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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
1893, New York. Piambo, peintre à succès, accepte de réaliser le portrait d'une femme qu'il ne verra jamais, Madame Charbuque, mais qui lui racontera sa vie, dissimulée derrière un paravent.

Le portrait de Madame Charbuque plonge son lecteur dans le New York de l'époque victorienne, en y introduisant une note de fantastique qui donne au roman un côté légèrement oppressant. L'histoire, librement inspirée de Docteur Jekyll et Mister Hyde, s'avère être un efficace apologue sur les dérives possibles de l'imagination et de la création. Ces thèmes sont d'autant mieux mis en valeur que Piambo, en tant que peintre, évolue dans un univers d'artistes. Jeffrey Ford nous décrit ainsi avec talent plusieurs séances de réalisation de portrait ou de répétition théâtrale, l'amie de Pianbo étant elle-même comédienne.

Les 285 pages du roman se sont donc tourné toutes seules, m'offrant un agréable moment de lecture fantastique. À découvrir.
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Donc je me suis accrochée et, heureusement, après 75 pages laborieuses, j'ai enfin réussi à entrer dans l'ouvrage (et du coup à le terminer en quelques heures!)

J'ai beaucoup apprécié les personnages, en particulier bien sûr le héros, Piambo qui est très attachant. En plein questionnement sur son art, sur ce qu'il voudrait peindre, sur ce qu'il peint, sur ses besoins et ses envies, il semble tellement réel qu'on ne peut le délaisser. C'est sans oublier les autres protagonistes, fort peu nombreux, dont le portrait et le caractère ont été brossés en quelques coups de pinceau par Jeffrey Ford. Certains sont attachants (Samatha, Shenz), d'autres particulièrement horripilants (Watkins), mais ils dégagent tous quelque chose qui fait que le lecteur est captivé par eux...

Lien : http://ouliloula.wordpress.c..
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Faire le portrait d'une femme qui se cache derriere un paravent et des histoires délirantes de Sybille, voilà un sacré challenge pour ce pentre du New York du 19eme siècle. Littérature fantastique, à suspens, très bien documentée et troublante, voir effrayante. Un suspens juqu'à la dernière ligne, bref , une réussite dans son genre.
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New-York , fin XIX ème, Piambo est peintre.

Ce peintre est à un tournant de sa vie : une relation amoureuse qui dure mais dans laquelle il n'ose pas s'engager formellement ; une carrière qui l'amène parmi le (beau) monde.

Mais cette carrière si elle lui apporte une certaine reconnaissance et l'accès à la haute société est trompeuse...
lire la suite sur

http://skorpionnan.over-blog.com/article-un-livre-le-portrait-de-madame-charbuque-56473404.html
Lien : http://skorpionnan.over-blog..
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