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Citations sur La cause des enfants (26)

Il faut une très grande maturité pour être capable d'être parent, car cela implique d'être conscient que ce n'est pas une situation de pouvoir, mais une situation de devoir, et qu'on n'a aucun droit à attendre en échange.
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"Tu me demandes un conseil; je te le donne, mais surtout ne le suis que si toi tu le désires, parce que ce conseil n'a de valeur que d'échange parlé; c'est la réaction de quelqu'un d'une autre génération à ce qui te questionne. Tu avais besoin de parler de ton questionnement,et que je te réponde, mais ne prends pas ce que je te dis comme une vérité, c'est seulement une opinion. Puisque les humains ont besoin de communication, je te dis ce que tes questions ont suscité de réflexion en moi, mais surtout, ne suis pas ce conseil; demande à beaucoup d'autres personnes et, grâce à cela, tu élaboreras de toi-même la réponse à ton questionnement."
L'important est que cela soit dit depuis que l'enfant est tout petit : ne pas imiter et ne jamais se soumettre à l'autre fût-il un adulte, mais trouver sa propre réponse à ce qui le questionne.
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Tout se joue avant six ans...ou avant quatre ans?
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C'est un scandale pour l'adulte que l'être humain à l'état d'enfance soit son égal.
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En chaque enfant, on l'ignore trop, naît et se développe le projet intuitif d'être considéré comme une (grande) personne. Aussi attend-il qu'on ait à son égard le comportement et le respect que l'on a vis-à-vis d'un adulte. Il a raison.
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FAIRE VOTER LES ENFANTS
Nulle part le fait d'être père ou mère ne donne plus de voix au citoyen qui est responsable de futurs adultes. Il est tout à fait inhumain de penser que ceux qui ont mis au monde n'ont qu'une voix, comme le vieillard, comme le célibataire à vie, alors qu'ils représentent l'humanité montante.
Je propose entre autres : Dans une famille de quatre enfants (deux garçons et deux filles), le père devrait avoir trois voix, et la mère trois voix, la voix des filles à la mère, la voix des garçons au père, jusqu'à leurs 12 ans.
Et puis à 12 ans, les enfants voteraient. On les laisserait devenir responsables de leur propre voix. Ce serait consultatif de 12 à 18 ans (puisque la majorité n'est, hélas qu'à 18 ans). Mais au moins, on aurait, en face du vote exécutif des adultes, le vote consultatif des 12 à 18 ans, ce qui donnerait une image du pays en devenir, et surtout donnerait le moyen aux élus, de faire quelque chose pour l'avenir du pays.
Alors qu'on ne parle jamais que de l'actuel du pays et du passé du pays. On fait des choses pour les vieillards, on fait des choses pour les adultes. Mais pour les enfants, presque rien. Même à l'école, on leur donne ce qu'ils ne demande pas puisque la moitié ne suit pas l'école... ce qui prouve qu'on leur donne quelque chose qui ne leur convient pas et que c'est venu de ce qu'on ne s'est pas occupé de la population montante, dans le scrutin dit universel. Il n'est pas du tout universel puisque les enfants n'ont pas de voix à travers leurs parents, et ensuite à exprimer par eux-mêmes.
Elle est débile ou perverse cette démocratie qui ne veut pas compter avec les enfants.
J'ai essayé de dire à un député, familialement proche, que je trouvais qu'on devrait tout faire pour soutenir les jeunes à s'intéresser à leur présent et à leur devenir. Non à la politique politicienne mais oui à la politique de la vie qui monte dans un pays.
Il m'a répondu : "Mais c'est totalement impensable, ça changerait complètement la carte électorale." - "Tant mieux! Les parents qui ont des enfants qui sont l'avenir du pays auraient autant de voix que d'enfants, au lieu de donner autant de voix à des gens qui ne défendent que leur sécurité existentielle personnelle et non l'avenir."
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C'est important pour les très jeunes lecteurs. Si le personnage auquel il s'est identifié meurt ou connaît le supplice éternel, l'enfant qui lui doit continuer à vivre, peut être tenté d'abandonner la lutte. Le happy-end est nécessaire pour l'encourager à l'effort, à la combativité.
Je pense que le happy-end des contes de fées donne à l'enfant l'image d'épreuves qui, évidemment, sont loin de sa réalité, mais qui lui permettent momentanément de s'identifier à des héros qui traversent des passes difficiles et qui arriveront tout de même à triompher des obstacles.
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La peur de mourir, c'est finalement la peur de vivre.

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C'est un certitude scientifique : le fœtus n'entend que les sons graves ; il ne perçoit pas le son de sa mère surtout si elle a une voix aiguë, mais il entend les voix masculines de l'entourage maternel.
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Dans un monde de surplus, de pléthore, de biens matériels mal répartis, le seul bien unique, c'est justement l'amour entre les êtres.
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