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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Bouquin totalement raccord avec son titre, très, trop sage...

Thea est jeune, un peu fofolle, voue une passion sans bornes au dieu cheval.
Une famille plutôt aisée, un frère jumeau qu'elle chérit, une vie semblant toute tracée à tutoyer le bonheur en lui assénant de grandes claques dans le dos à lui décoller la plèvre, l'avenir s'annonçait radieux. Mais ça, c'était avant le drame. Un lourd secret qu'elle devra désormais porter au pensionnat des jeunes filles très, trop sages histoire de se faire un peu le cuir, dixit ses parents aimants, quoi qu'un p'tit moins du coup, qui l'auront larguée en cet idyllique endroit fleurant bon l'ingénuosité adolescente et le crottin de cheval qu'elles pratiqueront régulièrement. le cheval, pas le crottin...

Voilà, voilà.
Y a des bottins qu'on dévore puis ceux, beaucoup plus modestes, qui vous paraissent sans fin.
Le pensionnat des jeunes filles très, trop sages, est à ranger définitivement dans la dernière catégorie.
C'est long, pas follement intrigant et frôlant dangereusement le coma éveillé à certains moments .

Non, les atermoiements de jeunes filles en fleurs ne m'auront pas émoustillé plus que ça.
Entre confessions adolescentes, cheval, lourd secret tu jusqu'au tout dernier moment, équidé, relation épistolaire familiale évoquant en filigrane ce lourd secret tu jusqu'au tout dernier moment qui titille bien un peu mais finit par gonfler énormément, poney, éveil au sentiment amoureux, bourrin, la sauce ne prend pas, pire, elle tourne à l'aigre.

" Anton Disclafani signe ici un premier roman bouleversant ", dixit une quatrième de couv' finalement désopilante.
Jeune écrivain de trente ans après avoir pratiqué l'équitation au niveau international - là je comprends mieux l'évocation de la bête à toutes les sauces y compris celle à l'échalotte, ma préférée - l'auteur enfante d'un bouquin à l'écriture surpassant de très loin un sujet dont on s'abreuve au pas, à mille lieues du galop initialement escompté.
J'étais à deux sabots du refus devant l'obstacle...
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1930 en Caroline du Nord, alors que la crise de 1929 touche de plein fouet les Etats Unis, Théa, jeune fille de quinze ans est déposée par son père à Yonahlossee, un internat pour jeunes filles aisées dont le programme éducatif repose sur l'équitation, la passion de Théa. Ce séjour est une punition, ses parents ont décidé d'éloigner la jeune fille de la famille car elle s'est mal comportée et a été à l 'origine d'un drame familial. Habituée à vivre en vase clos avec ses parents et son frère jumeau Sam, Théa va découvrir la vie en communauté. Pour elle qui n'était jamais allée à l'école, son éducation ayant été dispensée par son père, le choc est difficile. Elle va devoir se plier à des règles, des horaires contrairement à la maison où tout était beaucoup plus flou, les enfants disposant de tous leurs après-midi dehors.


Théa rongée par le remord, par le sentiment d'être abandonnée par sa famille, va très vite comprendre qu'elle n'est pas là juste pour les vacances. Ses parents se sont débarrassés d'elle, de sa présence si encombrante après le drame vécu par la famille. Bien que solitaire dans l'âme elle va très vite s'intégrer et se faire des amies. Ses journées sont rythmées par les cours et les séances d'équitation. le pensionnat n'est pas un lieu très strict. Les Holmes qui le gèrent sont un couple "progressiste". Henry Holmes est un bel homme, séduisant pour qui toutes ces jeunes filles ont le béguin, quant à son épouse, c'est elle qui est en charge de l'autorité. Théa va tenter de construire sa vie dans ce pensionnat , entre cours d'équitation, rivalité avec ses camarades, bals avec les garçons d'un établissement voisin. le caractère fort de Théa et son béguin pour Mr Holmes ne vont pas lui rendre la tâche facile.



Que dire de ce roman si ce n'est ma joie d'en avoir terminé. Que c'est long, que c'est poussif, que le style est lourd. Les seuls moments qui m'ont intéressé sont ceux où l'auteur traite du contexte social de l'époque. Cette crise de 1929 qui toucha tout le monde, y compris les plus riches. On a du mal à entrer dans l'histoire, à s'attacher aux personnages. Un roman de cinq cents pages qui aurait pu à mon avis être mieux traité s'il en avait compté moitié moins.
Lien : http://leslecturesduhibou.bl..
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Ce livre, que j'ai pris en me fiant au titre sans lire la 4ème de couverture, est une grosse déception. Je me suis ennuyée tout au long de cette histoire et si ce livre était plus long, j'aurai abandonné cette lecture.
Théa, une jeune fille de seize ans, cache un lourd secret lorsqu'elle est envoyée manu militari dans un lointain pensionnat. Elle, qui vivait dans un vase clos avec sa famille dans une grande maison en Floride, se retrouve soudain au milieu d'une ribambelle de jeunes filles, où son quotidien est rythmé par l'équitation et des leçons de bonne manière.
Ce livre est destiné à des jeunes adolescentes passionnées par les chevaux et en proie à des doutes sur leur sexualité naissante. Si vous n'entrez dans aucune de ces cases, passez votre chemin ! le reste n'est que bal avec des garçons de bonne famille, confessions, rivalités et petits secrets entre nos chères pensionnaires dans un quotidien monotone et fermé. En filigrane, il y a le secret porté par Théa que l'auteur étire durant tout le livre. Nous avons droit à plusieurs retours en arrière où elle distille peu à peu les révélations : à mes yeux, ce n'est ni aussi grave ni aussi tragique par rapport aux sous-entendus durant quatre cent pages. On devine rapidement ce qui s'est passé.
L'héroïne est peu attachante et même exaspérante : égocentrique comme peut l'être une adolescente de quinze ans et qui aime tester son pouvoir de séduction sur les hommes de son entourage; irresponsable et sans aucun discernement pour ensuite se plaindre des conséquences de ces actes tout en cherchant à tout prix à se dédouaner en l'imputant sur un concours de circonstances malheureux.
Le style d'écriture est lourd, avec beaucoup de longueurs. Il y a aussi un côté très érotique, avec des descriptions et des scènes assez précises proches d'un Fifty shades of grey. Les péripéties sont monotones et puériles, rien de palpitant dans cet univers doré quasiment déconnecté du contexte économique de la dépression économique.
Pour conclure, je ne vous recommande pas du tout cette lecture qui pour moi est un vrai flop !
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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Pas trop interessant
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Les mots pour : Style, Histoire des années trente, parties sur les chevaux.

Les mots contre : longueurs, soupirs...

Si le thème historique m'a intéressé, le rythme et les longueurs ont eu raison de ma patience.
Lien : http://lesmotsdenanet.blogsp..
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