Passager 23

J'ai découvert Sébastian Fitzek avec les lectures de "Therapie" et "Le somnambule" que j'ai tous les deux adorés. C'est donc avec de grandes attentes que je me suis lancé dans la lecture de ce troisième roman de l'auteur.

Malheureusement, mes attentes ne furent pas comblées avec "Passager 23". Ce n'est pas que ce thriller est mauvais, je pense juste que le thème ne m'a pas transporté malgré que celui-ci s passe sur un bateau de croisière !

Une lecture que je vais m'empresser d'oublier afin de revenir vers un autre livre de cet auteur que j'aime toujours malgré tout. Il faut dire que 66,66% de satisfaction c'est déjà pas mal !

J'ai découvert grâce à cette lecture ce qui s'appelle un passager 23 à bord d'un bateau de croisière et durant la première partie de ce livre j'ai été totalement happée par celle-ci, j'ai dévoré la moitié de celui-ci en quelques heures.

J'avais déjà beaucoup aimé le voleur et le chasseur de regards de cet auteur, la il nous offre de mystérieux suicides sur un bateau de croisière, ce sont généralement des femmes qui se jettent à l'eau et qui tuent également leur enfant.

Le navire sultan des mers semble avoir un nombreux plus conséquent que les autres navires de passager 23 et l'inspecteur Martin Schwartz va être contacté par une passagère excentrique de ce navire qui mène son enquête sur ces mystérieuses disparitions, de plus Martin à lui-même été confronté à la disparition de sa femme et de son fils quelques années auparavant sur ce même navire.

J'ai cependant eu plus de mal avec la dernière partie du bouquin et le dénouement de celui-ci d'ou ma note globale de 3/5 car j'ai vraiment très vite lu les premières pages mais les dernières ne m'ont pas parues très vraisemblables.

Une lecture en demi-teinte pour ma part mais un très bon huis clos tout de même.

Le passager 23, nom donné à un passager disparaissant lors d'une croisière.

Un huis clos sur un bateau avec un passager 23 qui réapparaît. Voilà les bases de ce roman assez facile à lire, assez plaisant mais avec des situations un peu grosses parfois.

Il reste néanmoins un livre assez divertissant mais ne restera pas gravé

J'ai un avis assez mitigé sur ce polar.
J'avais pourtant bien envie de partir en croisière.

C'est le deuxième polar que je lis de SEBASTIAN FITZEK mais "le colis" ne m'a pas laissé un souvenir transcendant loin de là.
Comme "Passager 23" était dans ma pal depuis longtemps, je n'ai pas voulu rester sur une mauvaise impression mais je le referme avec une bonne dose d'insatisfaction.

Plusieurs histoires se déroulent sur ce bateau mais je me suis perdue et j'ai très vite décelé de nombreuses invraisemblances qui m'ont déstabilisé, même si l'idée de départ était intéressante à creuser.

'le somnambule" est dans ma pal, j'espère être plus enthousiaste lorsque je l'aurai lu.

Récemment traduit en français, Passager 23 me laisse sceptique. Sebastian Fitzek nous avait habitués à de solides thrillers. Ici, je me suis trouvé dans une énigme un poil tiré par les cheveux. le roman est costaud, mais il y a un Mais.
Martin Schwartz a perdu sa femme et son fils durant une croisière sur le « Sultan des mers » qui se sont, selon toute vraisemblance jetés par-dessus bord. Cinq ans après, Martin est invité par une passagère mystérieuse sur le « Sultan », elle aurait d'étranges révélations à lui faire sur la disparation dont il a été victime. L'ours en peluche de Timmy a été retrouvé dans les bras d'Anouk, une enfant disparue qui rejaillit de nulle part sur ce bateau.
Partant du postulat qu'environ 23 personnes - équipage et passagers - disparaissent chaque année des bateaux de croisière autour du monde, Fitzek y a vu la possibilité d'un potentiel à faire frémir. Ces disparitions ne seraient-elles que des suicides ? Surtout quand la preuve du suicide est inexistante. Bref, c'est un lieu parfait pour des agissements criminels. La thématique se tient.
Mais chez Fitzek, le complot principal n'a jamais suffisant. Passager 23 pose un nombre conséquent d'énigmes, de personnages qui se révèlent troubles avec de multiples facette. Ce thriller est angoissant à souhait. Lors qu'avec Martin, le lecteur descend dans les entrailles du navire, c'est pour faire face à des conduits impénétrables, des personnages aussi sournois qu'énigmatiques. Martin est un flic abimé, à la limite de la rupture. Il passe son temps comme psychologue au sein de la police et a un attrait pour les missions dangereuses, notamment celles qui traitent des pédophiles. Aucun personnage secondaire n'est là fortuitement. Encore une fois, c'est solidement bâti. La chasse au mobile de ces mystérieuses disparitions est le premier intérêt Passager 23, le second est d'emporter le lecteur vers un horizon sombre fait de secrets inavouables.
Rares sont les romans où je n'ai pas eu l'occasion de ressentir une certaine empathie pour les personnages. En, fait, à la réflexion, dans Passager 23, pas une seule fois, je n'ai su me projeter, avoir un minimum d'attraction, la moindre attirance avec les personnages construits par Fitzek, qu'il s'agisse d'Anouk Lamar, sa mère, Nadja ou Timmy. Ce roman nage en eau trouble, c'est visqueux, squameux. Ce roman m'a demandé un effort rare. Aller jusqu'au bout de cette histoire, c'est avoir le courage d'aller jusqu'à la fin du livre pour découvrir la révélation, qui, curieusement, arrive avec l'épilogue.
Lien : https://nigrafoliablog.wordp..

En général, j'adore Sebastian Fitzek mais je dois avouer que cette fois-ci je suis un peu déçue. L'intrigue est très originale comme d'habitude chez lui mais par contre cette fois-ci c'était un peu trop complexe et un peu trop tiré par les cheveux.
Cinq ans après la disparition de sa femme et de sa fille, Martin se retrouve de nouveau à bord du Sultan des Mers, le paquebot de croisière où sa femme s'est donné la mort. Il a été contacté par une mystérieuse personne qui détient des informations sur la mort de sa famille.

Premier livre de Fitzek que je lis. Au début je me suis demandé si j'allais aimer suffisamment son style pour aller jusqu'au bout. Après le premier tiers, j'étais assez accroché à l'hameçon pour aller au bout de ma lecture.

Thriller plutôt invraisemblable mais efficace et plein de surprises. L'auteur nous tient en haleine jusqu'à la fin. Et même si l'intrigue est hautement fantaisiste et invraisemblable on veut absolument savoir le dénouement. Lire ce roman est comme se faire raconter une histoire: si l 'histoire est captivante et bien racontée on reste jusqu'à la fin. D'ailleurs que voulons nous d'autre quand on ouvre un roman?

Donc, une histoire captivante, des chapitres courts pour donner un rythme, rebondissements nombreux et dénouement dans la logique de l'intrigue.


Chef d'oeuvre? Non. Bon divertissement? Oui.

Avec un quatrième de couverture court mais très alléchant, d'autant plus que je suis friande des thrillers se déroulant dans des ambiances confinées, à huis clos, Passager 23 ne pouvait que titiller ma curiosité et c'est avec une envie dévorante que j'ai tourné les premières pages de ce roman.

L'idée de cette histoire est géniale mais très vite j'ai trouvé certains personnages peu convaincants et ce qui m'a le plus dérangé c'est qu'à plusieurs reprises certains éléments étaient tirés par les cheveux écorchant la crédibilité des faits.

Une lecture mi-figue, mi-raisin qui n'a pas su totalement m'embarquer et c'est bien dommage malgré la plume agréable de l'auteur.

Il se peut que je tente la lecture de son dernier roman "Le colis" qui m'intrigue beaucoup.

En conclusion, petite déception avec cette première lecture de Sébastian Fitzek mais j'ai espoir qu'il prenne sa revanche avec "le colis".
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Un thriller psychologique très bien écrit avec des châpitres courts qui font très vite monter la pression. Pas mal de personnages, plusieurs histoires où je me suis un peu perdue. Cela m'a vraiment perturbée et m'a empêchée d'apprécier vraiment ce roman. Si vous aimez les livres noirs, violents, destabilisants ne vous en privez pas. J'ai beaucoup aimé les précédents écrits de Sébastian Fitzek mais je garde un avis mitigé sur celui-là.
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Auteur que je ne connaissais pas. J'ai beaucoup aimé, bonne intrigue jusqu'à la fin. L'histoire se passe sur un bateau ou disparait des personnes (mères et enfants).
Martin embarque pour découvrir ce qui est arrivée à sa femme et son fils.
Mais il n'y a pas qu'eux, plusieurs histoires s'imbriquent et nous transportent dans la vie de chacun des personnages.