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Une jeune fille, Céline a disparu, elle s'est volatilisée, un dimanche matin , après avoir acheté une baguette bien cuite à la boulangerie de son quartier..
Une jeune fille secrète mais sans histoires : Fuite, Crime ??
Nul ne sait , disparition inquiétante, personne ne comprend.
Du temps passe.

Au bout de deux ans d''enquête , doit- on se rendre à l'évidence ?
Quand celle- ci a disparu, la normalité familiale a explosé en vol.

Sans nouvelles de l'absente, le père courait dans tous les sens ..
Jules, son frère, s'enfermait dans sa chambre.
Bientôt il s'installe dans l'appartement de Céline.
L'auteur se focalise alors sur son personnage: un drôle d'étudiant , son côté décalé, pas fini, petit oiseau tombé du nid, sa timidité, ce garçon de vingt ans, un beau personnage, attachant, énervant, doux rêveur , handicapé des relations humaines.Incapable de communiquer avec son entourage, il triture la vérité , sa difficulté à prendre des décisions et surtout, surtout son inclination pathologique à mentir tout le temps à tout le monde !!

Il invente quand même un cancer pour que ses amis lui fichent la paix!
Il découvre une collection de paires de chaussures hors de prix dans l'appartement de Céline : alors il enquête, il enquête ........il creuse, il cherche ......
N'en disons pas plus ..
L'auteur suit avec bienveillance et humour cet adolescent qui "apprend " "petit à petit " à Grandir !
La vérité fluctue, prend des tours et des détours différents.
Jules se plaît dans l'imaginaire , en "menteur patenté", il ne se fait jamais prendre car il a une excellente mémoire encore que ........
Il se raconte des "histoires" devient son propre personnage plutôt un gentil, sensible, drôle et rêveur .
Il ment par lâcheté ou par peur, jamais pour blesser .

C'est aussi le roman des deuils car Jules n'est pas guéri , une douleur qui ne s'éteindra peut- être jamais.
C'est tendre, frais, indocile, un peu policier,vif, farceur, léger, un brin philosophe, un ouvrage sur les êtres en devenir et les relations humaines, le passage douloureux à l'âge adulte.
Lu d'une traite, pas triste du tout grâce au talent de l'auteur que je ne connais pas .
Acheté à cause du titre aux "Éditions Alma".
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L'ambition d'Arnaud Dudek, le point qu'il se fixe comme objectif est de donner du plaisir au lecteur. Une fois de plus, avec ce quatrième roman, il parvient à nous captiver, nous faire sourire et nous émouvoir.

Le sujet de départ est pourtant sombre. Céline Carenti, une étudiante de vingt-deux ans est portée disparue. Un dimanche marin, elle est allée acheter une baguette et personne ne l'a plus revue depuis.
Deux ans après, sa mère est partie oublier à l'étranger, son père porte sa peine et s'investit dans des associations et son frère, Jules s'installe dans l'appartement de Céline.
En vivant dans ses murs, le manque de sa soeur s'amplifie, les questions affluent. Deux ans après, il interroge les gens qui ont connu Céline, il reprend contact avec l'inspecteur autrefois chargé de l'enquête.
» Il a été prouvé que le récit détaillé d'un évènement évolue naturellement selon l'accueil, l'attitude, les réactions de ses auditeurs successifs. »
Jules est un personnage étonnant. Légèrement autiste, menteur invétéré, il est » un véritable handicapé des relations humaines. »
Sa rencontre avec Bérénice, une jeune étudiante dynamique qui habite l'étage du dessous, pourrait éclairer son regard.
Jules nous entraîne dans son enquête, une quête qui l'emmène surtout à la vérité de ses sentiments.

Arnaud Dudek a un regard clinique sur ses personnages, une vision personnelle sur les évènements comme un observateur externe qui nous fait participer à sa façon de voir les choses.
En parlant de Jules » Précisons également qu'il est plutôt mignon dans son genre. Certes, nous n'avons pas affaire à un beau gosse musclé qui inonde sa page Facebook de photos de lui en slip. Ce n'est pas, disons, une beauté spectaculaire. Il n'est pas de la caste populaire des chênes; son corps et ses manières le classent dans la famille des roseaux. » C'est cette façon d'incarner ses personnages qui nous prend à parti, nous rend sympathiques ces êtres dynamiques et touchants par leur fragilité. Il faut beaucoup aimer ses personnages et la nature humaine en général pour les croquer de cette façon.

Un roman équilibré, rythmé, touchant, empli de bonne humeur malgré un sujet plutôt lourd sur la disparition d'un être cher.
Lien : https://surlaroutedejostein...
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Un immense merci à Masse Critique Babelio et aux éditions Alma sans qui je n'aurais pas découvert Arnaud Dudek et ce roman épatant !
Lorsque Jules s'installe dans l'appartement où vivait Céline sa soeur mystérieusement disparue depuis 2 ans, c'est un peu comme s'il se déshabillait d'une vérité construite depuis l'enfance par ses perceptions et par l'influence des discours entendus, pour en intégrer une autre, celle tout aussi aléatoire, de la vie de sa soeur. Car finalement, qu'est-ce que peut être la vérité pour ce menteur quasi-pathologique ? Celle que lui transmet sa mémoire phénoménale ? Celle qui se cache dans les meubles, les objets et les écrits laissés par Céline ? Celle qu'il trouve sur la peau d'une jolie voisine ? La vérité ne se définit-elle que par rapport aux distorsions qu'apportent ses mensonges à une réalité, de toute façon toujours perçue différemment ? le gouffre que creuse Céline par son absence est aussi une vérité, mais qui n'a rien de provisoire, celle-ci. Peut-être ce constat est-il en définitive le véritable objet de l'en-quête qu'entame Jules en mettant ses pas dans ceux de sa soeur ?
Je crois bien que je suis tombée en amour pour ce roman qui a tissé son charme dès ses premiers mots et de plus en plus étroitement jusqu'au dénouement. Une histoire qui tient de l'intrigue policière autant qu'existentielle. Des personnages attachants, à l'âme, au coeur et à l'esprit un peu-beaucoup-passionnément fêlés. Et puis, et peut-être surtout, le regard tendrement ironique posé sur Jules et sur les évènements qu'il subit ou provoque et cette façon de raconter en prenant malicieusement le lecteur à témoin. Au risque de briser l'illusion référentielle, le narrateur nous embarque avec lui, un peu comme si nous assistions ensemble au même spectacle ou regardions la même lame sous le microscope, attire notre attention, souligne certains faits... et finalement nous conduit subtilement à une confrontation de points de vue d'où émerge quelque chose d'intangible : le choix de la vie sans oubli et sans déni.
Cette façon légère, sans jamais être superficielle, d'aborder des choses graves est, pour moi, d'une remarquable élégance, qu'accentue encore la fluidité de l'écriture. Oui décidément, je crois bien que je suis tombée en amour pour ce roman.
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Il y a des auteurs qu'on aime suivre parce qu'ils ont un ton particulier. Chez Alma, j'en suis plusieurs, dont A. Dudek. Qui m'a étonnée dans le premier chapitre de ce nouveau livre : tout commence en effet comme un reportage de C. Hondelatte. Une jeune fille a disparu sans laisser de traces : crime ou fuite ? Il faut presque deux ans d'enquête pour se rendre à l'évidence : Céline Carenti est introuvable. Sa famille continue à vivre tant bien que mal face à ce deuil impossible. Et le ton Dudek arrive, chapitre 2, à partir du moment où l'auteur se focalise sur Jules, le frère de la disparue. On suit dès lors Jules, un jeune homme de 20 ans, qui s'est installé dans l'ancien appartement de Céline. Jules est un beau personnage, attachant et énervant, doux rêveur et gros menteur. Il a quand même inventé qu'il avait un cancer pour que ses amis lui fichent la paix ! A cause d'un série de paires de chaussures très chères, que Céline n'aurait pas pu s'offrir, il se met à enquêter sur sa soeur. Il remplit des blancs et se remplit lui-même. L'auteur, lui, suit avec bienveillance et humour les aventure de cet adolescent qui apprend à être " grand "... Roman des deuils impossibles, Les vérités provisoires et surtout, pour moi, une roman-métaphore sur le passage à l'âge adulte. Très fluide, très maîtrisé, le livre se lit d'une traite !
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Jules, le narrateur, est le frère malheureux de Céline. Céline a disparu deux ans auparavant, sans laisser la moindre trace. L'enquête de police n'a rien donné, c'est le noir total. La mère est partie au loin, le père survit comme il peut et Jules se laisse ballotter par la vie, taraudé par ses souvenirs d'enfance et l'absence de sa soeur.

Il décide d'emménager dans son appartement, espérant trouver des indices sur ce qui aurait pu motiver sa disparition. Il va faire fortuitement la connaissance de sa voisine, Bénédicte, une lueur bienvenue dans son flou quotidien.

Car Jules est quelqu'un d'assez peu cernable. Très vaguement étudiant, menteur invétéré, passif, il n'a rien pour attirer la sympathie et pourtant, c'est un tendre et un sensible. Pourrait-il survivre s'il ne mentait pas autant ? En pénétrant progressivement dans les méandres de ses pensées, on le comprend tout en ayant envie de le secouer et de lui dire de se dépouiller enfin des faux-semblants qui l'encombrent.

Je retrouve ici avec plaisir la plume d'Arnaud Dudek, découvert avec Tant bien que mal. L'histoire est difficile, mais le ton décalé la rend légère. Tout n'est pas expliqué, comme dans la vie, et j'aime qu'il reste des zones d'ombre à la fin, laissées à l'appréciation du lecteur.
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« On est sans nouvelles de Céline Carenti, une étudiante âgée de vingt-deux ans. »
Céline a disparu depuis deux ans, faute de nouvelles pistes, les dossiers s'entassant, les recherches ont été abandonnées. Jules, son frère s'installe dans l'appartement, s'y enferme comme dans une coquille, pour chercher, essayer de savoir.
Jules ? Un être inadapté, perpétuel étudiant, menteur patenté, mais pas pour faire le bravache, non, par faiblesse, par gentillesse, pour mieux vivre ou rêver sa vie. Sa vie est une esquive perpétuelle.
« le garçon a longtemps posé problème. Son comportement, sa timidité, ses mensonges, ça ne faisait pas rire. On a frôlé le psychothérapeute. Mais on a fini par se convaincre que mieux valait ce genre de crise d'adolescence que pas d'adolescence du tout. »
Jules semble être un ventre mou et l'appartement devient sa carapace. Il se cache tellement que c'est le narrateur, donc l'auteur, qui décrit les scènes.

Qui sait si, à force de fouiller dans les affaires de sa soeur, d'enquêter sur sa vie avant la disparition, il ne se trouvera pas lui-même, d'autant qu'une jeune et jolie voisine répondant au doux nom de Bérénice, entre dans sa vie et qu'un industriel allemand, amant de sa soeur, lui offre une béquille.
Le regard tendrement ironique qu'Arnaud Dudek pose sur Jules me le rend sympathique, malgré des défauts rédhibitoires pour moi.
Bien calée sur mes oreillers, je regarde avec le narrateur évoluer Jules, je l'admire de ne pas s'empêtrer dans ses mensonges grâce à une mémoire prodigieuse, je le suis dans les méandres de son aventure avec Bérénice. Je le vois évoluer doucement vers un retour à la « vraie vie » avec beaucoup moins de mensonges, vivre avec ses souvenirs et, enfin, regarder plus loin.
Les vérités sont provisoires, mais la vie est une permanence.
Alma offre un catalogue d'auteurs qui, sans faire trop de bruits, tracent une belle route.

Arnaud Dubek, je fus séduite par Rester sage et là, je confirme, votre univers me plait.

je vous remercie de m'avoir proposé votre livre. J'ai souri en lisant votre adorable dédicace. Je ne l'avais pas vu en recevant le livre car je savais que, si je l'ouvrais, je ne pourrai le refermer avant d'en avoir terminé la lecture. Voyez que te temps à autre, je puis être sage !

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Attention, n'y voyez pas une enquête policière haletante qui va vous saisir de la première à la dernière page. Ce n'est pas l'histoire d'un frère qui va remuer terre et ciel pour trouver des indices et retrouver sa grande soeur. Retirez vous de la tête les schémas classiques des policiers que vous avez lu. Jules est un gars ordinaire, pas plus malin qu'un autre et pas plus doué qu'un autre. Il va trouver quelques informations qui va le mener à des informations que sa famille avait déjà tout comme le policier en charge de l'enquête.

On va suivre l'évolution d'un jeune homme dans sa vie, dans son quotidien qui va aller à la découverte de soi. Il a toujours été un menteur pathétique depuis qu'il est petit et en grandissant, il a continué. Parfois, il y a des rencontres qui nous changent. L'amour, il en avait déjà entendu parlé mais jamais il ne l'avait ressenti en lui. Alors quand il a rencontré sa voisine du dessous et qu'elle a ri à ces mensonges. Quelque d'inattendu c'est passé. Son coeur n'est pas vraiment en pierre, il peut battre, ressentir... Un nouveau monde s'ouvre à lui.

Tout n'est pas centré sur ce personnage qui malgré des traits bien énervants de sa personnalité reste attachant. On trouve également les parents derrière qui doivent faire face aussi à la disparition de leur fille. Les parents sont séparés et vivent chacun de leur côté. La mère est partie et a repris sa vie en main. Alors que le père reste dans la maison familiale avec tous les souvenirs et peines à communiquer avec son fils. Lui a plus de mal à avancer pour combler le vide laisser par sa fille. Mais il va falloir changer, car pour se sentir bien, il faut laisser de côté ce qui nous blesse si l'on ne peut pas le modifier.

Arnaud Dudek parle avec sensibilité du ressenti des hommes. Les femmes sont présentes avec la soeur disparue, la mère et la vieille dame de l'étage du dessous, mais elles sont autour des hommes et de façon discrète. Cela lui est sûrement plus facile de parler des hommes et de ce qu'ils ressentent étant lui même un homme. Tout comme de ce qui est de parler de l'ordinaire, car l'ordinaire et la banalité nous entoure tous. Il a plus de facilité de parler de ce qu'il connaît de près ou de loin.

Le style du livre est léger. Déjà, c'est le plus gros roman d'Arnaud Dudek dans lequel il a voulu approfondir un peu les personnages. Il n'y a pas de très longues phrases qui n'en finissent pas. Pas de vocabulaire compliqué. On pourrait même dire que ces mots se rapprochent du langage parlé. Les paragraphes sont courts et se succèdent assez vite. le drame côtoie toujours le mot pour sourire. Les pages se tournent simplement comme si l'on découvrait le récit de quelqu'un de proche, de même valeur que nous. Et puis ce titre, très beau, Les vérités provisoires qui évoquent à tous quelques choses. Très bon choix d'Alma d'avoir proposé ce titre.

Un livre léger comme un nuage sous lequel vous pourrez vous abritez le temps d'aller à la rencontre de Vérités provisoires.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Un très joli roman, le quatrième de l'auteur que personnellement je découvre. le ton est décalé, le roman vif, drôle tout en abordant des thèmes sérieux. Il y est question de l'absence, de la disparition, de la solitude, de l'amour, de la mort, ... "Jules n'est pas guéri car on ne guérit pas de ce dont il souffre, une douleur qui ne s'éteindra pas tant que la vérité ne se fera pas sur Céline, une douleur qui ne s'éteindra peut-être jamais. Il parvient à vivre avec, c'est différent, mais c'est mieux que survivre sans." (p.167)

Jules est attachant et agaçant tout à la fois. On a envie de le secouer pour qu'il se bouge et prenne sa vie en main, qu'il ne passe pas à côté des belles rencontres qu'il fait. Et puis, on comprend qu'il lui est difficile de se lever pour aller étudier. Il est mou, mais son côté décalé, en dehors des normes et des codes le rendent sympathiques. On imagine même que les digressions d'Arnaud Dudek, souvent drôles, simples naissent dans le cerveau de Jules :

"La voisine propose alors de poursuivre la conversation chez elle, devant une tisane aux graines de fenouil -comme deux Français sur cinq, Bérénice croit aux bienfaits de l'homéopathie, qu'il convient de ne pas confondre avec la phytothérapie. Jules n'y voit pas d'inconvénient. Bien au contraire." (p.49)

C'est charmant, tendre et délicat, je n'ai pas assez d'adjectifs de ce genre pour qualifier ce roman, mais le mieux serait de faire une liste d'iceux, c'est ce qui me vient à l'esprit lorsque je parle de mon ressenti pendant et après ma lecture. Ou alors, citer des passages et encore citer, tant je me suis plu dans l'univers du romancier. Un doux moment de quiétude, sans bruit et sans fureur, mais pour autant pas sage et oubliable. Une écriture que j'aime beaucoup qui tant qu'on la lit ravit et qui, une fois quittée laisse un joli goût de revenez-y comme on dit chez moi.

Décidément, beaucoup de belles plumes poétiques, décalées, drôles, émouvantes, tendres, étonnantes, et tout et tout chez Alma.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Livre étrange où le narrateur s'amuse avec nous et son personnage Jules. Jeune homme qui s'invente des histoires et qui n'arrive pas à oublier la disparition du jour au lendemain de sa soeur Céline. Chapitre courts, rythmés avec une bonne dose d'ironie qui nous fait suivre l'enquête de ce drôle de zouave. le ton alterne entre gentiment moqueur et réflexion sur l'absence, connait-on vraiment nos proches ?

Le livre se lit rapidement et on a envie comme Jules de découvrir ce qui est arrivé à sa soeur ; savoir comment sa relation avec Bérénice la voisine du dessous va évoluer. J'ai apprécié la distance que met l'auteur entre nous et le personnage par ses commentaires tout en nous le rendant terriblement attachant. Réflexion aussi présente sur la réalité, la vérite, quelle est elle vraiment ? Les ravages de l'absence aussi sur une famille sont évoqués à travers le personnage principal mais aussi les réactions de ses parents. Léger et grave, enlevé sur un personnage qui grandit peu à peu et évolue. On se laisse embarquer dans cet univers, cette narration particulière.

Une jolie découverte que ce livre, donc découvrez les variantes de la vérité et suivez Jules dans son enquête.
Lien : http://eirenamg.canalblog.co..
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L'auteur nous présente Jules, un jeune homme rêveur et sacrement menteur. Et pourtant , il est attachant .
Ce roman est tendre, frais, léger et se lit d'une traite grâce à des phrases et des chapitres courts.
J'ai aussi beaucoup aimé les traits d'humour.
C'est la première fois que je lis un livre d'Arnaud Dudek mais pas la dernière !!
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