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Citations sur Barracuda, tome 1 : Esclaves (29)

J’ai un mauvais pressentiment.
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Deux jours plus tard, le Barracuda leva l’ancre et quitta la rade de Puerto Blanco. Chagrin et affliction étaient du voyage. La mort dans l’âme, le capitaine Blckdog avait dû laisser son fils sur l’île. Raffy ne serait pas du voyage. Heureusement, sa vie n’était plus en danger. Il s’en était fallu de peu. La balle tirée par Maria del Scuebo avait frôlé son cœur. Mais les drogues et cataplasmes utilisés par madame Si-Non firent leur effet. Il demeurait cependant intransportable, il n’y avait donc plus à hésiter. Ainsi, des trois enfants, Emilio, Maria et Raffy, qui étaient arrivés sur le Barracuda, aucun ne quitta l’île. Les dés étaient jetés, à présent…
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Deux jours plus tard, le Barracuda leva l’ancre et quitta la rade de Puerto Blanco.
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Voyons, mon frère ! Ce n’est pas l’habit qui fait le pirate ! Ni le moine d’ailleurs…
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Et c’est ainsi que j’emboîtai le pas à cette bien étrange figure du destin qui portait chapeau à plumes, bottes vernies et habit rapiécé.
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Et c’est là que j’ai vu la haine s’installer dans ses yeux. Cette haine qui, plus jamais, ne devait la quitter.
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La chance est par trop capricieuse. Par contre, je crois au négoce, à ce qui se vend et s’achète.
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Cet avertissement ne fut entendu de personne. On mit une chaloupe à la mer, qui emporta De la Loya vers son destin. Et l’on nous transporta à bord du Barracuda. C’est ainsi que je changeai de nom comme de sexe. D’Emilio, je passais à Emilia, et il paraît que je fus très convaincant en jeune demoiselle de la cour. Vous l’avouerai-je ? Je pris à cette métamorphose un certain plaisir. Un plaisir coupable certes, mais que je me sentais prêt à assumer aussi longtemps que nécessaire. Chacun dans cette historie tombera dans son piège. Le mien m’engloutit sans grande résistance de ma part. quelques jours plus tard, le Barracuda vint mouiller dans le port de Puerto Blanco l’île des pirates, la mal nommée car tout y est noir, de l’âme de ses habitants, aux chicots branlants de ses putains.
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Un rêve agréable m’occupait l’esprit. Tout allait bien. De jolies femmes me souriaient, des coffraient emplis d’or s’offraient à moi. À moins que ce ne fut le contraire. Et puis, non… Tout n’allait pas bien. Comme me l’indiquait le son du canon, nous étions attaqués.
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(dans l’introduction de J. Dufaux) Je dois beaucoup à Mister [Errol] Flynn. J’ai compris grâce à lui ce qu’étaient le panache, l’ivresse des horizons ouverts, l’impertinence moqueuse et l’ironie cinglante. Il me manquait la stature et la moustache, je n’ai donc jamais chaussé ses bottes, me contentant de l’admirer de loin. Mais avec une réelle affection et une solide fidélité. Cette affection et cette fidélité m’ont porté à imaginer cette histoire consacre au monde des pirates, un monde qui s’est toujours décliné au gré de films qui m’emportaient au large des îles Caraïbes, alors que tonne le canon vers des soleils couchants. Ainsi de L’aigle des mers, de M. Curtiz, du Cygne noir, de King, de La flibustière des Antilles, de Jacques Tourneur, du Corsair rouge, de Siodmak, d’autres encore de Polanski, de Walsh, de Charles Laughton, pillard inquiétant, et j’en passe. Jusqu’à l’arrivée des Pirates des Caraïbes qui devaient passablement renouveler le genre. Le renouveler et l’engorger tant il y a des éléments dans ce triptyque que Gore Verbinski a voulu complet. Tout s’y trouve, de manière admirable souvent, s’y bouscule, de façon pléthorique, parfois. Et c’est devenu l’écueil à éviter. Les effets spéciaux, les zombies, les pirates de toutes nations, les chanteurs rock, les dérives de Jack Sparrow, les monstres marins, etc. C’est ce Etc. qui est redoutable dans les Pirates des Caraïbes. D’ailleurs, je n’ignorais pas l’existence de cet autre monument qu’est l’île au trésor de Stevenson. Un ouvrage qu’il ne faut jamais hésiter à relire tant ses richesses sont infinies. Mais Mathieu Lauffray et Xavier Dorison en ont proposé une variation pleine de talent et de fougue. Leur Long John Silver est à la hauteur du mythe, je profite de cette occasion pour saluer la beauté sombre de leur ouvrage.
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