L'Amour aux temps du choléra

J'ai reçu ce livre en cadeau de mariage, en célébration de l'Amour. J'espère que mon mariage sera moins ennuyeux et durera plus longtemps que la lecture de ce livre ! Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion d'apprécier cette oeuvre car son style d'écriture m'a semée en chemin : aucun dialogue et quasiment aucune coupure dans la narration. J'ai eu le sentiment de faire de la lecture au kilomètre : lire, lire,lire sans jamais pouvoir respirer. J'ai donc été asphyxiée par cet ouvrage et ne suis malheureusement même pas arrivé à la moitié de ce qui m'a semblé un Marathon littéraire. Dommage...

Je ne commenterai pas ce roman classique qui fait partie des grandes oeuvres littéraires. J'avais abandonné Cent ans de solitude du même auteur et pour celui-ci, je me suis carrément forcée à le terminer et je n'aurais pas dû. Cette obligation que je me suis imposée m'a enlevé le goût de lire durant au moins une semaine, ce qui n'est certes pas souhaitable. Je crois juste que cet auteur ne m'accroche pas du tout. Zéro plaisir : ça se limite pas mal à ça comme expérience pour ma part.

J'avais été séduite par les "Douze contes vagabonds" de cet auteur colombien, lu il y a déjà un petit bout de temps.

L'histoire de cet achat est assez idiote. J'avais fait quelques achats et désirais payer par carte, mais j'étais en dessous du montant à partir duquel ce moyen de paiement était accepté. J'ai donc du acheter quelque chose de plus, et compte tenu du maigre choix de bouquins, ce quelque chose fut "L'amour aux temps du choléra"

J'appréhendais un peu, en général je fuis les ouvrages portant ce genre de titres.

Gabriel Garcia Marquez, grand conteur, nous envoie dans les caraïbes de la fin du 19ème siècle. L'image est loin d'être celle d'un paradis ensoleillé: c'est pauvre et sale, et des épidémies se produisent régulièrement.

La mort auto-administrée d'un adroit joueur d'échec qui ne voulait pas vieillir. Un couple âgé: un médecin réputé, Juvenal Urbino, et son épouse, Fermina, unis depuis 50 ans. le médecin meurt stupidement à son tour, laissant sa veuve éplorée. Un homme attendait cet instant depuis toujours: Florentino.

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