Les Jumeaux de Piolenc

Septembre 1989, Solène et Raphaël, deux jumeaux de 11 ans, disparaissent lors de la fête de l'ail à Piolenc.

Novembre 1989, le corps de la petite Solène est retrouvé dans un cimetière non loin du lieu de la disparition.

Juin 2018, Nadia Vernois, 11 ans, a été vue pour la dernière fois devant son école à Piolenc, la même que celle des jumeaux. Depuis elle est introuvable.

D'abord soupçonné de vouloir relancer l'affaire des Jumeaux à un mois de sa prescription, Victor Lessage, le père de Solène et Raphaël, est progressivement impliqué dans l'enquête menée par le capitaine Julien Fabregas, accompagné de Jean Wimez, l'ancien capitaine à la retraite qui a passé de nombreuses années à travailler sur la disparition des jumeaux, sans pouvoir dénouer cette affaire.

Celui-ci a construit des relations très proches avec Victor Lessage et il ne peut se résoudre à laisser complètement cette nouvelle enquête à Fabregas alors que les événements sont si troublants.

L'enlèvement de Nadia est-il vraiment en lien avec la disparition des jumeaux presque trente ans plus tôt ?

Ils vont peut-être enfin en savoir d'avantage, avec l'aide du Docteur Florent, la pédopsychiatre dépêchée d'Avignon, car Nadia vient d'être retrouvée, habillée comme Solène le jour de sa mort et qu'elle a un message pour Victor...

A mon avis :
Les premières pages de ce roman évoquent à toute vitesse l'enlèvement des jumeaux dès 1989, puis les quelques événements clés jusqu'en 2018. C'est parfait, ça va vite, on ne s'attarde pas sur les détails et on se débarrasse rapidement du passé pour entrer directement dans le présent.

Alors ça part plutôt bien.

Et puis, tout aussi rapidement, on s'aperçoit que le scénario s'enlise.
Des défauts apparaissent : trop de personnages, des situations improbables, une histoire tirée par les cheveux... ça jongle avec les prénoms, on ne sait plus très bien où on en est ; faut revenir en arrière pour vérifier qui est qui...
On a de plus en plus de mal à rester accroché.

On aurait pu se contenter de ça et finalement aller jusqu'au bout en se disant que malgré ces défauts on passe quand même un bon moment... mais voilà qu'un rebondissement sur un personnage (évidemment je ne peux pas en dire trop...) vient nous achever par son improbabilité ! Faut quand même pas pousser mémé dans les orties !

Et pour couronner le tout, les événements sont surjoués à la façon d'un orgasme simulé, "ah là là, ça pourrait être super graaaave tout ça !!!!!!!!!" alors qu'il n'y a rien de transcendant.

Bref, un roman qui avait quand même du potentiel, mais qui est tombé dans la facilité d'un scénario alambiqué et peu crédible.


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Roman invraisemblable, j'entends par là que jamais l'auteur n'est parvenue à me faire croire ni à Piolenc, ni à ses habitants, encore moins à ses jumeaux. Alors que je suis fermement persuadée que tous les personnages de Vargas existent bel et bien, ceux de Destombes s'agitent mollement mais ne risquent pas de quitter les pages de ce livre. En gros c'est du sous Joël Dickers, donc que tous ceux qui ont aimé Harry Quebert se précipitent, y'a du twist et du lourd.
Vous voyez, madame Destombes, que je vous fais de la pub. C'est en remerciement des nuits blanches que vous ne m'avez pas fait passer.

Quelle déception ! Si ça avait été un premier ouvrage, j'aurais pu pardonner les longueurs... mais non, Sandrine Destombes a déjà plusieurs livres à son actif. Je ne vous raconterai bien entendu pas la fin, mais c'est du tout grand n'importe quoi !

Quand les jumeaux, Raphaël et Solène, disparaissent en 1989, ils sont âgés de 11 ans. le corps de la petite fille sera retrouvé trois mois plus tard, mais le garçon semble avoir disparu à jamais. En 2018, des enfants disparaissent de nouveau, dans des circonstances similaires, et toute la ville se met à trembler. le capitaine Fabregas, de la gendarmerie locale, mène l'enquête (?) sur ces disparitions vraiment bizarres, d'autant que la première des disparues revient, trois semaines plus tard, complètement mutique. Aidé par le gendarme à la retraite qui avait enquêté sur la disparition des jumeaux (?) et une pédopsychiatre (?), Fabregas tente de démêler les fils de cette histoire. Pas très réglementaire, tout ça…

C'est très embarrassant de dénigrer un roman qui a obtenu un prix : le prix VSD/RTL, décerné par un jury de professionnels présidé par Michel Bussi… J'ai cru comprendre que l'éditeur faisait partie du jury, mais ce n'est sûrement pas possible. J'avoue que j'ai choisi ce livre parce qu'il répondait parfaitement à l'item 12 du challenge multi-défi 2019 : un roman dans lequel on croise des jumeaux. Outre les incohérences que j'ai déjà relevées, il faudrait en signaler beaucoup d'autres, les tentatives d'explications sur la paranoïa et la schizophrénie n'étant pas des moindres… En ce qui me concerne, j'ai deviné très vite la fin, dès l'annonce bien malencontreuse d'un certain détail anatomique. On aura une idée des affirmations assez absurdes et du « remplissage » qui parsème ce roman à la lecture des deux citations. Bref, pas grand intérêt dans ce soi-disant « page-turner »…

Challenge multi-défis 2019

Je lis que l'autrice fait de l'écriture de polar son passe temps ! Ma tante Y... a pour passe temps le canevas sans pour autant exposer au Louvre aux côtés des broderies de Bayeux !
Cette histoire est complètement capillotractée, la relation incestueuse d'un couple de jumeaux poussée dans ce qu'elle a de plus fantasmagorique.
Il faut reconnaître que l'enquête menée, tambour battant, par un commissaire un poil rigide, secondé par son supérieur à la retraite, dont la vie à été détruite par cette affaire 30 ans plus tôt, fonctionne dans ce qu'elle peut avoir d'addictif.
Néanmoins côté écriture et originalité il ne faut pas compter sur ce livre aussi vite oublié que lu.

En 1989 Solène et Raphael, 11 ans disparaissent à Piolenc, le corps de Solène est retrouvé 2 mois après. 30 ans plus tard Nadia 11 ans disparait et réapparait vêtue comme Solène le jour de sa mort.
Julien Fabregas va tenter de résoudre cette énigme avec l'aide de Jean Wimez, le capitaine qui avait enquêté sur l'affaire à l'époque.
Bon, l'histoire pourrait être intéressante, le début est plutôt accrocheur mais peu à peu il perd en crédibilité, on s'y perd dans tous les personnages, je ne m'attache à aucun, les flics cherchent ils à comprendre ce qui se passe aujourd'hui ou hier ? A quoi servent toutes ces scènes malsaines ? le dénouement est vraiment bizarre, je n'ai pas accroché, je tenterai quand même un autre livre de l'auteur car je n'aime pas rester sur une note négative.

On rentre très vite dans l'action du roman, on veut en savoir toujours plus sur la suite de l'histoire et puis peu à peu la lassitude s'installe au fil de la lecture. le récit s'enlise à cause d'un trop grand nombre de personnages, une histoire vraiment tirée par les cheveux et improbable. Une multitude de rebondissements tuent le suspens et complexifient l'action pour rien, jusqu'à la fin absurde et peu crédible.
Ce livre a reçu le prix de meilleur thriller français et a trouvé son public mais comme vous l'avez compris je n'en fais pas partie car je n'ai pas du tout accroché.Dommage car le début était vraiment prometteur !

Comme je suis contente d'avoir refermé ce livre...
Et c'est peu dire face à ma peine d'avancer dans cette histoire abracadabrante. Longueurs, invraisemblances, incohérences et des personnages qui n'ont aucune crédibilité et pour le coup qui ne créent aucune empathie.
Dans un premier temps, je pensais que mon désamour pour le polar me jouait des tours et que ma volonté de le contrer serait la plus forte, mais les nombreuses inepties ont eu raison de moi.
Le sujet se voulait accrocheur et les premières pages ont tenues beaucoup de promesses et l'espace d'un instant j'y ai cru mais...
Bref, pour ma part c'est une déception et je ne réitèrerais pas avec cette auteure.

Des disparitions d'enfants en 1998 qui rappellent la disparition de deux jumeaux Solène et Raphael en 1989…
Jean l'ancien policier responsable de l'affaire en 1989, Julien, le policier en charge du dossier et Victor, le père des jumeaux, vont unir leurs efforts pour connaître la vérité.
Page turner, riche en rebondissements (plus ou moins crédibles par ailleurs), il manque cependant de la profondeur dans la psychologie des personnages principaux. On ne comprend pas toujours leurs motivations et leurs réactions. J'ai donc eu du mal à m'attacher à eux et à leur histoire. Au final, je ne tire pas grand chose de cette lecture et je sais déjà que j'en aurai oublié les grandes lignes très rapidement…

Histoire fade laborieuse pas de quoi avoir un prix