Le bonheur que Rome tire de la victoire fait le malheur des peuples à l'exception du peuple romain. Quelle valeur, si faible soit-elle faut-il accorder à une joie qui impose tant de souffrances ? Que signifie la satisfaction d'une seule ville au milieu d'une telle accumulation de malheurs qui préfigurent la fin du monde ?
Orose, Histoires, Livre IV.
"La vie n'est pas trop courte. C'est nous qui la perdons. Le temps ne peut rien contre la sagesse. Aucun âge ne l'abolira, aucun âge ne l'affaiblira. "
Néron s’est mis en tête de reconstruire Rome à son image. Un image démentielle. Comme cette Domus aurea qui engloutit des fortunes. Les coffres se vident, les impôts ne suffisent plus.
Ils ont croisé la route de César et César était courroucé.
La vie n'est pas trop courte. C'est nous qui la perdons. Le temps ne peut rien contre la sagesse. Aucun âge ne l'abolira, aucun âge ne l'affaiblira. Mais combien les hommes s'agitent en vain. Ils croient avoir beaucoup navigu, ils ont simplement été balloté par les éléments.
La vie n’est pas trop courte. C’est nous qui la perdons. Le temps ne peut rien contre la sagesse. Aucun âge ne l’abolira, aucun âge ne l’affaiblira.
Nos terres seront saisies. Pour assouvir l’appétit de César. Un appétit qui repose sur une folie ! Autant dire que cet appétit ne connaîtra aucune limite !
Le temps ne peut rien contre la sagesse. [...] Mais combien les hommes s'agitent en vain. Ils croient avoir beaucoup navigué, ils ont simplement été ballottés par les éléments.
Ceux qui servent le pouvoir profitent du pouvoir, [...]. N'attends aucune mansuétude de leur part. Ils seront plus féroces que César.
J'aime te voir dans les moments où tu écris. Tu me rappelles alors que c'est dans la solitude que l'on peut trouver le bonheur.