais j'ai toujours eu un gros faible pour le pays et le duo d'enquêteurs que sont la jeune Macha Karavaï et son chef Andreï Yakovlev, me plaisent énormément.

L'avantage, avec cette auteure, c'est que les crimes ne sont jamais banals ! Sherlock Holmes aurait apprécié de se trouver face à pareil criminel qui élèvent le crime au rang d'art.

Les victimes n'apprécieront pas, bien entendu, la police va piétiner, s'arracher les cheveux et pour remonter la piste artistique du tueur en série, va falloir avoir de la culture (ben oui, elle est essentielle tout le temps) en peinture et notamment pour le célèbre peintre qui a laissé son nom dans une expression où on lui accole le mot "violon".

La France a (« avait », merde l'adresse a changé) le 36, quai des Orfèvres et la Russie possède le 38, rue Petrovka.

Malgré mon inculture en peinture, je n'ai jamais perdu pied dans ce roman qui allie le rythme, le suspense et bien des mystères quant à l'identité du tueur des jeunes filles et son mobile.

Comme un tableau, au départ, on ne verra que des taches de couleurs qui ne semblent rien vouloir dire, mais au fur et à mesure que l'auteure trempe sa plume dans la palette et l'étale sur la toile de son roman, le tout commence à prendre forme et c'est avec un grand plaisir que j'ai remonté la piste, aux côtés de Macha et Andreï.

Nos deux personnages sont toujours aussi tintés de réalisme, car comme nous ils ont peu, ils doutent, craignent que leur histoire d'amour n'aille pas plus loin, éprouvent de la jalousie… Leur histoire d'amour évite l'écueil de la guimauve et heureusement : je déteste les trucs mièvres.

Afin de mieux comprendre de quoi il était question en peinture, j'ai demandé à Google de me faire apparaître les toiles du maître, puisqu'il n'était pas question que je puisse aller les admirer au musée de Montauban ou à Saint-Pétersbourg, au musée de l'Ermitage. Cela permet de mieux comprendre la teneur du tableau et des motivations du criminel.

Si l'enquête était bien réalisée, ne manquait pas de suspense et de mystère, si le duo d'enquêteurs était toujours au top, que l'assassin avait de l'épaisseur, du talent, qu'il était "intelligent", que le scénario de l'enquête était instructif en ce qui concerne l'art, l'auteure n'a pas oublié de parler de son pays et de ceux qui souffrent, pendant que d'autres baignent dans le fric.

Ce n'est pas écrit noir sur blanc, c'est plus subtil que ça, mais si on lit entre les lignes, on est tout à fait capable de comprendre que tout le monde ne mange pas des sandwichs au foie gras en buvant du champagne, que tout le monde n'a pas les moyens de faire des études et que la classe moyenne n'a plus les moyens qu'elle avait avant.

Ce roman policier se laisse lire tout seul, avec addiction puisque l'on veut en savoir plus sur le meurtrier, ses mobiles. Les chapitres qui lui sont consacrés permettent de découvrir son enfance, de comprendre la genèse de son mal (pas de l'excuser), ses pensées…

Lorsque c'est bien fait, les changements de narrateurs donnent une autre épaisseur à un récit et c'est plus appréciable que le narrateur omniscient. Une fois de plus, l'auteure a réussi à le faire de manière intelligente en se mettant dans la tête des trois personnages principaux (même 4 puisqu'on a un passage avec une victime).

Une lecture que je conseille aux amateurs de romans policiers et qui souhaitent lire autre chose que leur came habituelle, de se dépayser et de se frotter à un tueur qui n'a rien d'un colonel Moutarde avec le chandelier dans la bibliothèque.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Les disparues du tableau Daria Desombre J.C Lattès.

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé Andreï Yakovlev, capitaine à la Petrovka et sa stagiaire Macha Karavaï. Pour sortir Macha de la dépression profonde où elle a plongé suite à la résolution de l'affaire évoquée dans Tous les pêchés sont capitaux, Andreï lui demande son aide pour élucider une série de meurtres, de toutes jeunes femmes portées disparues sont retrouvées mortes, étranglées et sur leurs cadavres le tueur a déposé des esquisses d'Ingres..
Cette enquête va nous mener de Moscou à Montauban, en passant par les musées prestigieux de Moscou .
Daria Desombre sait captiver son lecteur, le découpage de l'intrigue est très visuel, les personnages sont habilement croqués, nos deux enquêteurs professionnels et amoureux.
Un roman qui se lit d'une traite, passionnant et instructif et nous offre une immersion dans l'univers pictural d' Ingres...
La qualité de la traduction de Julia Chardavoine est un plus appréciable et apprécié.
Une lecture qui ne peut que combler les amateurs d'enquêtes policières . Un grand merci aux éditions J.C Lattès pour ce partage.
#LesDisparuesdutableau #NetGalleyFrance
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Des jeunes filles russes, sans histoire, sont retrouvées assassinées. Un seul indice : près de leurs corps une esquisse du peintre Ingres. L'enquête nous amène donc dans les coulisses du monde de l'art, de la création. Les enquêteurs devront affronter un tueur artiste.

Un polar mené avec rythme, on voyage de Moscou à Paris. J'ai bien aimé l'ambiance, le jeu de chat et de souris entre l'assassin et les policiers. Je découvre avec intérêt ce duo d'enquêteurs qui renouvèle le genre.
Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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Dommage que la couverture du livre ne soit pas le tableau : "Le Bain turc" de Ingres. Ou qu'on ne trouve pas l'illustration à l'intérieur.
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Bizarrement, autant je regarde énormément de séries policières à la télé, autant je ne lis presque jamais de romans, allez savoir pourquoi. Ici, j'ai eu l'occasion de gagner un roman policier grâce à Masse Critique, merci ! le sujet m'intriguait parce que j'aime davantage quand les intrigues se mêlent au domaine de l'Art. En plus, Ingres, ce n'est pas si courant ! Ce peintre a été un peu oublié... Ce roman était chouette mais pour moi il y avait deux petits défauts qui l'ont empêché d'être parfait : d'abord, j'ai compris en cours de lecture que c'était une suite : du coup, les deux personnages principaux n'étaient pas assez développés et décrits pour que je m'attache vraiment à eux. Je pense que cette information aurait dû figurer quelque part sur la première ou quatrième de couverture, parce que maintenant j'ai envie de lire le premier mais je n'aime pas lire dans le désordre grrrr.
Et ensuite, ce qui fonctionne très bien en série télé m'a laissée ici un peu sur ma faim : dans un roman, j'aime bien que ce soit un peu plus développé ! le rythme est rapide mais un peu trop, il y a des pans entiers de l'histoire qui sont passés sous ellipse mais que j'aurais bien aimé avoir, par exemple la vie du tueur entre son adolescence et la fin, pourquoi il s'est intéressé à Ingres particulièrement et pourquoi il a copié ce tableau de maître hollandais, la façon dont les victimes ressentent leur enlèvement, leur relation avec le tueur... Avec un roman, on a le temps de se poser plein de questions et de revenir en arrière sur l'histoire :)
En conclusion, ça ferait un très bon épisode de série télé, mais c'est trop superficiel pour un roman !
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J'ai choisi ce titre parmi d'autres lors de ma sélection pour le dernier masse critique « Mauvais genre » de chez Babélio. J'ai été attirée par cette intrigue mêlant les arts et la ville de Moscou. Et j'ai fait une très bonne pioche… même si en réalité cet opus se trouve être le deuxième volet d'une série. Rien de gênant cependant, et je me suis empressée de mettre dans mon panier de librairie le premier volet qui est sorti en format poche au printemps : Tous les pêchés sont capitaux. Macha Karavaï, jeune stagiaire à la police de Moscou, reste traumatisée, dans ce deuxième volet, par sa précédente enquête, dans laquelle elle a découvert l'identité de l'assassin de son père. Andreï, son collègue et amoureux, devine qu'une seconde enquête pourrait la faire sortir de sa torpeur, et de chez elle, malgré l'avis de sa mère. Justement, un tueur en série semble sévir de nouveau dans Moscou. Des cadavres de jeunes filles sont retrouvés dans leur lit, peu de temps après leur disparition, un dessin authentique d'Ingres dans leurs mains. Que cela signifie-t-il ? Macha, férue d'art, se passionne en effet pour cette nouvelle série de meurtres et remarque assez rapidement que les jeunes filles, d'apparence ordinaire, ont toutes des ressemblances avec les femmes du Bain turc, le célèbre tableau de Jean-Auguste-Dominique Ingres conservé au musée du Louvre à Paris. Et tandis que des expertises mettent au jour des faux un peu partout, que l'enquête prend des dimensions internationales, un copieur de génie enlève des jeunes filles pour les peindre et les tuer… Je suis ressortie de cette lecture haletante enchantée. Les personnages, inventés par Daria Desombre ont en effet une belle densité, et l'enquête est assez sophistiquée et prenante pour être addictive. J'ai aimé aussi rentrer avec les enquêteurs dans les musées, dans des ateliers, fureter dans des archives. La vie personnelle de Macha et d'Andreï se mêle bien sûr à l'enquête mais elle est là plus pour servir l'intrigue que pour l'en éloigner. Un policier qui n'a rien d'original dans sa forme mais qui est plutôt brillant et rempli bien sa fonction de nous faire battre le coeur un peu plus vite.
Lien : https://leslecturesdantigone..
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Un plaisir de retrouver Macha, cette jeune femme, stagiaire à la Petrovka, obnubilée par les tueurs en série depuis la mort de son père. En dépression depuis sa précédente aventure, rien de tel qu'une nouvelle chasse au tueur pour la remettre en selle !

Des jeunes filles étranglées, placées dans des postures allongées, une esquisse de Dominique Ingres à leurs côtés. Voilà de quoi s'interroger et partir sur la piste d'un tueur qui s'avérera redoutable...

Au travers de chapitres dédiés aux différents personnages, tu découvres au fur et à mesure l'avancement de la police ainsi que la voix et l'histoire du tueur. Une structure, certes, standard et classique mais toujours fort intéressante.

De Moscou à Montauban, l'auteure te plonge dans l'art et plus particulièrement dans les oeuvres de Dominique Ingres. Un récit qui a fait écho à l'excellent "L'art du meurtre" de Chrystel Duchamp. Dans l'un comme dans l'autre, l'art prend la forme la plus terrifiante et dépeint un artiste qui sous l'égide de la beauté n'a plus aucune limite. C'est clairement ce que j'ai le plus apprécié dans cette aventure diablement bien menée.

Un récit où les cadavres tombent comme les flocons de neige sur Moscou, un style efficace, des descriptifs médico-légaux particulièrement bien maîtrisés sans qu'ils soient étalés de manière inutile juste pour en rajouter et la découverte d'une culture différente apportent à cette histoire tous les éléments nécessaires  🙂

Il n'est pas capital d'avoir lu le premier tome "tous les péchés sont capitaux" pour découvrir cette nouvelle aventure, mais comme toujours, il est mieux et plus subtil de suivre les différents personnages depuis le début.

Un très bon moment de lecture pour ma part que je ne peux que te recommander 🙂
Lien : https://sangpages.com/2020/0..
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Je suis ravie de retrouver Moscou, et ici le musée Pouchkine, dans l'univers de Daria Desombre ainsi que ses deux protagonistes, le rustre Andreï Yakovlev, le capitaine de en compagnie de la jeune stagiaire Maria Karavaï, désormais sa compagne à la vie comme à la Petrovka. J'avais apprécié le tome précédent, lequel nous plongeait au milieu des Vieux-Croyants, j'ai autant aimé ce volume-ci.

Nous retrouvons les deux moscovites quelques semaines après la fin de leur première enquête ensemble, qui a laissé la jeune femme totalement éteinte, à la limite de la dépression. Cette fois-ci, nous pénétrons la sphère artistique avec un tueur aux velléités picturales, enfin peu de délicatesse et de beauté, serait-on tenté de se dire. Mais n'allons pas trop vite. En revanche, on y retrouve un peu d'exotisme pour le lectorat russe pour qui le mot bouillabaisse sonne comme un borborygme infâme plutôt qu'une soupe délicieuse, comme l'oukha en serait un à nos yeux. C'est plutôt plaisant d'avoir agrémenté l'intrigue d'un arrière-plan artistique même si le premier plan, celui de la torture et de la mort, reste assez sinistre, j'en conviens. Je connais peu Ingres et son oeuvre, mais d'avoir recours à un peintre français, « physiquement » assez peu présent en Russie (les tableaux du maître présents dans le pays se comptent sur les doigts d'une mains: La Vierge à l'hostie au musée Pouchkine, un deuxième le comte Nikolaï Dmitrievitch Gouriev, 1821 se trouve à l'Ermitage, à Saint-Pétersbourg et un dernier en collection privée, si l'on en croit Daria Desombre), permet d'ébaucher une esquisse de lien avec ses lecteurs français.

Contrairement au tome précédent, l'auteure russe élargit l'horizon de ses deux enquêteurs et place le domaine d'investigation au niveau binational. Entre Moscou, son musée Pouchkine, Montauban, son musée Ingres et Paris, Ingres et ses filles, peintes, esquissées, crayonnées à la sanguine, au fusain restent le fil conducteur d'une enquête à deux mains, réunissant la France et la Russie, unies par une affectation et animosité particulières depuis bien longtemps, malgré un Napoléon 1er, malgré un pacte de Varsovie, malgré la Crimée. On apprécie cette vision élargie de la jeune auteure russe d'autant que Daria Desombre n'oublie surtout pas, encore une fois, d'ausculter et dépeindre la population moscovite, de relever l'indigence d'une population appauvrie, qui a bien du mal à s'extirper de la morosité du quotidien. de montrer l'insignifiance, le mépris et la fatuité de ces quelques privilégiés, qui étanchent leur soif en sirotant du champagne tout en se gavant de sandwichs au foie gras. Et enfin, cette classe moyenne qui fait la jonction entre les deux mondes mais qui manque de consistance. le capitaine et son manque de culture sont peut-être quelque fois risibles mais Daria Desombre leur pardonne bien volontiers face à ces falots prétentieux, incapables de profiter de quoi que ce soit.

La narration est découpée entre différents points de vue, on passe d'Andreï à Maria, du meurtrier à sa victime, ou même du capitaine russe à notre commissaire parisien Perrin, ce qui donne mouvement et action au roman. C'est d'ailleurs sur ce point notable qu'innove le roman de Daria Desombre. Cette alternance incessante de points de vue donne vie à une enquête somme toute classique, si ce n'est le modus operandi de cet obscur assassin bohème. Parce que le motif pictural donne un peu de relief et de couleurs à l'enquête, on vogue entre classicisme français à la peinture de genre hollandaise au fameux musée Pouckhine et à travers ce faussaire, ce meurtrier, un génie de la peinture, et du crime, qui malgré tout son talent reste un marginal du monde de l'art et de la vie. C'est ce qui m'a d'ailleurs attiré dans ce roman moscovite. Dommage que le personnage de Macha soit un peu lisse, et que le couple qu'elle forme avec Andreï un brin convenu.

En dehors de cela, c'est un roman addictif grâce notamment à une auteure qui a su créer, dans son écriture, un clair-obscur unique, celui des pulsions à la fois créatives et meurtrières, de l'assassin. Quelques moments piquants et cocasses, et d'autodérision, notamment celui de l'entretien du capitaine russe et du commissaire français, aussi peu doués en anglais l'un que l'autre. Un régal! En dehors de ce cela, un point me tracasse: pourquoi la traductrice utilise le mot contrefacteur, et non pas faussaire. Après une petite recherche, pour moi-même, il m'est alors apparu qu'un contre-facteur « reproduit une oeuvre existante » alors que le faussaire « ne fait » que reproduire le style de l'artiste. Merci, Prodezarts.com

J'ai passé un moment tout à fait agréable, en vacances loin de la France, juste à mi-chemin de Moscou et de Paris, en compagnie de ce roman, de Macha, d'André et d'Ingres. Il me semble que Daria Desombre annonce par ailleurs un troisième tome, Andreï le capitaine de police reste un personnage à exploiter. J'attends ainsi de voir où la mènera de nouveau son inspiration.










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