Les Sept Sages de l'Apocalypse

En Islam, la croyance au Jour du Jugement Dernier est l’un des piliers de la Foi. La vie sur Terre n’est qu’un éphémère prélude à l’éternité. Dans le CorEn Islam, la croyance au Jour du Jugement Dernier est l’un des piliers de la Foi. La vie sur Terre n’est qu’un éphémère prélude à l’éternité. Dans le Coran, il est écrit Yawm al-dyn ; Jour du jugement. Il est aussi écrit Yawm al-Qiyāmah ; Jour de la résurrection. Ses signes sont nombreux, ses présages sont multiples. Ils apparaîtront l’un après l’autre, comme les perles se succèdent en tombant de la cordelette. Nul ne sait quand ils adviendront, mais leur heure se rapproche. Ces signes incluent particulièrement l’inversion de l’ordre de la nature, comme le lever du soleil à l’Ouest plutôt qu’à l’est et l’effritement de l’ordre moral. L’antéchrist apparaîtra et détournera les croyants le long de son règne. Conformément à la volonté divine, Jésus reviendra pour défaire l’antéchrist et le temps et l’histoire s’arrêteront.an, il est écrit Yawm al-dyn ; Jour du jugement. Il est aussi écrit Yawm al-Qiyāmah ; Jour de la résurrection. Ses signes sont nombreux, ses présages sont multiples. Ils apparaîtront l’un après l’autre, comme les perles se succèdent en tombant de la cordelette. Nul ne sait quand ils adviendront, mais leur heure se rapproche. Ces signes incluent particulièrement l’inversion de l’ordre de la nature, comme le lever du soleil à l’Ouest plutôt qu’à l’est et l’effritement de l’ordre moral. L’antéchrist apparaîtra et détournera les croyants le long de son règne. Conformément à la volonté divine, Jésus reviendra pour défaire l’antéchrist et le temps et l’histoire s’arrêteront.

Le gaspillage des ressources naturelles et les diverses pollutions, dont l’émission de gaz à effet de serre, ont donné lieu à un dérèglement climatique qui débouche sur des catastrophes naturelles de plus en plus violentes. Tempêtes déchaînées, éruptions volcaniques puissantes et terribles, inondations impétueuses et furieuses, sécheresses pénibles et canicules accablantes et suffocantes. Le climat est si dégradé que même avec la prise de conscience actuelle des dangers qui menacent la planète, on risque de manquer de temps pour y remédier.

L’instrument était ce qu’on appelle un électropsychomètre. C’est un instrument religieux utilisé pour guider l’audition ; l’une des principales pratiques religieuses de la scientologie.
Abdelaziz, le complice marocain de l’américain, n’avait pas besoin d’amples instructions. Ce n’était pas le premier interrogatoire qu’ils menaient. Oufkir et Hassan II avaient fait appel à ces scientologues qui faisaient régulièrement escale au Maroc. Ils étaient intéressés à démasquer les comploteurs à l’aide de leur outil-miracle. Après de simples interrogations sur l’identité de leur captif qui permettaient à l’américain de calibrer son appareil, il posa la question qui leur importait :
—    Avez-vous fait allégeance au Général Medbouh et au Colonel Ababou ?
—    Non. Elmajdoub savait que c’était la seule réponse qui le sauverait de l’échafaud.
—    Avez-vous trahi le Roi ?
—    Non. Répéta Elmajdoub brusquement et d’un air de défi.

La suite de la légende avance que lors de ses douze travaux, Hercule fut chargé d’aller chercher ces fruits. Pour contourner l’impitoyable et féroce dragon Ladon, Hercule songea à marchander le concours d’Atlas en lui proposant de porter un temps la voûte à sa place pendant que lui-même irait chercher quelques pommes. Libéré de son épouvantable contrainte, Atlas pensa qu’il pourrait fort bien la laisser à Hercule. Ce dernier dut alors recourir à une ruse pour tromper Atlas en lui demandant de reprendre le globe pendant un instant, afin de mettre un coussinet sur sa tête. Atlas, facilement trompé, posa les fruits sur le sol et reprit son fardeau. Hercule alors les ramassa et s’éloigna. La version marocaine de la légende affirme qu’avant de s’en aller, grâce à la tête de la gorgone, Hercule pétrifia Atlas, le transformant ainsi en un majestueux massif qui aujourd’hui encore porte le nom de l’Atlas.

Il était d’un naturel rebelle. À seize ans, il avait quitté l’école et largué les amarres pour rejoindre l’Arctique et les régions environnantes. Il avait ensuite combattu aux côtés du révolutionnaire mexicain José Doroteo Arango Arámbula, plus connu sous le diminutif de Pancho Villa. Selon une rumeur persistante, alimentée par son attitude équivoque, il serait également un espion à la solde des services secrets de la marine britannique. Avant de s’installer au Belize, colonie britannique à l’époque, il avait sillonné les jungles d’Amérique centrale à la recherche des traces des civilisations antiques.