Dans cet album, Bloche porte assistance à un SDF et le fait dormir chez lui. Au matin, après que ce dernier se soit éclipsé, Bloche découvre un roman manuscrit. Il va alors proposer son aide pour faire éditer le roman, qui va obtenir le prix Goncourt. Et là, les ennuis vont commencer. La lecture était agréable et distrayante.
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Quand je vous parlais d'une dimension réaliste qui s'est créée dans la série avec les albums de Dodier en solo lors de ma critique précédente, ce n'était pas pour rien. Ici, on parle des SDF, des clochards, de tous les réprouvés de la société : le bas peuple de Paris. On parle aussi d'amour de la littérature, de fusillades, et il y a du suspense pour couronner le tout. On a un bon méchant dans le style américain, on a un personnage principal fort en gueule. Mais c'est tout.
En effet, le reste du tome s'effiloche : une première partie où Jérôme recueille Charlemagne un brin trop longue, une fuite un peu trop décousue, et enfin une révélation trop grosse pour être vraie. C'est bien joli de rendre hommage aux polars, mais quand on est soi-même un polar et qu'on nous a déjà fait le coup des "Êtres de papier", il faut en avoir un peu plus dans le ventre. Et l'enquête, dans tout ça ? Partie à la rue.
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Je redécouvre avec délice ce héros dont je lisais les aventures quand j'étais enfant. J'adore ce personnage un peu looser mais tellement drôle et attachant. Les dessins sont simples, réalistes et très agréables et l'histoire est cohérente et rondement menée !
Il faut que je m'en procure d'autres car je suis fan !
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