La mort est parfois préférable

La mort est parfois préférable est un polar psychologique, on va suivre les éléments de la PJ de Lille en face de résoudre deux crimes, le premier est le meurtre d'un journaliste tué dans son domicile, suivi d »une série d'agressions et de tentatives d'assassinats (serial killer ?) l'affaire va être attribué à Yan, elle sera épaulée par son collègue Mika en parallèle son ami Barthélémy dit Brath est sur une enquête de double suicide dont le procédé est bien étrange et horrible , pour les aider à résoudre les enquêtes Yan fera appel à son ancien professeur en criminologie (perso, j'ai adoré ces parties de l'enquête, j'avais eu l'impression de regarder un épisode de la série esprit criminel même si parfois, c'était un peu long.) bizarrement Yan va être le lien entre les deux affaires comment et pourquoi je vous laisse découvrir .Sacha Erbel nous offre un policier passionnant et surtout intelligent ; ce genre de lecture d'où on ne sort pas bête, on en sort toujours avec un plus , sous fond d'une ‘intrigue policière l'auteure met en exergue une pathologie mal connue « l'endométriose » qu' elle surnommé « l'araignée » , cet handicape sournois qui condamne les femmes au silence par peur du regard suspicieux de la société (ces femmes qu' on traite de comédiennes, de chochottes, parfois même de feignasses) en décrivant les souffrances et le quotidien de Yan son courage surhumain pour mener sa vie professionnelle , c'est le combat de milliers de femmes qui est décrit ,l'auteure est arrivée brillamment à imager les conséquences et les méfaits de cette bête ; qui dévore ses proies de l'intérieur. Un travail subtil et intelligent, un mariage de thriller et manifeste qui se lit passionnément.
Je remercie les éditions Taurnada, pour m'avoir permis de dévorer ses thrillers.

Il s'agit du  premier roman que je lis de l'auteure et je l'ai bien apprécié. J'ai découvert une maladie que je connais peu, "l'endométriose" , maladie que Yan appelle l'araignée et qui la fait beaucoup souffrir. du coup, elle prend des anti douleurs à tour de bras afin d'avoir moins mal... et nous nous demandons où cela la mènera.
Saura-t-elle gérer son quotidien d'enquêtrice et le mal qui ne cesse de la ronger ?
Nous suivons en parallèle deux enquêtes bien ficelées et qui nous tiennent en haleine tout au long de cette histoire :  la première enquête sur la mort d'un journaliste à son domicile et la seconde enquête sur une décapitation. Quel rapport peut-il y avoir entre ces 2 enquêtes si poignantes ?

Plusieurs personnages apparaissent autour de Yan,  ses comparses Mika appelé aussi Granulé, son ami Barthélemy surnommé Barth. A travers ces enquêtes, nous sommes surtout confrontés à la manipulation mentale et au harcèlement. L'écriture de l'auteure est fluide et nous ne nous ennuyons pas un seul instant, c'est un très bon thriller psychologique comme on les aime.
Coup de 🧡 garanti !

Laissez vous emporter dans cette histoire qui vous mènera à la vérité ...
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Nous sommes à la PJ de Lille.

Deux enquêtes en parallèle :
* la 1ère suivie par Yan et son coéquipier Granulé. le meutre d'un journaliste hyper connu et reconnu par la profession.

*la 2nde suivie par Brath ami et collègue de Yan. Un soi-disant suicide d'un homme décapité dans sa voiture avec sa tête qui repose à l'arrière

Ils forment tous une super équipe et pourtant Yan leur cache le mal terrible qui la ronge et qu'elle a surnommé "l'araignée".

Comment Yan va-t-elle tenir et contrer cet ennemi invisible mais tellement vicieux ?

Il y a des lignes qu'il ne faudrait pas franchir parfois...

Mais quelle claque ! J'ai dévoré ce thriller ce week-end !
J'ai découvert la plume de Sacha et je crois que je vais me plonger dans les romans précédents !

Deux enquêtes parallèles mais liées par nos enquêteurs. On va de découvertes en surprises à un rythme plus que soutenu !

Et que dire du caractère de Yan ! Une flic forte, qui supporte l'impensable jusqu'à la crise de trop...

J'ai adoré les sujets traités au cours de ces 2 enquêtes. Trahison , vengeance, emprise psychologique et d'autres que je ne peux dévoiler pour ne pas spolier...

Il y a une part très intime de l'auteur dans ce livre et je lui suis reconnaissante d'en avoir parlé même si c'est sous forme de thriller car je ne pensais pas que cela pouvait être autant invivable !

Vous l'avez compris, c'est un énorme coup de ❤ pour cette lecture !

Que j'aime cette ME @taurnada ! Je crois que j'ai presque tous leurs livres 😂 D'ailleurs j'ai déjà pré-commandé le nouveau @magalicollet.auteure et il m'en reste 3 dans ma PAL 🥰

Yan, flic à la police judiciaire de Lille, enquête sur le meurtre d'un journaliste tandis que Brath son collègue et ami, a sur les bras, un insolite suicide à décrypter. Mais bientôt, Yan atteinte d'un mal sournois et invisible qui contrôle et accapare sa vie, ne pourra plus indéfiniment se cacher...

On s'attache très vite à Yan aussi obstinée que passionnée. La jeune femme est atteinte d'endométriose, une pathologie féminine au diagnostic long et compliqué.

Secrète, elle compose avec la souffrance et les exigences de sa profession. On suit son aventure aux prises avec ses faiblesses et ses obsessions.

L'écriture est fluide, directe et agréable, et on se laisse convaincre par l'intrigue, prêt à s'insinuer sur toutes les pistes. Les scènes de crime sont marquantes et spectaculaires avec des suicides un peu trop originaux pour être honnêtes.

L'attachement entre Yan et Brath est évident, et tous les deux peuvent compter, l'un sur l'autre pour se soutenir et se secouer au besoin. L'enquête regroupe des points communs permettant de faire des recoupements, de formuler des hypothèses. le recueil des témoignages ne se fait pas sans mal, et on se sent de manière un peu abrupte, floué.

L'auteure fait diversion et nous perturbe. Il est question ici d'emprise et de manipulation, sujet sensible et déroutant. Des éléments pourtant perceptibles auraient pu nous mettre la puce à l'oreille et pourtant, on passe à côté. Quand on commence à comprendre, l'urgence engage un rendez-vous forcé et vertigineux avec la mort.

Ce thriller nous maintient en alerte de bout en bout pour un processus hypnotique captivant. Insoupçonnable et terrifiant !
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Dans La mort est parfois préférable, son quatrième roman, Sacha Erbel signe une première incursion dans le polar/thriller pur et dur, puisque les précédents étaient toujours quelque peu teintés de fantastique. le roman bénéficie de l'expérience professionnelle de l'auteure, elle-même dans les forces de l'ordre et par ailleurs détentrice d'un diplôme en criminologie, ce qui confère crédibilité et réalisme aux enquêtes, où la procédure et l'ambiance sont tangibles, nous plongeant d'autant plus dans l'histoire.
Les personnage sont bien campés, travaillés, consistants, au point qu'on se les imagine facilement. Yan en tête évidemment, mais il y a la présence d'un autre personnage à part entière qui, bien que dissimulé par son hôte, transparaît presque à chaque page et tient finalement le rôle vedette : l'Araignée. L'Araignée, c'est le nom que Yan a donné à sa maladie, avec laquelle elle sur(vit) chaque jour, cette maladie qui a tellement de mal a être décelée et reconnue mais qui fait de terribles dégâts chez tant de personnes. Et là, on ne découvre pas que la flic et la criminologue, mais également la femme. Sacha Erbel se dévoile avec ses forces mais aussi ses faiblesses, ce qui procure beaucoup d'émotion lors de la lecture.
Les thématiques sont fortes : harcèlement, manipulation mentale, homophobie. Les deux enquêtes parallèles sont passionnantes. L'intrigue est rythmée, ne souffre ni de longueurs ni de temps morts. L'écriture enfin, directe, sans fioritures, est cependant sensible et offre l'accès à toute une palette d'émotions.
Eugène Terredefeu (chronique ici) m'avait profondément marquée – j'éprouve une vraie tendresse pour ce roman –, mais ce nouveau thriller/policier ne démérite absolument pas.
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Pour son quatrième roman, Sacha Erbel nous offre un polar lillois succulent !
Forte de son expérience personnelle, elle n'hésite à mettre beaucoup d'elle dans ce récit, et pas seulement concernant la PJ ou autre enquête ou criminologie. Il y a de l'intimité, du don de soi, de la confidence dans ce roman et on adore ça. Une auteur qui parle de ce qu'elle connait le mieux, de ce qu'elle vit, de ses propres tourments et souffrances, ça rend le bouquin très réaliste et vrai, forcément marquant.

Parlons d'abord du principal : l'intrigue ! Une enquête concoctée avec soin, qui nous tient en haleine, parsemée de scènes chocs parfois très violentes mais jamais gratuites, à chaque fois pour faire avancer les investigations et nourrir le récit. Un très bon point, un dosage parfait.

L'histoire débute par quelques suicides aux mises en scène déroutantes, et un meurtre aussi sauvage que déconcertant... Suivent ensuite recherches, procédures, interrogatoires, enquêtes sur le terrain, mêlés à la vie personnelle des enquêteurs, à leurs relations, et bien sûr aussi à leurs émotions brutes et transperçantes, jusqu'à un final surprenant, explosif. Un cocktail judicieux pour un polar palpitant et addictif dont je me souviendrai longtemps.

Les personnages ? Tous construits avec brio, vrais, crédibles, attachants, touchants même. Campés avec détails et réalisme, ils ne sont jamais là par hasard, même les personnages secondaires ont droit à une forte personnalité, j'ai vraiment apprécié ce côté travaillé du roman.

La plume ? Vive, tranchante, efficace, sensible, féminine, d'une beauté sublime. Des phrases construites elles-aussi avec rigueur pour créer un ensemble maîtrisé et très prenant. La fluidité se révèle sans pareille, je suis fan, j'ai été prise dans les filets de cette écriture agréable du début à la fin.

Les thèmes choisis sont tous fouillés et abordés avec intérêt, exploités à la perfection, pour nous offrir un roman remarquable. Je m'arrête en particulier sur le sujet de l'hypnose qui me passionne et dont j'ai retrouvé vraiment toute l'essence ici.

Enfin, pour revenir sur un point précis, j'ai beaucoup aimé cette sensibilisation à une maladie féminine qui a tendance à être méconnue ; inclure cela à l'enquête était un vrai défi et il est relevé haut la main, le procédé est véritablement intéressant, plus que louable : touchant ! Rencontrer cette araignée qui tisse sa toile en Yan m'a bouleversée à bien des moments. Souffrant moi-même d'une maladie chronique, je me suis beaucoup identifiée à notre héroïne, trouvant ses réactions parfois excessives toujours plausibles, car constamment dans la justesse d'un être qui subit la douleur malgré lui.


Bravo Sacha pour ce polar exceptionnel, féminin et palpitant. Et vivement le prochain !

L'auteure vous propose un thriller qui traite de thèmes forts.
*****
Dans cette histoire, Sacha Arbel aborde des thèmes puissants et perturbants qui ont tous un lien avec la douleur et nous montre que la mort est parfois préférable à cette souffrance insupportable.
Grâce à ses connaissances personnelles du métier de policier, l'auteure nous baigne dans ce monde. Elle nous met au parfum de ces codes, de ces surnoms que l'on se donne. Des surnoms qui me semblent avoir pour fonction principale de supporter l'horreur que l'on côtoie au quotidien, de faire face à cette violence trop souvent présente. Une façon comme une autre de mettre en place une barrière protectrice. Et puis, il y a ces liens indéfectibles entre collègues qui ont une place aussi importante que les membres d'une famille.
Ces éléments sont bien intégrés à cette intrigue qui comporte deux enquêtes distinctes. Les personnages devront comprendre et mettre à jour les souffrances endurées par les victimes afin d'identifier les meurtriers. Mais attention, malgré les crimes perpétrés, l'auteure va mettre à mal votre empathie et va tester votre sensibilité.
Le style de Sacha Erbel est fluide et elle arrive parfaitement à retranscrire les émotions et surtout les réactions de ses protagonistes, à tel point que je pense qu'elle aurait pu faire l'économie de nous partager les pensées de ces derniers afin de nous conforter dans notre compréhension.
Elle a également fait le choix de nous faire part de souffrances très personnelles avec cette fameuse « araignée » par l'intermédiaire du personnage de Yan. Si vous trouvez que les scènes concernant ce passager clandestin sont nombreuses, gardez à l'esprit que cela est fortement justifié par cette douleur qui est omniprésente et subite et donc difficilement maitrisable. Pour ma part, j'ai trouvé que cela était cohérent avec l'intrigue qui traite beaucoup de douleur mentales mais également physiques et j'ai également beaucoup de respect pour cette intimité que l'auteure a pris la peine de partager avec nous.
Au final, c'est un très bon moment de lecture que je vous recommande grandement.

Si vous lisez mes chroniques, vous devez savoir que j'adore les thrillers des Editions Taurnada. Je manque rarement une nouveauté car je sais que ce sera du bon. J'ai rencontré plusieurs fois Sacha Erbel lors de salons mais je n'avais encore jamais lu un de ses polars, j'y remédie donc avec son nouveau thriller.

Yan est flic à la PJ de Lille depuis une petite trentaine d'années. L'enquête sur la mort d'un journaliste lui est confiée. Avec son collègue, Granulé, ils vont essayer de trouver le coupable. D'un autre côté, Brath, enquête sur la mort d'un homme retrouvé décapité dans sa voiture.
Yan n'est pas au top de sa forme. Celle qu'elle a appelé l'Araignée, lui pourri la vie. Tous les jours elle a mal, tous les jours elle se gave d'anti-douleur, tous les jours elle angoisse qu'on apprenne son secret. Elle a surtout peur que l'Araignée mette en péril son boulot.
Malgré tout elle va se donner à fond pour résoudre son enquête.

Depuis deux mois, je n'ai pas du tout envie de lire de polar. Je crois que je sature. J'en ai trop lu et je trouve qu'ils se ressemblent tous plus ou moins dans les personnages.
Ici, je découvre la plume de Sacha Erbel et je dois dire que j'ai été charmée. J'ai beaucoup aimé que le personnage soit une femme et que l'autrice mette en avant une maladie encore peu connue et mal comprise par la société.
Sacha Erbel nous offre deux enquêtes en une. D'un côté la mort du journaliste, où nous connaitrons rapidement le nom du coupable. Cette partie m'a beaucoup touché également car j'ai vu le coupable comme une victime et la victime comme un coupable qui a bien mérité son sort.
L'enquête de Barth est prenante également mais le dénouement n'est finalement pas si imprévisible que ça.
Par contre, je n'ai pas compris ce que le premier chapitre venait faire dans l'histoire, peut-être nous tromper sur la fameuse Araignée de Yan ?
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Yan est major à la police judiciaire de Lille. le commissariat dans lequel elle est affectée, est chargé de deux affaires simultanées. Avec son collègue, surnommé Granulé, Yan s'occupe du meurtre d'un journaliste. Deux autres membres de l'équipe, Brath et Michel, sont appelés sur le lieu d'une scène étrange : un suicide par décapitation. Les deux binômes échangent sur leurs enquêtes respectives et les duos s'intervertissent. le changement d'attitude de Yan inquiète ses coéquipiers.


Yan souffre d'un mal qu'elle tente de garder secret. Elle essaie de le tenir à distance par des médicaments, de moins en moins efficaces. Les crises de sa maladie, qu'elle appelle l'Araignée, sont de plus en plus rapprochées et de plus en plus intenses. Elles sont de plus en plus handicapantes, envahissent son esprit et son corps et il lui devient difficile de cacher ses souffrances. Atteinte moi-même d' #unhandicapinvisible, d'une autre nature, mais proche par ses répercussions, j'ai été sensible par la volonté de l'auteure de décrire l'impact sur le quotidien, la fatigue extrême qui en découle, l'incompréhension de l'entourage, le tabou du siège des douleurs et la souffrance permanente.


En ce qui concerne les enquêtes, les dérives possibles de deux métiers sont explorées. Les affaires regroupent trois morts. C'est dans le passé et dans la personnalité des victimes que la PJ trouvera les mobiles et les modes opératoires. Il est question de consentement, que ce soit dans la parole ou dans le laisser-aller. Il s'agit de confiance trompée, d'abus de faiblesse et de mise en danger d'autrui. Hélas, fragilisée par son état physique, toujours sur le fil de la conscience, Yan manque de vigilance…


J'ai adoré ces policiers, attentifs les uns aux autres, pour qui l'entraide n'est pas un mot galvaudé. Ils veillent les uns sur les autres, même quand celui qui souffre, refuse toute confidence et soutien. Hélas, le silence a, parfois, des conséquences dramatiques… Les intrigues, dans lesquelles la manipulation tient une place prépondérante, m'ont, également, captivée. J'ai aimé que la psychologie et le mensonge occupent un rôle important et torturent mon cerveau. J'ai adoré La mort est parfois préférable.


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✔️Mon ressenti : Je découvre l'auteure avec son roman et en le refermant, je n'ai qu'une envie : me plonger dans les autres !
Yan est une policière à Lille. Son équipe, c'est sa famille. Alors qu'un journaliste est retrouvé mort, l'enquête débute. Elle et ses coéquipiers, mettront tout en oeuvre pour démasquer l'auteur. C'est alors qu'un autre homme est retrouvé mort d'une façon pour le moins étrange...
On sent que l'auteure connaît très bien le milieu . Elle nous entraîne dans un quotidien qu'on sent très proche de la réalité. Les personnages sont tout en relief. J'ai particulièrement aimé la mise en lumière de la maladie de Yan. Car oui, l'auteure profite de ce thriller pour apporter à son lecteur le témoignage précieux sur une maladie dont on entend de plus en plus parler mais qui reste souvent encore assez floue pour ceux qui ne le vivent pas.
Je ne vous en dit pas plus et vous le recommande chaudement autant pour l'enquête qui sort de l'ordinaire que pour le témoignage apporté par l'auteure. C'est un coup de coeur.

🎯Mots Clefs : Enquête / Maladie / Meurtre / Lille / Equipe

🏆Ma note : 20/20