Le singulier, dit-il, quand c’est possible dans une phrase, c’est toujours mieux que le pluriel.
Quant à la question des adaptations cinématographiques des romans qu'il publie, sa position est simple : L'idéal avec le cinéma, dit-il avec un large sourire, c'est qu'on puisse vendre les droits et qu'ensuite, le film ne se fasse pas. Ça, voyez-vous, c'est vraiment la meilleure solution.
D'ailleurs en règle générale, Jérôme Lindon déconseille les parutions en revue comme il déconseille les travaux en collaboration, déconseille les commandes de cinéma ou de télévision, déconseille les voyages (il déteste spécialement les voyages), déconseille à peu pres tout ce qui peut distraire de l'écriture, bref, déconseille plus qu'il ne conseille. A défaut de suivre ses conseils, je suis donc généralement ses déconseils et je n'ai pas à m'en plaindre
Quant à la question des adaptations cinématographiques des romans qu’il publie, sa position est simple : L’idéal avec le cinéma, dit-il avec un large sourire, c’est qu’on puisse vendre les droits et qu’ensuite, le film ne se fasse pas. Ça, voyez-vous, c’est vraiment la meilleure solution.
L’idéal avec le cinéma, dit-il avec un large sourire, c’est qu’on puisse vendre les droits et qu’ensuite, le film ne se fasse pas. Ça, voyez-vous, c’est vraiment la meilleure solution.