L'après la grande catastrophe. Notre héros serait-il le seul survivant ? il semble que oui. Seul dans le vaste monde à essayer de recréer un peu de vie ou à en trouver. Neutre, travailleur sans émotion ou presque. Pas un oiseau, pas un rongeur, pas un insecte... On attend à chaque page que quelque chose bouge au loin et puis rien. Finalement, malgré la qualité, cela devient inutilement angoissant et j'ai quitté Hardenne sans regret, le laissant sans doute à la folie, à moins qu'après la fin du livre... mais je suis déjà ailleurs.
Commenter  J’apprécie         40