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3,76

sur 541 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Alexandre Galien est un auteur de polar que je ne connaissais pas, mais que je voyais passer sur les sites de lectures assez régulièrement. Un auteur français de plus. Oui, j'aime bien les auteurs de polars français. Alors un de plus au compteur me suis-je dit, chouette ! Oui, mais voilà pour moi l'écriture n'est pas au rendez-vous : écriture plate sans relief, sans émotion, plutôt scolaire, propre sur elle (!) mais fade. Donc, jamais je ne me suis sentie en harmonie, en empathie avec les personnages. Et pour la lectrice que je suis, si je ne peux pas être en symbiose avec au moins un des personnages, c'est mal parti. Et pour ternir encore plus mon ressenti, je n'ai pas non plus aimé l'emploi excessif du jargon policier et autres acronymes qui alourdissent la lecture par des renvois constants en bas de page.

Voilà, vous avez mon tableau, mais rien ne vous empêche de vous faire le vôtre qui prendra peut-être d'autres teintes.

Quant au pitch, le voici :
En se faisant muter à la brigade criminelle après vingt ans de « Mondaine », le commandant Philippe Valmy espérait s'éloigner des bars et des boîtes où il restait jusqu'à l'aube, et ainsi sauver son mariage. Mais quand il découvre que la victime de sa première affaire de meurtre est une de ses anciennes indics, il comprend toit de suite qu'il va devoir replonger dans les eaux troubles du Paris nocturne. Pour le pire. Les cicatrices de la nuit sont de celles qui ne s'effacent pas.
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Autant le dire tout de suite : je n'ai pas aimé; mais alors, pas aimé du tout !
Je sais, je ne vais pas faire l'unanimité. Sur les 29 critiques sur Babelio, il y en a au moins 27 de bonnes. Mais bon, il faut être courageux !
Les phrases, souvent très courtes, sont écrites " à la va comme je te pousse ", je n'y ai trouvé aucun style.
Les conversations téléphoniques sont ponctuées des prénoms des interlocuteurs à chaque prise de parole, comme si le lecteur était incapable de savoir qui dit quoi !
Et ne parlons pas des abréviations : comptez presque une abréviation par page; trop, c'est trop. Par exemple : TT pour tonton !!!!
L'historiette est facile à lire; c'est pourquoi j'ai réussi à finir le bouquin.
En bref, pour ceux qui seraient vraiment tentés, et comme aurait dit un journaliste de Harakiri en son temps ancien, ne l'achetez pas, volez le.
Je ne peux pas vous prêter le mien, c'est une amie qui me la prêté, et, me disait-elle : tu verras, il est super !


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Je me sens un peu sévère pour ce roman qui a obtenu le prix du Quai des orfèvres 2020 !
Je l'ai acheté pour compléter un bon d'achat, sans vraiment savoir ses qualités, donc sur la promesse de ce prix et de cette belle couverture.
Quelle déception !
Pour ma part c'est le vide total, probablement à cause du style désespérement plat. J'ai trouvé que ce texte n'avait aucun relief, que les personnages n'ont pas de profondeur, bien que l'auteur essaye de nous faire partager un peu de leur vie privée. L'enquête est quand même rapidement résolue ; en déblayant d'abord des tas de pistes qui ne mènent à rien, puis en tombant finalement un peu par hasard sur la bonne.
Mes excuses à tous les lecteurs qui ont mis 4 ou 5 *... mon 1,5* est sévère, mais je respecte les goûts de chacun et le fait que l'on puisse apprécier cet ouvrage.
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J'ai trouvé ce roman très moyen, j'avais pourtant être attiré par la manchette du prix du quai des Orfèvres, mais c'est très décevant. Je n'ai pas été pris dans l'histoire, que j'ai trouvée ennuyeuse et simpliste. Cela peut aussi tenir au style qui ne m'a pas plu non plus. Après je vois bien que c'est personnel, vu les bonnes notes qu'il a par ailleurs.
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Polar sympatoche.
Le jargon était un peu trop technico-technique à mon goût (même si on voit bien que c'est fait exprès... Mais : les flics parlent-ils vraiment comme ça, avec une surabondance de jargon policier et des abréviations à la con au milieu de phrases normalement structurées ? J'ai du mal à y croire... Mais bon, c'est un détail).

On est en tout cas plongés dans l'ambiance de la crim', avec les petits tours de table (qui ont l'air poussifs de mon point de vue, mais qui doivent pourtant être réalistes), des personnages dont la psychologie se contente d'être un verni, sans creuser forcément beaucoup plus loin.

J'ai été un peu surpris de découvrir le coupable, et aussi par le dernier rebondissement. On ne voit rien venir. D'ailleurs c'est un peu dommage je trouve. Mais peut-être aussi que c'est du policier réaliste, allez savoir.
En tout cas ça se laisse lire, c'est sympa sans être original, ça a l'air extrêmement bien documenté sur la police, leurs méthodes, les jargons, tout ça.

Petit bémol sur les dialogues qui sonnent faux (hors considérations de jargon policier)... Mais c'est surmontable.
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Ce prix du Quai des Orfèvres a fort relent de copinage. le style est un bon niveau de brevet des collèges, l'histoire, plutôt ennuyeuse, n'a rien d'original. Elle est plutôt saturée des clichés habituels. Espérons au moins que les 777 € du prix auront été gracieusement donnés aux bonnes oeuvres de la police.
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