"quand on affirme que la prostitution est une violence faite aux femmes, on veut nous faire oublier que c'est le mariage qui est une violence faite aux femmes... La sexualité masculine en elle-même ne constitue pas une violence sur les femmes, si elles sont consentantes et bien rémunérées. C'est le contrôle exercé sur nous qui est violent, cette faculté de décider à notre place ce qui est digne de ce qui ne l'est pas."
Ceux qui s'offusquent s'il s'agit d'interdire une caricature religieuse, "Nous ne sommes plus au Moyen Âge, c'est un comble", n'ont plus les idées aussi claires, s'il s'agit de clitoris et de couilles. Étonnant paradoxes du porno.
Je ne veux pas fuir le conflit pour ne pas dévoiler ma force et risquer de perdre ma féminité.