Je poursuis l'exploration des univers de
Jean-Marc Dopffer et je reste toujours dans la branche science-fiction. Aucun problème, je suis fan de ce genre littéraire et je ne suis pas prêt à lui tourner le dos… surtout lorsque j'ai la chance de lire d'aussi bonnes histoires. Cette nouvelle peut clairement s'inscrire dans la continuité de celle qui concerne Yuko car elle se déroule dans le même milieu : l'espace. D'ailleurs, on y retrouve certains thèmes communs comme ce fameux ascenseur spatial ainsi qu'un vocabulaire scientifique. Toutefois, contrairement à la nouvelle qui tourne autour de l'indomptable, je dois reconnaître que cette histoire a su me plaire beaucoup plus que sa petite soeur. Pourquoi ? Beaucoup d'action et là, oui, j'étais aux anges. Cela fait du bien de lire un texte qui ne présente aucune longueur. En attendant, après ces quelques lignes, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes.
Point négatif :
• Même si j'ai su apprécier cette nouvelle a sa juste valeur, ce n'est pas un monde dans lequel je souhaite vivre ou du moins, qui ne m'a pas donné d'y rester plus longtemps. Après, il est toujours un peu spécial de souhaiter évoluer dans un monde en destruction, aussi bien dans l'espace que sur la terre ferme.
Points positifs :
• La taille aléatoire des chapitres.
• L'action. Comme j'ai su le rédiger auparavant, les scènes d'action ici sont nombreuses et d'une efficacité redoutable. C'est pour cette raison que mon plaisir de lecteur a été plus grand qu'avec la nouvelle de Yuko.
• le vocabulaire scientifique. Cette fois, il ne déborde pas à tous les chapitres et c'était clairement une expérience plaisante. D'ailleurs, un très grand merci à
Roland Lehoucq pour son partage de savoir. J'aurais dû le citer dès la chronique sur Yuko mais comme je suis un homme distrait, je rattrape ma bourde avec celle-ci.
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Jean-Marc Dopffer m'a offert la chance de lire ces deux nouvelles l'une après l'autre. Bien sûr, j'aurais pu enchaîner sur une autre lecture venant d'un autre auteur mais je voulais rester dans cet univers de science-fiction. Pour ce nouveau point positif, il faut savoir que la nouvelle de Yuko et celle de Ugo présente une petite continuité. Par contre, je pense que l'histoire de notre héros doit se lire après celle de la demoiselle pour respecter la « chronologie » dans le temps.