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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
De jeunes étudiants décident de passer les vacances de Pâques ensemble pour réviser leurs examens. Ils s'installent dans un gîte perdu dans le parc national des Calanques de Marseille, à deux pas de la mer.
Au programme donc révisions, mais aussi sport et détente. Voilà pourquoi ils décident tous d'inviter quelques amis supplémentaires à se joindre à eux...
Ils sont étudiants en géographie, en STAPS, en architecture... ou bien encore lycéens. Ils se connaissent depuis toujours et forment un groupe, uni et soudé. Ils partagent de bons souvenirs de fêtes ou de compétitions sportives, tous sauf Élias, que Lucas a tenu à inviter et qui n'est pas étudiant.
Élias a un charisme fou et ne passe pas inaperçu. Il est content de tout, tend toujours la main pour aider et fait tout pour s'intégrer au groupe.
Sans le savoir, il dégage un tel magnétisme qu'il va perturber l'équilibre du groupe et déstabiliser profondément chacun d'entre eux et en particulier Mattéo, le leader habituel, un sportif de haut niveau qui n'avait jamais croisé dans sa vie quelqu'un capable de le concurrencer...
Lucas et Johann, Eva, Mathilde, Salomé et Camille assistent impuissants à la dégradation de l'ambiance, alors que personne ne sait exactement ni où, ni quand tout cela a commencé, ni pourquoi !
Voilà nos deux garçons engagés dans une course-poursuite effrénée qui les mènera au bout d'eux-mêmes, et surtout qui risque de fort mal se terminer...
Voilà un court roman prenant et glaçant. Jusqu'au bout, on ne sait pas ce qui va se passer, mais dès le début du roman on sait que deux garçons se courent après au bord des falaises et qu'un des deux en veut à l'autre, à mort...
Il nous faudra une bonne partie du roman pour savoir pourquoi.

En prenant l'aspect d'un thriller, ce roman invite les ados à réfléchir sur certains problèmes : comme la différence, la tolérance, le dépassement de soi et le regard que les autres portent sur nous, nous enfermant dans un certain rôle qui ne correspond pas forcément à ce que nous sommes.
Les faiblesses et les forces de chacun apparaissent au grand jour.
C'est aussi une réflexion sur le groupe, et ce qu'il nous amène à faire quand on est ado.
Les chapitres sont courts et donnent la parole tour à tour à chacun des protagonistes ce qui permet non seulement de connaitre le point de vue de chacun sur l'histoire mais en plus de la rendre davantage vivante. Seul Mattéo ne s'exprime pas assez à mon goût.
Tout le roman se déroule dans des paysages époustouflants de beauté (mais là je ne suis pas objective) puisque l'histoire se déroule dans les calanques, entre Marseille et Cassis...et se poursuit même jusqu'à La Ciotat.
C'est un livre que l'on peut lire très vite en une soirée, mais qui dérange et interpelle.
Il m'a manqué un petit quelque chose pour être totalement emportée par l'histoire mais l'important est qu'elle a l'air de plaire aux ados. Ils y retrouveront la fougue et la passion de leur jeunesse, les débordements d'humeur et surtout les thématiques de la construction de soi et de l'acceptation des différences...
A partir de 13-14 ans...
Lien : http://www.bulledemanou.com/..
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Une incroyable chasse à l'homme

Un simple grain de sable peut faire dérailler la machine la mieux huilée. C'est ce que vont découvrir une bande de 7 copains. Venus le temps d'une semaine, allier sport et révision. Lors des vacances de Pâques, ils se retrouvent dans un gîte perdu en pleine nature, afin de se concentrer sur leurs futurs examens de fin d'année. Lucas et Mattéo sont en sport étude, d'où la raison pour laquelle, l'intellect, se mêle au corps.


Dans certaines religions et en numérologie, le chiffre 7, est le chiffre parfait. Ce n'est sans doute pas Mattéo, Lucas, Camille, et les autres qui me contrediront. Puisque l'arrivée d'Elias, va tout changer.


Logiquement, ce dernier, ne devrait pas être là, puisqu'il n'est pas étudiant, mais Lucas à insisté, auprès des autres, pour que celui-ci, puisse faire partit de l'aventure.
C'est un personnage, si énigmatique et charismatique, que certains d'entre eux, vont presque le croire inhumain.


Par un découpage habile, dans sa façon de conter l'histoire Roland Fuentès, capte dès le départ l'attention du lecteur. J'ai adoré avoir plusieurs narrateurs, et suivre l'aventure aussi bien d'un point vu neutre, avec un regard scientifique, que, par le biais, de certains des amis présents comme Lucas, et Camille.

Certains sont si convaincants que j'en suis arrivée à me demander, si Elias, était un simple étranger, ou une sorte de Messie.


Mattéo à l'habitude de voir les autres graviter autour de lui, d'être le centre d'intérêt des autres. Même s'il semble peu indulgent envers eux. Comme pour Lucas, qui contrairement à lui ne souhaite pas devenir sportif de haut niveau, il prend un malin plaisir à le “chambrer”, ou comme se moquer de cette pauvre Mathilde qui préfère les livres, au sport.


Au premier abord, on se demande, pourquoi, tout le monde le supporte, voir l'encense, jusqu'à aller faire d'instinct des compromis, pour que la vie de Mattéo, soit plus aisée. La perfection, et l'étrangeté d'Elias, l'ont détrôné, et mis en évidence son côté sombre. En un clin d'oeil, il a mis en péril, tout ce, pourquoi il avait travaillé dur, son avenir de sportif, son image, de “star”. Est-ce vraiment à cause d'une enfance endoctrinée par le racisme incurable de son père, ou est-ce que cette violence était vraiment enfouie au fond de lui ? le jeune homme a voué une telle haine à Elias, dès le départ, qu'on sent monter petit à petit la pression, jusqu'au point de non-retour.


Ce ne sera qu'à la fin, du livre, que l'on comprendra pourquoi, le livre s'appelle “Vivant”.
C'est tout d'abord le titre, Vivant, qui a attiré mon attention, puis son synopsis, je ne regrette absolument pas mon choix, car en moins de 200 pages, Roland Fuentès, m'a plongé dans une aventure passionnante, j'étais tellement immergé dans mon livre, que je n'ai pas vu le temps passé.


Avec, Vivant, Roland Fuentès, nous offre un thriller psychologique étonnant. Il a su parfaitement retranscrire, le moment, où, tout peu basculer. Comment son héros, Mattéo, voué à un brillant avenir, se laisse aller par un sentiment raciste, au point de vouloir, tuer un jeune étranger plus brillant que lui. Une chasse à l'homme détonante. Une lecture addictive.
Lien : https://lesptitsloupsmalin.c..
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Quand la haine pousse à commettre des actes irréfléchis ...


Pour leurs vacances de Pâques, sept amis et étudiants se retrouvent dans les Calanques. Lucas prend l'initiative de convier Elias, un garçon qu'il est seul à connaître. Lucas ne se fait pas trop de souci pour lui, il arrivera facilement à s'intégrer au groupe. En effet, avec son sourire et sa bienveillance, Elias séduit toute la bande. Ou presque...


L'auteur nous décrit un cadre exceptionnel. Les conditions sont idéales pour ces jeunes qui ont à la fois envie de réviser sérieusement pour leurs examens, et envie de se détendre. le sport est aussi au programme. Tout est réuni pour passer un bon moment. Mais alors que l'ambiance de ce séjour entre amis aurait du être légère, un malaise s'installe au sein du groupe. Un malaise qui né à l'arrivée d'Elias, l'inconnu de la bande.


Elias, qui ne connait que Lucas, fait tout pour s'intégrer. Il est sympathique, facile à vivre. Il rayonne et il est bien difficile de ne pas l'apprécier. On sent que c'est un jeune homme qui aime la vie, pour de vrai. Il est clair qu'il la vit plus fort que les autres, pour une raison qui nous est dévoilée à la fin du roman. Cependant, ce garçon souriant, trop parfait, commence à mettre le groupe un peu mal à l'aise. Et pour Mattéo en particulier, cet inconnu pose problème...


Mattéo est le chef de la bande. Au fond, il n'est pas bien méchant mais il y a des aspects de sa personnalité qui m'ont vite déplu. Sportif de haut niveau, Mattéo est un garçon fier et compétiteur et il arrive qu'il prenne ses amis de haut, qu'il fasse des remarques déplaisantes. Mais il y a quelque chose d'autre, profondément ancrée dans son éducation, qui va doucement le rendre impulsif, agressif. Qui va tout faire déraper. C'est à travers ce jeune personnage que l'auteur choisit de parler du racisme.


Les chapitres sont courts et nous avons droit à différents points de vue qui rendent la lecture très dynamique, très rapide. Chaque jeune nous raconte les évènements à sa manière. Mais la particularité du récit se trouve dans des chapitres de transition qui nous projettent à la fin de l'histoire. Ces chapitres nous décrivent une longue et éreintante course entre Mattéo et Elias. Une course pas comme les autres qui capte l'attention du lecteur tout au long du roman. Rapidement, on découvre qu'il y a quelque chose en jeu et on prend conscience de l'urgence de la situation...


Verdict : Vivant est un roman qui porte un beau message. C'est une lecture qui appelle à la tolérance et au respect d'autrui. L'auteur nous plonge dans une situation et un cadre agréables qui se voient peu à peu altérés par la haine de l'un des protagonistes. Dans ce roman, l'auteur parle de notre peur de l'inconnu, une peur légitime qu'il nous invite à repousser. Parce que finalement, l'inconnu a bien des choses à nous apprendre...
Lien : https://revesurpapier.blog4e..
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Thriller psychologique glaçant, Vivant s'ouvre sur une course-poursuite entre Mattéo et Elias. le premier est guidé par la haine que lui inspire le second. Alternant les témoignages des autres étudiants de ce séjour au départ voué aux révisions, au sport et à la détente, avec des passages qui évoquent cette course-poursuite, Vivant nous plonge au coeur d'un huis clos cauchemardesque. Jusqu'où peut conduire la haine ? C'est la question que pose Roland Fuentes dans ce roman haletant, qui nous prend aux tripes.
Lien : http://www.lirado.fr/vivant-..
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Le roman s'ouvre sur une course poursuite dans les calanques entre deux jeunes hommes. Mattéo, armé d'un couteau, poursuit avec rage Elias. Mattéo, c'est le leader charismatique du groupe de copains étudiants, celui qui pourrait devenir sportif professionnel, qui organise le programme des vacances, qui sort avec la belle Salomé. Elias, lui, est manoeuvre sur un chantier et ne connaît dans le groupe que Lucas, qui l'a invité. On ne sait pas vraiment qui il est, d'où il vient, mais son incroyable gentillesse, sa curiosité et son attitude paisible, naïve, interpellent les autres jeunes, certains se sentent mal à l'aise, d'autres ne voient que de la perfection. En tous cas, Elias ne laisse personne indifférent. Et Mattéo encore moins que les autres ! Mais qu'est-ce qui pousse le sportif à ce coup de folie ? C'est bien la question que tous les protagonistes se posent… et nous avec !

Avec Vivant, Roland Fuentès nous propose un thriller psychologique haletant et fascinant. Sa construction, alternant les chapitres de course poursuite et les souvenirs de chaque jeune sur ce qui a sans doute amené à cette folle cavalcade, amène un vrai suspense tandis que se révèlent petit à petit les événements, le déchaînement de violence. Sans vous en dire trop sur ce que l'histoire dévoile des personnages et de leurs motivations, Vivant c'est une réflexion sur notre rapport à l'autre et principalement à « l'étranger », à ce qu'il laisse à voir de lui et à ce qu'il nous montre de nous, ce qu'il provoque en nous, le meilleur comme le pire… C'est aussi une réflexion sur le groupe et comment un élément étranger, justement, peut faire basculer l'équilibre de chacun et du collectif. Et c'est aussi une évocation du sport et de ses valeurs que l'on rencontre assez peu en littérature, où Roland Fuentès met en lumière l'effort, le travail, l'art presque, que demande la performance sportive mais aussi la question de vie, de survie, qu'elle peut représenter pour certains. La dédicace qui figure au début du roman n'est d'ailleurs pas anodine…

S'il est difficile de dire que Vivant est « trop bien », c'est parce que le roman nous laisse avec un drôle de sentiment, celui d'avoir été bousculé, d'avoir posé dans notre esprit les petites pierres de la réflexion à entamer ou à poursuivre sur notre façon d'accueillir les autres, notre aptitude à la tolérance. Un roman profondément humain !
Lien : http://bobetjeanmichel.com/2..
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Chouette lecture d'un auteur que je ne connaissais absolument pas jusqu'à présent. Ca démarre de suite sur une course-poursuite qui laisse un peu perplexe avec son manque, voulu, de contexte, les personnages et puis, cet échange qui clôture le premier chapitre nous pousse à nous demander si on n'a pas mal lu, oublié une page pour expliquer ce qu'on vient de lire? Mais bien assez vite, les chapitres suivants, qui alternent entre avancée de la course-poursuite et flash-back au travers des points de vue de chacun des personnages présent lors du séjour organisé, viennent replacer le contexte et tout se met en place pour comprendre le déroulé des choses.

j'ai beaucoup aimé la narration, la construction du récit ainsi que les différents thèmes abordés, peut-être pas en profondeur, mais avec suffisamment de sérieux et de nuance pour être compris et accessibles également au jeune public puisque je dirais qu'il s'agit avant tout d'un roman jeunesse. Racisme, jalousie, indépendance, soif de vie, jugement, ... à travers chaque personnage, on a dirons-nous un "thème" qui s'exprime et de fait, un point de vue qui peut différer d'une personne à l'autre. J'ai beaucoup apprécié cette individualité dans les caractères dans ce récit, ce n'est pas l'histoire d'un groupe contre une personne, c'est plus nuancé et cela change. Il se lit d'une traite sans problème, et parvient à garder son dénouement jusqu'au bout.

Bien curieuse maintenant de mieux connaître les oeuvres de l'auteur.
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Vivant, c'est un court roman qui passe à la folle vitesse d'une course effrénée.
Dès la première page, nous sommes dans le bain : une course-poursuite, clairement hostile, nous est narrée. Elle oppose Mattéo et Elias, sans toutefois que l'on sache pourquoi. le danger, l'envie de s'en sortir s'oppose à la haine et au besoin d'en découdre. Qu'est-ce qui les a menés là ?

La raison, nous la découvrons à travers les points de vue alternés des différents membres d'un groupe d'adolescents réunis dans les calanques pour un stage de leur cru (suite sur Ang'in)
Lien : https://ang-in.blogspot.com/..
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Imaginez une course-poursuite effrénée entre deux garçons sur la route qui relie Marseille et Cassis, à travers le massif des calanques. la poursuivi avance à une vitesse prodigieuse, d'une foulée longue et fluide, porté par sa volonté de fuir. le poursuivant est lui aussi un coureur d'exception, qui tient dans sa main un couteau. Lui, il est porté par le besoin viscéral d'éliminer l'autre. A certains moments il parvient à réduire la distance entre eux. Cent soixante-dix mètres. cent soixante. Jamais moins. Car alors son souffle devient saccadé, et de nouveau la distance augmente. Nul n'aurait pu prévoir que le séjour entre potes qui s'annonçait si bien - sport, révisions, détente- tournerait en un combat à la vie, à la mort. A moins que la haine de l'autre, de "l'étranger", n'ait été là, en germe, dès le premier instant. C'est ce que nous racontent Camille, Lucas, Salomé, Eva et Johann.



Ce récit polyphonique est prenant et pousse à réfléchir. En effet on suit les quelques jours de vacances de plusieurs adolescents, venus se retrouver au calme dans une maison des calanques pour réviser et faire du sport. Un esprit sain dans un corps sain. Mais quelqu'un vient brouiller la belle harmonie de la bande : Elias, un jeune étranger, manoeuvre sur un chantier, invité par Lucas à se joindre au groupe. Toujours souriant, toujours partant, Elias inspire la sympathie mais aussi la méfiance... Surtout à Mattéo, le leader de la bande. Ce gars là ne lui revient pas... Il est bon à la course, comme lui, et puis il semble plaire à Salomé, celle qui l'attire depuis plusieurs mois. Pour toutes ces raisons, et d'autres plus sombres, les deux jeunes gens finissent par se défier.



Le roman débute avec cette course poursuite dont on ne connait pas l'issue. usante, angoissante, épuisante, elle mène les jeunes gens aux bouts de leurs limites. Mais cela, on ne le découvre qu'à la fin du roman. le reste permet de poser le cadre, de raconter ces quelques journées de baignade et de sport avant la course fatidique. J'ai beaucoup aimé cette ambiance "colo" dans une vieille maison, trop peu développée à mon goût d'ailleurs. La course-poursuite en elle-même est beaucoup décrite, elle tient le lecteur en haleine, tout comme les poursuivants. Mais je n'ai pas été totalement emportée. J'ai bien aimé ma lecture, j'ai d'ailleurs lu ce court roman d'une traite, mais il m'a manqué un petit quelque chose pour que la magie opère.

Néanmoins je conseille largement ce roman, qui permet de faire réfléchir les ados aux questions de tolérance, d'inclusion, d'acceptation de la différence.
Lien : https://lemonde-dans-leslivr..
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Comment une semaine de vacances studieuses et sportives peut-elle se transformer en chasse à l'homme?
Moment de folie passagère ou bien conséquence inévitable d'un certain formatage éducatif?

La réponse de @Roland Fuentès fait froid dans le dos.
Un court roman d'à peine 200 pages qui va à l'essentiel.
Une lecture choc.
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Un roman court rythmé par une course folle au coeur de décors que je ne connais pas (calanques, Marseille) et que j'ai apprécié découvrir. Avec de nombreux personnages qui offrent des points de vue et des émotions différents (mais on n'a pas les points de vue d'Elias et Mattéo qui sont au coeur du conflit). J'ai beaucoup aimé l'écriture que j'ai trouvé très travaillée, détaillée et poétique, on visualise parfaitement les décors et on ressent l'amour des personnages pour leur région. Ce roman pousse à réfléchir, à s'interroger sur le respect et la tolérance vis-à-vis des autres et les conséquences qui peuvent découler de la peur et du mépris de l'inconnu.
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