La Fille sauvage

"Jusqu'à l'âge d'environ dix ans, je ne savais pas qu'on pouvait mourir autrement que de mort violente".

Un préambule qui annonce d'entrée de jeu la couleur du livre: une histoire aussi belle que triste. Ce roman reflète une réalité affligeante: celle du racisme et de la domination de l'homme blanc.

Jim Fergus nous transmet sa passion pour les indiens par des images fortes et un vocabulaire poignant.

Je note toutefois certaines longueurs. le système des carnets pour décrire son histoire a un air de déjà vu et sonne comme une redondance par rapport à ses autres oeuvres. D'ailleurs, l'auteur est obligé d'intercaler des épisodes narratifs pour préciser son récit ce qui alourdit la lecture.

1000 femmes blanches m'a plus séduite.

Enthousiasmé par l'excellente idée de départ de ce roman, je m'y suis plongé rapidement. Malheureusement, les personnages m'ont vite déçu, trop caricaturaux.
Reste que cela se lit très facilement et que j'ai tout de même passé un agréablement moment.

une histoire intéressante, on apprend beaucoup sur l'histoire des apaches et leurs coutumes, mais je préfère de loin la tribu cheyenne. Peut-être est-ec dû aux circonstances particulières sans lesquelles nous vivons actuellement mais je n'ai pas réussi à m'immerger vraiment dans cette histoire, les chapitres m'ont semblé longs et je ne suis pas parvenue à m'attacher aux personnages

Déçue, après "mille femmes blanches " et "chrysis", la narration de ce jeune journaliste est lassante, c'est long, j'ai sauté, j'ose le dire, certains passages, La Sierra Madre sans cesse détaillée, à la montée, à la descente, les attaques, bon, rien de passionnant.