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Citations sur Stéphanie Plum, tome 2 : Jamais deux sans toi (Deux foi.. (19)

Je partis pleins gaz pour Vic's Video où je louai la cassette de S.O.S. Fantômes, mon film-culte et ma source d'inspiration préférée. J'en profitai pour faire une provision de pop-corn, des Fingers, un paquet de petits pots de beurre de cacahuètes, une boîte de chocolat instantané et des guimauves. Et après on dira que je ne sais pas m'éclater !
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Le téléphone sonna à sept heures. Je plissai les yeux vers le réveil puis vers le téléphone. Un coup de fil sympa à sept heures du matin ça n'existe pas .Je sais d'expérience que tous les appels ayant lieu entre onze heures du soir et neuf heures du matin sont forcement des mauvaises nouvelles.
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Je m'attardai encore un moment et en vins à me demander comment Spiro, Kenny et Moogey avaient pu être copains comme cochons à l'école. Kenny, le dégourdi de la bande. Spiro, le gosse pas très malin avec de sales dents et un croque-mort en guise de beau-père. Et Moogey qui, pour autant que je sache, était un brave gars. Marrant comme des amitiés se nouent autour d'un dénominateur commun aussi simple que le désir de ne pas être seul.
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J'arrachai les bouts de scotch, soulevai le couvercle et eus le souffle coupé. La boîte contenait un pénis. Le membre, tranché proprement à sa base, était embaumé à la perfection et fiché sur un carré de polystyrène par une épingle à chapeau.
Tout le monde fixa la chose avec cette horreur pétrifiée qu'on réserve habituellement aux accidentés de la route et aux grands brûlés. Ce fut mamie Mazur qui parla la première, avec un zeste de mélancolie.
- Ça faisait un bout de temps que je n'en avais plus vu, dit-elle.
Ma mère se mit à hurler, levant les bras au ciel, les yeux hors de la tête.
- Jetez-moi ça dehors ! Mais où va le monde ? Que vont dire les voisins ?
Mon père, assis au salon, se décolla de son fauteuil et vint dans l'entrée pour voir l'origine de ce tohu-bohu.
- Qu'est-ce qui vous arrive ? Demanda-t-il, s'infiltrant dans la mêlée.
- Un pénis, lui répondit ma grand-mère. Stéphanie l'a reçu au courrier. On ne s'est pas fichu d'elle, soit dit en passant.
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Je fis tourner le moteur et démarrai, laissant Morelli au beau milieu de la rue, en chemise, chaussettes, la quéquette en berne.
À l'intersection suivante, je réfléchis. Ce n'était peut-être pas une bonne idée d'abandonner un flic nu comme un ver en pleine rue, en pleine nuit ? Et s'il se faisait agresser par une bande de voyous ? Probable qu'il ne pourrait même pas courir vu son état. Très bien, me dis-je. Je vais le tirer de là. Je fis demi-tour et revins dans la petite rue. Je trouvai Morelli à l'endroit où je l'avais laissé, mains sur les hanches, l'air écœuré.
Je ralentis à sa hauteur, baissai la vitre et lui lançai son révolver.
- Tiens lui dis-je. Ça peut toujours servir.
Sur ce, j'appuyai sur le champignon et repartis pleins gaz.
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- Je ne suis pas une minette. Et je ne suis pas une tueuse à gages. Et si je travaillais dans la protection, laissez-moi vous dire que je ne protégerais pas votre corps de limace. Vous êtes une moisissure, un furoncle, une merde de chien. Si vous dites encore à quelqu'un que je vais le tuer pour vous, je ferai en sorte de vous donner une voix de soprano pour le restant de vos jours !
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D'accord, je n'étais pas la chasseuse de primes la plus froide et la plus hargneuse qui soit, et alors ?
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Il avait surtout la trouille que je sois sur une piste et que je ne le mette pas au courant. Je baissai la vitre et jetai le bitonio sur le trottoir.
- T'es pas folle ? fit Morelli. Ça vaut quatre cents dollars ce truc.
Il descendit le récupérer. Je refermai la portière et la verrouillai. Qu'il aille au diable ! J'aurais dû réfléchir à deux fois avant d'accepter de faire équipe avec lui. Je repassai par-dessus les sièges et m'installai au volant.
Morelli tenta d'ouvrir la portière côté passager. En vain. Elles étaient toutes verrouillées et elles allaient le rester. Sa bite pouvait bleuir de froid, et je m'en fichais ! Ça lui servirait de leçon. Je fis tourner le moteur et démarrai, laissant Morelli au beau milieu de la rue, en chemise, chaussettes, la quéquette en berne.
A l'intersection suivante, je réfléchis. Ce n'étais peut-être pas une bonne idée d'abandonner un flic nu comme un ver en pleine rue, en pleine nuit ? Et s'il se faisait agresser par une bande de voyous ? Probable qu'il ne pourrait même pas courir vu son état. Très bien, me dis-je. Je vais le tirer de là. Je fis demi-tout et revint dans la petite rue. Je trouvai Morelli à l'endroit où je l'avais laissé, mains sur les hanches, l'air écœuré.
Je ralentis à sa hauteur, baissai la vitre et lui lançai son révolver.
- Tiens lui dis-je. Ça peut toujours servir.
Sur ce, j'appuyai sur le champignon et reparti pleins gaz.
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- Ton cousin est une merde de chien ! me cria-t-elle. Stronzo !
- Qu'est-ce qu'il a encore fait ?
- Tu connais la fille qu'il vient d'embaucher ?
- Sally Quelque chose.
- Ouais : Sally Qui Connaissait l'Alphabet.
Mon regard fit le tour de la pièce.
- Elle manque à l'appel à ce qui semblerait.
- Et comment ! Ton cousin Vinnie l'a coincée à un angle de quarante-cinq degrés devant le tiroir des D et a essayé de jouer à cache-saucisse !
[...]
- C'est la troisième employée en deux mois !
- Peut être qu'on devrait intervenir et faire châtrer Vinnie.
Connie ouvrit le tiroir central de son bureau et en sortit un couteau à cran d'arrêt. Elle libera la lame qui jaillit avec un claquement mortel.
- Peut être qu'on devrait s'en charger nous-mêmes, dit-elle.
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Mon portable sonna dans les profondeurs de mon sac. J'y plongeai tête la première, y farfouillai un moment pour finalement me décider à en sortir le contenu un à un - menottes, torche électrique, bombe lacrymo, boîtier paralysant, bombe de laque, brosse à cheveux, porte-monnaie, baladeur, couteau suisse, portable.
Ranger et Morelli m’observaient avec une fascina morne.
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