Paradise

Oh mais je m'en veut tellement, tellement d'avoir ouvert Paradise: c'est simple, ma rencontre avec le roman Irrésistible Alchimie m'a rendu folle amoureuse de Simone Elkeles et c'est donc avec une extrême impatience que j'attendait de lire ces autres romans . Après avoir lu Irrésistible Attraction ( que j'ai également adorer) et Irrésistible Fusion ainsi que Attirance et Confusion, lesquelles, certes ne m'ont pas autant convaincu que les précédents romans, mais n'ont pas pour autant enlever mon envie insatiable de lire touts les romans qu' écrirait Simone Elkeles, c'est donc en toute logique que le roman Paradise est entrer dans mon giron et après avoir attendu ce qui me semble une éternité, je l'ai enfin dans les mains. VICTOIRE! Et la c'est le drame : J'ai absolument TOUT détesté, c'est dire si la seule étoile que j'ai mit est pour l'affection indéfectible que j'ai pour l'auteur. Je m'explique :
Tout d'abord, les personnages, élément le plus important dans un roman, étaient horrible !! Caleb et Maggie manquaient terriblement de profondeur et chose très rare dans un roman, je n'ai pas du tout réussi a m'attacher a eux.
Et l'histoire d'amour bon sang c'est une CATASTROPHE : en deux dialogue maximum, Maggie tombe amoureuse du gars qui l'a renverser ! Il doit avoir tout au plus 50 pages sur leur relation alors que le roman en fait 300 ! Alors que dans ces précédents romans, les sentiments se tissaient tellement progressivement et lentement que sa coulait de source que les personnages éprouvait l'un pour l'autre des sentiment très fort et que même nous, lecteurs arrivions à les percevoir, je n'ai absolument rien trouver de cela dans ce roman : Il n'y a aucun moment de romantisme, de partage,de complicité, de sensualité.
Et un autre point tellement confus que j'ai du mal à m'exprimer la dessus ; je n'ai absolument RIEN compris a l'évolution mentale des 2 personnages du roman au fil du roman alors que c'est précisément sur quoi l'auteur a voulu mettre l'accent : les deux personnage n'ont de cesse, tout au long du roman, de ressasser les même pensées (tellement d'ailleurs que sa en devient lassant ) et à la fin ils pensent et agissent de façon tellement absurde, contradictoire avec ce qui étaient précédemment que sa m'a complètement perdu, sa fessait très cafouillage, brouillon.
Et la fin, bon sang la fin, alors la c'est définitivement ce qui m'a achevé !! Sa part dans du grand n'importe quoi, je n'ai absolument rien compris a ce qu'avait voulu faire l'auteur.
L'histoire en elle même semblait très intéressante sur le résumé et promettait un bon roman. Mais il a été très mal exploité par l'auteur, a été survolée pour se concentrer sur du superficiel, voire est tomber dans le stéréotype avec la garce de service, le père absent, la mère trop soucieuse...
Et enfin, même le style d'écriture de l'auteur, que j'avait tellement affectionner auparavant, n'était pas le même. Il laissait un sentiment de "pas finie",semblais plus destiné a un public pré-ados.
En conclusion, je regrette amèrement d'avoir lu Paradise. J'éprouve même un sentiment de trahison envers Simone Elkeles pour avoir briser la confiance que je mettais en elle pour écrire des romans d'une qualité bien supérieure a Paradise. C'est donc sur cette triste note que j'attend de pouvoir lire un autre de ces romans qui pourra, je l'espère, raviver la flamme que j'éprouvait pour Simone.

La fin est trop trop triste!

Ayant adoré Irrésistible Alchimie du même auteur, malgré son côté un peu cliché et mièvre (heureusement nuancé par un côté plus sombre et violent, celui des gangs), c'est avec enthousiasme que j'attaquais cette nouvelle série.

Quelle déception!

Simone Elkeles nous ressert ici la même formule que dans sa précédente saga, en moins travaillé et sans l'effet de surprise. Bref, ça sent le réchauffé.

Les personnages, de même que leurs histoire personnelle, sont des clichés vivants (du bad boy qui n'en est au fond pas un à l'adolescente peu sûre d'elle), les soit disant coïncidences sont tellement énormes et peu crédibles qu'elles peinent à convaincre, même avec toute la bonne volonté du monde. de la même façon, les protagonistes passent d'un sentiment à son total opposé en un claquement de doigt (chose qui m'avait aussi gênée dans la saga des frères Fuentes* mais que j'avais aisément pardonnée grâce à l'histoire qui avait malgré tout su me séduire) ce qui rend bon nombre de situation proprement ridicules.


Enfin, l'auteur n'évite pas non plus de verser dans la mièvrerie en évoquant la relation entre les deux personnages principaux. On notera cependant un fin en demi-teinte qui tente de rattraper péniblement (et sans succès) le tout. Personnellement, j'étais trop en colère contre l'auteur à la fin de ma lecture pour apprécier ce dénouement qui ne me semble là que pour éviter le cliché d'une happy-end.

Bref, un livre à fuir, et dont je regrette l'achat.
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